C’est parti pour vingt minutes d’écriture, sans interruption, sur le déclencheur de votre choix. Rappel : vous devez trouver vingt minutes dans la semaine pour écrire, pour donner corps à votre rêve. L’article original à voir ici.
Une remarque en passant suite à un commentaire qu’on m’a fait : les déclencheurs sont à prendre au masculin ou au féminin, dans le décor / genre que vous souhaitez. L’aventurier peut être une aventurière. La taverne peut être une cantina spatiale. Il s’agit juste de fournir un point de départ, mais l’idée consiste à vous les approprier entièrement, comme vous le souhaitez – et si l’aventurier devient une avocate (aventurière des causes perdues…), peu importe. Il s’agit d’écrire, ce que vous voulez, ce que vous désirez, et les déclencheurs ne sont que des amorces. Faites-en ce que vous voulez.
Bien. Nous avons un protagoniste, nous avons appris à le connaître un peu mieux à travers un lieu et un genre, et nous avons défini ce qu’il risque, son enjeu. Il va être temps de lui coller un problème sur la tête, en lien avec l’enjeu, ce qui affinera l’histoire en cours de formation. Deux possibilités ; si vous avez déjà cerné le conflit principal du personnage, alors ce problème sera la première péripétie qu’il rencontrera ; s’il n’a pas encore de conflit, alors ce problème deviendra le coeur de l’histoire. À vous de jouer, tirez le conflit au hasard ou bien choisissez celui ou ceux qui vous attirent, et ne vous arrêtez pas avant vingt minutes d’écriture.
Un problème
- Un dysfonctionnement
- L’enjeu cache un autre enjeu plus grand
- Un lourd secret
- L’adversaire n’est pas si mauvais que ça
- Une trahison de l’intérieur
- Un innocent qui n’a rien à faire là
- Une lutte contre la montre
- Le calme avant la tempête
- Le devoir passe avant l’éthique
- L’honneur passe avant le devoir
[…] nous allons nous dérouiller un peu avec de l’action ! Notre protagoniste a un enjeu et un problème, nous allons faire monter la pression d’un cran et le coller dans une situation critique […]