Et voilà :

Mes corrections sont terminées, mes bêta-lecteurs sont passés et ont donné leur avis (qu’ils en soient remerciés !), le manuscrit de La Messagère du Ciel est prêt. Il est donc parti chez Critic pour la lecture éditoriale. Prochaine étape : les révisions en concertation avec l’équipe. Nous sommes donc toujours sur les rails pour la publication en mai 2017.

On ne va pas tourner autour du pot, c’est sans aucun doute le livre à la fois le plus sombre et le plus épique que j’aie jamais écrit. Je parlais il y a un an de fantasy post-apocalyptique, je crois humblement avoir rempli le contrat. L’époque ne porte pas le nom d’Âges sombres pour rien… Mais cela ne veut pas dire que l’espoir est absent ; en plus, je crois que, dans des situations désespérées, l’humour forme la réaction humaine la plus naturelle, et il arrive qu’on se marre dans ce roman (si, si). Sept à huit points de vue principaux plus quelques autres ponctuels, de vrais salopards et des héros du quotidien, des batailles, de l’action, plusieurs théâtres d’opération, de la politique et des complots, plus une ou deux discussions sur les liens entre pouvoir et religion ainsi qu’entre vérité et réalité, je me suis vraiment fait plaisir sur l’envergure du récit. (Et je n’aurais pas pu jongler avec tout ça sans mon fidèle Scrivener.) J’espère que le plaisir sera partagé à la publication ! 

Et il reste encore tellement de choses à dévoiler dans les deux tomes suivants – qui portent actuellement les titres de travail suivant : La Fureur de la Terre (sortie automne 2017) et L’Héritage de l’Empire (sortie printemps 2018). Mais on aura très largement le temps d’en reparler – on va sortir celui-là d’abord…