Il venait là chaque jour pour assister au fracas des vagues. Il pouvait intiment ressentir le choc de la mer sur la falaise. Il descendait le plus bas possible pour sentir les fragrances maritimes. Ce qu’il préférait : l’océan déchaîné. Car alors, il pouvait s’imprégner de l’écume donc les saveurs le rappelait celle perdue sur les flots. Il ne lui restait plus aujourd’hui que le goût du sel, le goût de l’irrémédiable perte. Il se souvenait de ses yeux pétillants, du musc de sa chevelure…
« Ton souvenir est une plaie qui se corrode,
Chaque vague qui reflue sur moi m’érode. »
Frank Scaldeyr
1 octobre 2021 à 11h52
Correction :
Car alors, il pouvait s’imprégner de l’écume dont les saveurs lui rappelaient celle perdue sur les flots.
Parce que sinon, cela ne veut rien dire…(honte sur moi).
Il venait là chaque jour pour assister au fracas des vagues. Il pouvait intiment ressentir le choc de la mer sur la falaise. Il descendait le plus bas possible pour sentir les fragrances maritimes. Ce qu’il préférait : l’océan déchaîné. Car alors, il pouvait s’imprégner de l’écume donc les saveurs le rappelait celle perdue sur les flots. Il ne lui restait plus aujourd’hui que le goût du sel, le goût de l’irrémédiable perte. Il se souvenait de ses yeux pétillants, du musc de sa chevelure…
« Ton souvenir est une plaie qui se corrode,
Chaque vague qui reflue sur moi m’érode. »
Correction :
Car alors, il pouvait s’imprégner de l’écume dont les saveurs lui rappelaient celle perdue sur les flots.
Parce que sinon, cela ne veut rien dire…(honte sur moi).
Pas de honte, on pouvait s’y retrouver ! 🙂
(et terrible tableau.)