Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « S06e05 – Lire quand on écrit« .
Est-il encore possible d’être candide quand on s’intéresse suffisamment à un art pour en apprendre, puis en pratiquer les techniques et les ficelles ? Pratiquer l’écriture vous condamne-t-il à vous éloigner du plaisir de lire ? D’abord, il est question de rappeler l’importance de la lecture ! Mélanie parle de l’élargissement des horizons et des possibles qu’elle suscite ; pour Estelle, c’est la première école, et une manière d’apprendre tant les tropes que le paysage éditorial. Lionel insiste sur l’aspect du plaisir que l’on est censé éprouver à recevoir l’art que l’on pratique. Il est ensuite question de l’évolution du goût avec l’apprentissage de la technique, et des nouveaux plaisirs qu’elle ouvre.
Références citées
– Gabriel Ariñ-Pillot
– Johnny Hallyday, Allumer le feu
– Manon Fargetton, Tout ce que dit Manon est vrai
– Floriane Soulas, Les Oubliés de l’amas
– Les éditions du chat noir, Dawn Kurtagich
– Hellblade, Senua’s Sacrifice (Ninja Theory)
– Outer Wilds (Mobius Digital)
Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :
Bonne écoute !
Merci pour cet épisode. Je suis d’accord qu’il difficile d’imaginer un danseur détester la danse, un musicien qui n’écouterait pas de musique et bien sûr un écrivain qui n’apprécierait pas lire. Depuis que je lis aussi dans le but d’analyser les constructions des histoires, j’ai découvert quelque chose qui m’a surpris. Quand un livre me plaît il me plaît encore plus (surtout quand j’ai vu les ficelles) et quand une oeuvre ne me plaît pas, je sais dire pourquoi et finalement la déception est plus facile à digérer car elle m’a apporté quelque chose.
Voilà, c’était mon opinion, histoire de procrastiner un peu ici. 😉
Mais c’est un chouette témoignage ! Merci 🙂