Un canal de communication fort important (et, j’ai cru voir, plutôt apprécié – merci, ravi que mes ponctuelles divagations proposent une respiration dans votre boîte mail !) est la newsletter. Un truc important avec les newsletters, c’est qu’elles parviennent à ceux et celles qui les demandent, hein, sinon ce serait comme un vol Paris – Tahiti qui serait détourné sur Oslo, ça ne serait pas vraiment ce qu’on aurait demandé.
Pour conserver un bon ratio signal-bruit – c’est-à-dire que la lettre n’encombre pas votre boîte si vous vous en désintéressez – ce serait super triste, mais bon, je ne vais pas vous faire de chantage affectif – vous faites ce que vous voulez – M’EN FOUS HEIN –, et aussi pour que, concomitamment, elle ne finisse pas dans les spams des gens fréquentables qui ne s’en désintéressent pas, des gens au goût sûr, riches, célèbres, un petit peu au-dessus du tout-venant, VOUS VOYEZ –
(Je crois que je suis mauvais en marketing viral)
Donc : si vous n’ouvrez pas la newsletter pendant un certain temps, Lucien, le robot de la newsletter, enverra une armée de Terminators à votre domicile vous enverra un petit mot vous proposant de rester inscrit·e, ou pas, histoire d’économiser de la bande passante, de l’électricité et des ours polaires avant d’envoyer une armée de Terminators à votre domicile.
Lucien est gentil, l’ordinateur est votre ami.