Worldcon : jour 4
Et voilà, c’est fini… Et j’ai donc la sensation frustrante de n’avoir vu qu’un quart de tout ce que la convention avait à offrir. Forcément, mais n’empêche : j’aurais voulu m’initier à la filk, mieux voir les costumes, traîner un peu plus du côté des panels éditoriaux américains… Impossible de tout faire.
La fatigue s’accumulant, j’ai observé un rythme plus réduit ces deux derniers jours, mais encore une fois riche en rencontres ; j’ai eu le plaisir de discuter longuement avec Sheryl Curtis, la brillante et charmante traductrice des nouvelles de Jean-Claude Dunyach, chez qui j’avais eu le plaisir la veille au soir d’assister aux feux d’artifice donnés par la ville de Montréal pendant tout l’été, soirée qui s’était poursuivie en longs échanges sur la technique littéraire avec Laurent Genefort et Lucas Moreno.