Graffit près du réfectoire, UFR Lettres

Aujourd’hui, je reprends mon court enseignement en Master Traduction sur les Outils Informatiques du Traducteur. C’est-à-dire douze longues heures de torture pour les étudiants à apprivoiser la machine que, pour beaucoup, ils ont cherché à éviter toute leur vie : l’ordinateur. Mais, pour produire du texte, on ne coupe pas à maîtriser les logiciels idoines, à utiliser intelligemment Internet, à appliquer les règles de typographie.

On ne coupe pas non plus à faire preuve de rigueur et de minutie, et, là-dessus, il m’arrive d’être un cruel réveil-matin.