Aujourd’hui, je reprends mon court enseignement en Master Traduction sur les Outils Informatiques du Traducteur. C’est-à-dire douze longues heures de torture pour les étudiants à apprivoiser la machine que, pour beaucoup, ils ont cherché à éviter toute leur vie : l’ordinateur. Mais, pour produire du texte, on ne coupe pas à maîtriser les logiciels idoines, à utiliser intelligemment Internet, à appliquer les règles de typographie.
On ne coupe pas non plus à faire preuve de rigueur et de minutie, et, là-dessus, il m’arrive d’être un cruel réveil-matin.
A ce point-là ? o_O
Disons que j’ai été formé par les classes préparatoires. Donc, quand j’ai des étudiants avec des faiblesses d’orthographe et de vocabulaire (c’est hélas le mal de l’époque) que je considère intolérables pour de futurs professionnels de l’écrit, je les secoue. Fort. Pour leur bien.
Ouille. -_-
Il en faut des profs qui cognent! Les étudiants d’Angers, c’est tous des branleurs^^
A Clément : I beg to differ ! Nan mais oh ! 🙂
Alors ils sont comment cette année ? Nous, on te regrette en tout cas 🙂 Tu n’as pas eu tes cours mangés par la réunion sur les problèmes de budget ? Et d’ailleurs, en parlant de budget, tu as toujours des ordinateurs dans ta salle ? 😀
C’est gentil ça ! J’avais passé une super année avec vous, en fait je pensais abandonner l’enseignement et puis vous m’avez redonné envie.
Bah ils ont l’air cool cette année (bien moins nombreux que je vous) mais je crois que je leur fais plus peur qu’à vous.
Non, pas eu de souci avec la réunion, et ce sont les ordis des géographes de toute façon, donc je ne crois pas qu’ils risqueraient de bouger.
Des ordis dans les salles? A Angers? Je suis parti depuis bien longtemps… Bam, coup de vieux.