Auguste lectorat, aujourd’hui, je te souhaite la bienvenue dans mon merveilleux petit laboratoire informatique et névrotique.
Présence légèrement en retrait ces temps-ci sur les réseaux, à cause de :
… monsieur, de son petit nom Orca IV, qui, après six ans de bons et loyaux services et mises à jour matérielles bichonnées avec amour, a décidé que moui, finalement, ne plus reconnaître le disque système (neuf et fonctionnel) une fois tous les trois mois, c’était rigolo. Ça permet à l’utilisateur de réinstaller toutes les applications, ça le force à un peu de tri, c’est plutôt sain, n’est-ce pas ?
Oui, ben non. Quand des petits trucs aléatoires commencent à planter ici et là, on sent qu’il est temps de mettre la machine à la retraite, surtout quand c’est celle qui sert à bosser. Ce billet est le premier tapé sur :
Monsieur Orca V (ou madame ? Anguleux, monolithique façon 2001, sombre et légèrement menaçant, tous archétypes sexués mis à part, ce sera pour moi monsieur). Originellement conçu comme une machine de montage vidéo, mais parfait pour traiter des photos, faire un peu de MAO, et surtout travailler très à l’aise avec dictionnaires, traitements de texte et navigateurs ouverts.
Ta mission, si tu l’acceptes, mon cher, sera de durer plus longtemps que ton prédécesseur.
http://www.bouletcorp.com/blog/archive/20090122.jpg
Moi je suis très content de mon portable minimal – en gros juste un traitement de texte – j’arrive avec à faire mon écriture quotidienne ce qui était l’objectif 😉 même avachi et fiévreux dans mon lit comme hier 🙂 Il n’a pas encore de nom.
Sous Windows 8 😀 ?
Rassures moi le FSB est bien auto détecté MOUAHAHAHAHAHA !!!
Windows 8? C’est quoi? :p
6 ans pour un ordi, c’est plus que raisonnable. Profites bien de ton petit nouveau et bonne retraite a l’ancien.
Merci! 🙂
(mais du coup, t’es sous quel OS ?)
Seven.
sounds like a scary OS…
http://www.imdb.com/title/tt0114369/?ref_=fn_al_tt_1
Ces ordinateurs cachent des entités qui ne cherchent qu’à s’amuser avec nos cervelles imparfaites.
La carte-mère d’un de mes premiers PC donnait des signes de faiblesses. J’ai tenté d’en flasher le BIOS avec un logiciel téléchargé sur internet et copié sur une disquette. Je n’avais pas prévu qu’il me demanderait un mot de passe avant d’accomplir sa besogne. J’ai vainement essayé de le trouver sur la disquette, puis sur la toile. En désespoir de cause, j’ai essayé des mots de passe “standards” utilisés par les informaticiens. Rien n’y a fait.
Dans un baroud d’honneur, j’ai laissé mes doigts pianoter au hasard à toute vitesse, une dernière fois sur le clavier.
Une fenêtre d’invitation à continuer le flashage du BIOS est alors apparue. Estomaqué, j’ai recopié le mot de passe magique à sept caractères (il apparaissait clairement à l’écran) et procédé à plusieurs tests pour voir si d’autres mots de passe plus ou moins proches permettaient l’accès au flashage. Mais seul le mot de passe inspiré jusqu’au bout de mes doigts par ma muse convenait.
“Ben merde, alors” ai-je profondément songé, deux doigts sur le front, le pouce sur le menton. Et humblement,sans plus chercher ce que la science ne pouvait expliquer, je me suis employé à simplement profiter du miracle qui m’était accordé pour flasher le bios de ma carte-mère et la soigner de son mal.
Aucun ami informaticien n’a pu trouver d’explication à cet événement. Les Lutins sont parmi nous : je le sais, maintenant.
C’est quand même ballot, c’était ça ou trouver les numéros du loto, vous avez gaspillé la chance de votre vie 🙂
Mais je suis comme vous, camarade. Un jour, j’ai rêvé du mot de passe admin du réseau de mon école. Dans le genre inspiration inutile… 😉