Je reviens donc de Meyzieu1 après un week-end aux Oniriques absolument fantastique ; auguste lectorat, tu sais combien je n’aime pas rédiger de compte-rendu de festival, combien je n’ai pas envie que cela dérive en fête du name-dropping et de la surenchère mais si j’en dis un petit mot un peu long, c’est vraiment pour marquer le coup et remercier un événement et une équipe chaleureuse, dévouée et très professionnelle, qui a mesuré son succès non pas au chiffre d’affaires mais comme le Bhoutan – c’est-à-dire sur le plaisir ressenti par les visiteurs et par les invités, tout le long de la manifestation. Et du plaisir, il y en a eu, de l’arrivée (« Oh mais y a que des copains dans la salle ») aux interactions avec les lecteurs (passionnés, intéressés, gentils, cultivés, vivi, c’est vous, ça) en passant par les échanges, à la fois lors des débats mais aussi derrière les tables, et les initiatives sortant de l’ordinaire comme les concerts (merci au public des Deep Ones et bravo pour aux Bons à Tirer pour avoir mis le feu). Un festival, pour nous, c’est du plaisir mais aussi du travail, et ce n’est pas si courant qu’on ait l’impression d’être si bien qu’on se sent en vacances. Merci à Fred pour avoir bossé d’arrache-pied et fait en sorte qu’on prenne un réel plaisir, ainsi qu’à toute l’organisation, bénévoles, chauffeurs, modérateurs, barpeople, libraires, pour leur disponibilité et leur gentillesse. Big up à mon camarade de Ballistic Frogs qui a proposé Psycho Starship Rampage debout toute la journée malgré une fracture en convalescence (ci-contre). Et merci à tous les amis, collègues et camarades, et en particulier à vous, mes voisins de table (j’ai dit que je ne faisais pas de name-dropping, mais là aussi je veux marquer le coup) pour les moments chaleureux, drôles, passionnants passés à vos côtés.
Ce week-end je repars sur la route, mais juste à côté : je serai à Rue des Livres, the salon littéraire de Rennes, sur le stand de la librairie Critic avec Sophie Dabat, Franck Ferric, Thomas Geha et bien d’autres encore. Venez, c’est tout à fait près de chez vous si vous habitez pas vraiment loin.
- Les jeux de mots sur le nom de cette ville sont navrants mais obligatoires. ↩
Vivement le salon de Moncuq.
J’approuve. Mais qui irait faire un festival de l’imaginaire dans ce trou perdu ? 😛
Exactement ce que j’ai dit à je ne sais plus qui avant-hier.
Ouah tu as mangé du Lyon ! (moi aussi je peux faire du jeu de mot pourri^^) – content de t’avoir croisé, c’est vrai que l’ambiance était vraiment sympa.
C’était effectivement un plaisir 🙂
Il s’en passe des trucs SUR Lionel Davoust. J’espère qu’il est d’accord 🙂
Nous nous croiserons donc de nouveau à Rennes !
C’est toujours un plaisir de retrouver le spécialiste des orques, des fonds marins, et pour l’occasion, de Jules Verne !
Pas mieux, c’était vraiment un chouette festival ! Je me demande combien de haricots ont été décomptés à la fin…
Et contente d’avoir pu vous croiser.
Comptage de haricots en cours ! 😉
Les blagues lourdingues sur le nom de Meyzieu, ça n’a pas manqué pendant le concert des Deep Ones !
C’est en train de devenir une tradition. Nous y tenons comme à la fameuse prunelle du même nom 😉
Le jeu est d’en trouver de nouvelles…
pour s’assurer qu’elles sont nouvelles, quelqu’un les référence ? 🙂
Oui, moi ^^ (J’ai une mémoire de bibliothécaire…)