Qui ne connaît pas le célèbre « Luke, je suis ton père », le pouvoir terrifiant de l’Œil de Sauron ou encore la devise Winter is coming ?
Des succès planétaires de Star Wars au Seigneur des Anneaux, de Game of Thrones à Harry Potter, l’imaginaire forme la première culture mondiale, transcendant les générations et les nationalités.
Parler des « littératures de l’imaginaire » est en réalité un raccourci pour désigner les littératures des mondes imaginaires. Ces réalités fictionnelles peuvent être proches de la nôtre dans le cadre du fantastique ou de la fantasy urbaine, ou bien totalement disjointes comme dans le cas de la Terre du Milieu ou de Westeros. Ce qui régit ce monde, qu’il s’agisse de l’horreur indicible des Grands Anciens de Lovecraft, des systèmes magiques extrêmement poussés et complexes de Brandon Sanderson ou de la science du voyage spatial et des relations entre espèces extraterrestres dans Star Trek, constitue ce que l’on peut appeler « l’hypothèse de monde » imaginaire.
Or la construction d’un monde imaginaire est une entreprise créative à part entière, mais pour laquelle l’auteur ou autrice doit ménager un équilibre délicat : proposer une réalité complexe, tangible et intéressante, sans pour autant ensevelir l’intérêt de son récit sous l’exposition.
Cet atelier vise à explorer les difficultés spécifiques de cette approche à travers des exercices et techniques opérantes afin d’étoffer ses mondes imaginaires, d’y rechercher de nouvelles occasions narratives, et surtout de dynamiser ses histoires et d’esquiver les pièges les plus courants.
Pour suivre cet atelier il est indispensable :
● De posséder une familiarité de base avec l’imaginaire et ses genres (science-fiction, fantasy, fantastique), que ce soit sous forme littéraire, cinématographique et/ou ludique.
● D’arriver à l’atelier avec une proposition succincte d’hypothèse de monde imaginaire (une demie-page minimum définissant les grandes règles du fonctionnement de la réalité fictionnelle en question selon les intérêts de l’auteur ou autrice : réalité géographique, physique, magique, ou bien sociale, ou encore un peu de tout cela à la fois). Elle servira de base au travail du stage.
Une pause repas d’une heure est prévue chaque jour de 12:30 à 13h30. Vous êtes libres de déjeuner à l’extérieur ou d’apporter votre repas sur place – un frigo et un micro-ondes seront à votre disposition, ainsi que du thé et café à volonté !
Sincèrement merci : je me suis levée avec Dalida dans la tête, et ça, c’est quand même nettement mieux.
Ha, avec plaisir 😀
Il y avait un petit bug sur l’article : le calendrier n’apparaissait pas. C’est corrigé 🙂
Oh, des avatars boulet ! Cool…
Et donc tu es sous le coup du secret-défense pour les Imaginales, je suppose…
(sinon, ça n’a rien à voir, mais je viens de remarquer tes projets en cours à côté – j’aime bien)
Ah, très content que ça te plaise, ça n’a l’air de rien mais c’est un gros truc, ça ! Je ferai une petite annonce là-dessus la semaine prochaine, pour l’instant je beta-teste ^^
OMG… t’as mis des barres d’avancement dans les projets en cours!
Yep, finalement ! 🙂
En même temps, la nana n’a pas tort. New york n’a pas grand chose à voir avec le reste de l’Amérique. Si on compare avec le Texas ou l’Arizona (au pif), ce n’est carrément pas la même planète.