Et voilà : il est sorti le 3 janvier, il est tout frais tout beau, il coûte moins de cinq euros : Les Questions dangereuses est à présent disponible dans toutes les librairies (et vous pouvez le commander s’il n’est pas disponible, car c’est bien de faire travailler son libraire) :

Couv. Ammo

MAIS QU’IL EST BEAU. Et le contenu, le contenu ! Oh là là. Fichtre. Je crains que la teneur ne soit garantie en irrévérence.

Ah, Batz ! Clerc, moine – que dis-je, philosophe ! – ce sont là les métiers à haut risque, non le nôtre. Nous au moins n’avons jamais aucun doute dans le maniement des armes, mais eux qui mijotent avec elles continûment sans jamais y échapper finissent par confondre Question et Réponse, oubliant qu’il y a l’extrémité que l’on empoigne et celle avec laquelle on tue.

1637 : Qui a assassiné le docteur Lacanne, en plein château de Déversailles ? Pour connaître la réponse à cette question, le mancequetaire Thésard de la Meulière, son libram à la main, est prêt à résoudre les énigmes les plus perfides… jusqu’aux confins de l’indicible.

Je l’ai déjà dit ici ou là mais Les Questions dangereuses fait partie de ces textes dont je me suis dit en ayant l’idée : « Rhô, sérieux, c’est vraiment trop con pour que je ne l’écrive pas », comme « Tuning Jack » (disponible gratuitement ici) ou « L’Île close ». C’est dire si j’ai grande joie à ce que ce crime contre la littérature circule à présent librement et à vil prix, afin qu’il se dissémine et pervertisse tout ce qu’il trouvera sur son passage.

Alors si ça, ça ne vous donne pas envie d’y jeter un œil, je ne sais plus comment racoler, moi.