… est le titre de l’article réalisé par Marcus Dupont-Besnard pour Numerama, qui synthétise (car je parle beaucoup trop si on me laisse faire) un très long et chouette entretien autour de Comment écrire de la fiction ? et des particularités de l’écriture d’imaginaire :
Ces genres ont-ils une particularité dans le domaine narratif ? « On ne peut pas imaginer un bon roman d’imaginaire qui ne soit pas un bon roman tout court », prévient Lionel Davoust. « Mais l’imaginaire ajoute des difficultés techniques supplémentaires. » Nous lui avons demandé s’il existait des pièges et idées reçues spécifiques à ces genres, que les jeunes auteurs et autrices devraient soigneusement éviter dans l’écriture d’un manuscrit.
Merci à Marcus et à Numerama pour leur intérêt envers ce livre, et envers ce que je crois avoir appris au bout de beaucoup trop de temps passé à faire ce métier forcément malhonnête.
➡️ Lire l’article – entretien de Numerama sur Comment écrire de la fiction ?
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C’est cool, cet article sur Numérama.
J’ai adoré votre livre, notamment pour ce mélange du concentré d’intelligence que vous y avez insufflé, avec l’humilité de l’artisan dont vous faites preuve.
C’est devenu un livre de chevet pour moi. Merci de cet écriture !
Merci beaucoup Lionel pour votre commentaire et pour votre appréciation du livre !
(Et vous avez évidemment le meilleur prénom du monde.)
Ravi que cet humble opus vous ait plu à ce point et qu’il vous ait donné envie de le revisiter : c’était exactement ce que j’espérais réussir.
Bienvenue par ici ! 👍
(je n’ai pas réussi à envoyer ce email via la partie contact, je ne comprends pas pourquoi. Il n’y a pas de section commentaire sur la partie « Évanégyre » je me permet donc d’écrire le contenu du message ici. J’espère que je ne fais pas une erreur)
J’ai découvert votre saga « Les Dieux sauvages » grâce à la booktubeuse Camelote Magicadou. Elle a dit lors d’une de ses vidéos qu’elle préfère votre sage à la sage « Les Archives de Roshar » de Brandon Sanderson. C’est ma saga favorite, cela a donc suscité mon intérêt. Je suis sur la fin du quatrième tome des Dieux Sauvages. La comparaison avec Sanderson est légitime. Les personnages sont géniaux. Ils évoluent pas à pas. Pensé de nouveau au début de notre rencontre est grisant. L’univers se dévoile à son rythme. Enfin bref, j’ai adoré. j’attends le cinquième tome avec impatience.
J’ai découvert que d’autres livres se déroulent dans le même univers. Sur le site, il est indiqué que l’on peut livre ces œuvres de manières indépendante. Toutefois, dans l’ensemble des Dieux Sauvages, Asrethia reste une période mystérieuse. Découvrir certaines infos m’ont marqué car je n’y ai jamais pensé. C’est pourquoi je me demande s’il n’y a pas un ordre de lecture idéal qui me permettrait de conserver ce genre de surprise. Attendre d’avoir fini la saga « Les Dieux sauvages » avant de commencer « La Route de la Conquête » par exemple ? Ou un autre ordre. Je me doute que je ne suis pas le seul à être intéressé par ce genre d’information. Un ajout à la partie « Évanégyre » serait bienvenu si un ordre est préférable (même s’il est flou).
Bonjour Couagga et bienvenue par ici, vraiment très heureux que la saga « Les Dieux sauvages » vous emmène à ce point – je suis évidemment flatté, enchanté, par la comparaison avec Sanderson, dont j’apprécie et admire beaucoup le travail ! Et votre question est tout à fait bienvenue. Merci pour votre lecture.
Normalement, les livres impériaux (La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête) et le roman postérieur actuellement à « Les Dieux sauvages » (Port d’Âmes) sont réellement conçus pour ne rien spoiler à ce stade d’écriture de la trame, ni pour être lus dans un ordre donné. Vous trouverez des échos de lieux, de noms, de figures historiques, et parfois des passerelles jetées à des millénaires d’écart – mais vous ne saurez que c’est une passerelle que si vous possédez (= avez lu) les deux points qu’elle relie, sinon – vous ne manquez rien. Les grandes « phases » de la trame sont conçues pour ne pas constituer des révélations fracassantes (vous savez que l’Empire s’est cassé la figure, ce qui compte, c’est comment on en arrivera là, et ça vaudra une saga un jour…) de la même manière que le monde de Port d’Âmes est très différent de celui de « Les Dieux sauvages »… mais comme c’est indépendant, on part à chaque fois sur autre chose en fonction de l’histoire, et je prends spécialement soin de ne pas spoiler 😉
Vous pouvez donc tout à fait, je pense, lire La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête (il y a en particulier dans ce dernier livre un texte qui éclaire beaucoup la chute des Mortes-Couronnes, si vous voulez faire le lien avec La Messagère du Ciel). Port d’Âmes aussi, mais comme c’est ultérieur, peut-être voudrez-vous attendre la fin de « Les Dieux sauvages » (même si là aussi, l’histoire n’a quasiment aucun lien, à part des échos historiques qui font partie du décor – donc vous ne risquez rien, je pense).
Vous avez tout à fait raison, cette info devrait être plus facile à trouver. Je vais m’en occuper au plus vite avec une petite FAQ, ce sera déjà ça !
Encore merci pour votre enthousiasme, ça fait vraiment très plaisir !
Merci pour ces renseignements. Je vais donc lire La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête.
Merci à vous et bonnes lectures, bonne suite de découverte d’Évanégyre !