Petit teaser : documentation (partielle) pour un des textes de science-fiction évoqués la semaine dernière et qui devraient sortir cette année. C’est un des aspects du métier que j’aime le plus : la chance de pouvoir parler à absolument tout le monde de tous les sujets imaginables et d’apprendre sans cesse. En fin d’année dernière, j’ai également eu le privilège de m’entretenir quatre heures par Zoom avec un ethnologue de l’université de Pretoria avec qui nous étions mutuellement fascinés par les univers de l’autre ; une des plus belles et émouvantes rencontres que j’ai pu faire de récente mémoire, et qui me rendent reconnaissant à l’univers de toutes les portes que mon humble clavier dresse devant moi.
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4 Commentaires
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C’est pas bien ce que tu fais Lionel, je suis jaloux…tu organiseras une masterclass intitulée : « comment faire pour avoir la chance de discuter 4h avec un ethnologue sur le sujet de votre choix ? » Merci d’avance.
Blague à part, l’étape de recherche et d’étude pré-rédaction est toujours extrêmement stimulante.
Là j’ai eu la chance de pouvoir passer par relation de relation de relation, mais la plupart du temps en fait, il suffit d’envoyer des mails en expliquant ce qu’on fait 😊 Quand j’ai tenté ça, y compris en traduction, j’ai toujours eu des contacts extrêmement gentils et eux-mêmes fascinés par les métiers de l’écriture, donc le courant est toujours très bien passé : on est quand même bien reçu quand on explique qu’on est intéressé par ce que les gens font et qu’on veut le présenter convenablement. 🙂
Merci pour ta réponse. C’est pas si compliqué en fait…
Il faut « juste » que je franchisse la barrière de : « ça va le/la faire chier ta demande ». Une fois franchi tout est plus simple.
L’écriture n’est qu’une longue course de steeple-chase qui DURE LA VIE.