En route

So._Well._Looks_like_I_m_kinda_packed._On_to__lareunion__island____travel__selfie

Plus de photos trop lol sur Instagram

Bon.

Ça y est, 30 kilos de bagage avec une surtaxe à prévoir, le portable est synchronisé avec le cloud, j’ai un contrôleur Ableton et un mini-clavier pour composer en déplacement, ma tablette qui sert de bloc-notes, tous les logiciels sont mis à jour, j’ai un Lightroom tout frais sur le portable pour traiter les photos faites là-bas.

Il n’y a plus qu’à décoller : le prochain article, si tout va bien, sera posté depuis l’île de la Réunion !

2015-07-14T23:25:52+02:00mercredi 15 juillet 2015|Journal|6 Commentaires

Un entretien d’un autre genre

Ohoho, j’avais oublié ça : voilà que je trouve ma trombine (avec les cheveux et presque rasé, une horreur, éloignez les enfants) dans la newsletter du programme gallois Adopt A Dolphin. Il y a quelques années, je m’étais occupé de refondre la plate-forme en ligne de Sea Watch Foundation, où j’avais été volontaire écologique en 2011, histoire d’apporter un peu à une bonne cause ce que j’avais appris en bossant sur la mienne.

aad-davoust

(Ça se voit que je fais des articles plus courts en ce moment parce que je bosse d’arrache-pied sur Port d’Âmes ? OK, comme ça tu es au courant, auguste lectorat.)

Sérieusement, ce n’est pas pour le plaisir de la ramener en mode “regarde maman je suis dans le journal” mais pour promouvoir discretos le programme Adopt A Dolphin, d’abord destiné aux enfants, mais qui concerne tout le monde. Il s’agit d’un parrainage classique d’animaux sauvages mais, contrairement à d’autres structures où l’on ne sait pas vraiment à quoi sert l’argent, ici il va directement à la recherche scientifique d’une fondation à taille humaine et dont le travail est reconnu depuis des années. Pour savoir à quoi leur travail ressemble, facile, j’en ai longuement parlé à l’époque. (Attention, ces articles racontent aussi un peu ma vie.)

2015-05-02T18:34:41+02:00mardi 5 mai 2015|Journal|3 Commentaires

État d’esprit

Rapport d’avancement : jusqu’au cou, et même trois mètres au-dessus de la tête, dans les corrections de Port d’Âmes. Humeur du moment :

cosmoschtroumpf

Sinon, j’ai reçu ça :

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D’ici à ce que j’ai le temps de le lire, tout aura été dit dessus.

2015-04-15T09:44:59+02:00jeudi 16 avril 2015|Journal|5 Commentaires

Hey, Paul

if-my-killing-claw-is-on-my-foot-does-that-mean-i-m-a-contortionist-9c875aAuguste lectorat, si tu traînes sur les Internets sociaux, peut-être as-tu vu passer il y six mois que je me trouvais fort dépourvu alors que la bise était déjà venue : sujet à une tendinite calcifiante de l’épaule droite qui avait dégénéré, à force de mauvais traitements, en une paralysie douloureuse du bras en question, ce qui, quand on est droitier, est un peu, selon la terminologie sociologique précise, la lose. Cherchant une forme de solution dans ta sagesse collective, tu fus assez bon pour m’indiquer quantité de pistes, et je t’en remercie encore1 – et l’on m’a demandé de revenir sur l’expérience par la suite afin de partager ce qui a marché, ou non, pour en faire bénéficier ladite sagesse collective. Dont acte. Si les articles à nature médicale – aïe j’ai mal – pauvre de moi – vous gavent, vous êtes entièrement libre de lire autre chose ; je n’ai pas l’habitude de rédiger ce genre de contenu, et le but est ici d’éviter à d’autres, potentiellement, les mêmes pièges qu’à moi.

Disclaimer : je ne suis pas médecin et mon avis n’est en rien médical. Allez voir un médecin compétent et ne venez pas râler ici si vous êtes traités de travers suite à cette lecture, parce que je ne suis en rien responsable. Ceci n’est que mon expérience et elle n’a de valeur statistique que pour n = 1, n n’étant pas vous, en plus, hélas. Si, malgré tout, d’éventuels poursuivants se présentaient, sachez qu’ils seront contrevenus.

Ceci étant dit, avanti.

Descente au je m’enferre

Historique rapide. Il y a trois ans, je commence à ressentir une gêne fugace au niveau du biceps qui apparaît si rarement que je n’y prête pas attention, et me trouve surtout dans l’impossibilité de recréer la douleur à la demande, ce qui est un peu compliqué pour consulter. Je pense que cela va passer, mais, quand je me trouve à dormir dans des conditions moins qu’idéales en mer dans les Hébrides, je me retrouve tous les matins avec une douleur nette et sourde dans l’épaule qui ne passe qu’après plusieurs minutes d’immobilité absolue. Un peu inquiet, je vais consulter, parce que j’ai là un problème identifiable.

Et là démarre un parcours erratique où s’enchaînent des approximations qui me feront aboutir, deux ans et demi plus tard, sous codéine à dormir le bras surélevé sur un oreiller.

Mon généraliste, après un examen superficiel, me diagnostique une tendinite, tout court. Il m’envoie chez le kiné, qui travaille avec le diagnostic qu’on lui a fourni, sans succès ; ma douleur se situant en plus principalement au niveau du biceps, il masse tout ce qu’il peut, essaie de remonter au dos, me donne des mouvements, mais rien n’y fait (voire, c’est pire), malgré une vingtaine de séances. La suite logique consiste à m’envoyer chez le rhumatologue. Lequel, visiblement, se passionne autant pour mon cas que pour un rhume, et me prescrit des infiltrations quand il constate que me gaver d’anti-inflammatoires ne donne rien.

Celles-ci sont réalisées à l’aveugle, et me soulagent à peine et temporairement. On m’en fait donc une deuxième, pour un résultat égal. La suite, me dit le rhumatologue que j’imagine établir mentalement une liste de courses sur Zalando en même temps qu’il me parle, consiste à une opération.

“Pop pop pop poppa Gangnam Style, lui réponds-je en substance, j’ai un super coach de remise en forme qui m’a parlé d’ultrasons et d’ondes de choc, si on tentait un truc pas invasif d’abord ?”

Visiblement déçu de ne pas avoir recours à une invasion (et je suppute une filiation lointaine entre mon rhumatologue et Gengis Khan), il accepte du bout des lèvres. Me voilà partant me faire onde-de-choquer l’épaule. Ce qui ne donne pour ainsi dire rien : l’aspersion d’azote liquide que la kiné m’administre en fin de séance pour faire refroidir les tissus me fait limite plus de bien que le traitement en soi.

Je décide plus ou moins d’en prendre mon parti, après tout, ça va à peu près, mais ça empire à nouveau, je ne peux plus faire de sport impliquant le haut du corps, bref, j’en ai marre. Je tente l’ostéopathe, qui réalise une première séance excellente malgré un discours macrobiotique frisant la pseudoscience qui éveille ma méfiance (“Vous mangez trop de lait, nous ne sommes pas faits pour digérer les produits laitiers, ce n’est pas la même espèce, vous comprenez, c’est cela qui vous nuit” – un raisonnement qui contredit l’idée même de prédation, ce qui me fait dubiter sévère sur la justesse de sa représentation du monde). Et, sur les trois suivantes, le dit ostéo me coince totalement, à un point grave de paralysie, comme énoncé en avant-propos : je fais diversion en me prétendant la réincarnation de Jamel Debbouze mais, intérieurement, selon la terminologie psychologique précise, je flippe ma race.

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On arrête tout et on recommence

Je me dis que j’ai été mal aiguillé, que ce n’est pas possible que rien ne fonctionne sur mon cas, et je reprends tout depuis le début. Pas encore prêt à employer les médecines parallèles (je me sens dans le cas d’un type avec une fracture ouverte à qui l’on conseille une inhalation de cartilage de requin pour renforcer les tendons – pourquoi pas en prévention, mais là, c’est hélas un peu tard pour mon cas), je profite du changement de carrière de mon généraliste pour en prendre un autre. Je cherche sur Internet un médecin du sport avec un rayonnement certain, j’en trouve un qui s’occupe d’une équipe de foot professionnelle qui s’exprime dans la presse et qui habite à dix minutes de chez moi, et je me dis que s’il aide des athlètes de haut niveau, il doit bien pouvoir me trouver une solution virgule bordel.

En quinze minutes, il me diagnostique lui aussi une tendinite mais m’envoie immédiatement faire des radios pour déterminer quel type de tendinite exactement. (Parce que c’est comme les glaces, ça existe en plusieurs parfums.) Il n’exclut pas l’opération mais grogne en entendant mon parcours, et laisse entendre : “vous allez déjà retenter avec mes kinés à moi tout ce que vous avez déjà tenté, et si ça ne marche pas, on envisagera de vous ouvrir, mais d’abord, éliminons bien tout, okay ?” Ravi que ce médecin-là ait plutôt une ascendance avec Gandhi, je hoche la tête énergiquement et ajoute aussitôt aïe parce que ça me tire dans l’épaule.

Verdict : tendinite calcifiante – l’os se “colle” au tendon et fait rouiller l’épaule. Les douleurs dans le biceps ? C’est dû aux difficultés de jeu de l’articulation : oui, vous avez mal dans le bras, mais la source est ailleurs.

Je fais six séances d’ondes de choc et miracle : dès la première, la douleur constante disparaît ; dès la deuxième, je récupère 30% de mobilité ; au bout de six, mon état continue à s’améliorer dans les semaines suivantes et je récupère au final 90% de mes capacités, ce qui est mieux qu’au moment où le trouble s’est déclaré.

Ce qui a changé ? Eh bien, les kinés savaient administrer des ondes de choc, eux. Il ne suffit pas de passer la machine sur le patient en imaginant que ça marche tout seul ; il faut communiquer avec la personne, chercher les sites critiques, dénuder le tendon en faisant jouer l’articulation, etc. C’est du boulot, pas de la frime.

Les leçons retenues

Voilà l’expérience. En deux mots, qu’en retirer, façon présentation à l’Américaine ?

  • Les infiltrations à l’aveugle, c’est mouais. Cette technique est utile si elle est ciblée et effectuée sous imagerie. Sinon, c’est un protocole standard, mais il est loin de fonctionner à tous les coups.
  • Les ondes de choc, c’est magique, ou pas. Les ondes de choc fonctionnent très bien mais seulement si le praticien est compétent. Pour reprendre la terminologie médicale précise d’une mienne connaissance kinésithérapeute en formation, “quand on te fait des ondes de choc, t’es censé pleurer ta race”. Le kiné doit communiquer (et vous avec lui), pousser la machine à vous faire mal, mettre la zone à traiter en évidence, au lieu de passer l’émetteur au pifomètre en murmurant un soin des blessures mineures. D’autre part, cette technique agit dans le temps. Comme elle lèse un peu la zone à traiter pour stimuler sa régénération, on sent des améliorations encore des semaines après l’arrêt du traitement : c’est normal et c’est pour cela qu’on limite le nombre de séances.
  • L’imagerie, c’est nécessaire.
  • Un bon diagnostic, poussé, fait tout.

Deux évidences pour finir, mais quand même.

Et rappelez-vous : le feu, ça brûle.

  1. En particulier aux médecins / infirmiers qui ont partagé leur avis.
2015-04-08T20:15:37+02:00jeudi 9 avril 2015|Journal|20 Commentaires

Atmosphère musicale pour Port d’Âmes

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Mon retravail sur Port d’Âmes va bon train. Dans l’ensemble, c’est une étrange expérience, plaisante mais pas toujours facile, de replonger dans cette histoire en compagnie de ces personnages, de mesurer le chemin parcouru depuis les premières versions, à la fois en profondeur et en maîtrise narrative, et puis de réduire tout cela jusqu’à l’essence, de se débarrasser des fioritures pour ne laisser que la chair, l’émotion et la tension. Trente-six chapitres dans l’ancienne version ; la finale en comportera à vue de nez une demi-douzaine de moins, alors que tous les personnages gagneront en densité et en complexité.

La couverture a commencé à circuler auprès des libraires, mais je ne peux la dévoiler encore ici. Elle est toutefois superbe, et reflète magnifiquement bien l’ambiance du livre.

Et en parlant d’ambiance du livre, s’il est un morceau qui la reflète et qui a nourri son écriture, c’est celui-là, et c’est ce que je souhaite partager aujourd’hui : Selling Out, tiré de World of Glass par Tristania, probablement le plus bel et le plus abouti des albums de métal gothique (à l’époque où le genre avait le vent en poupe). Quelques vers du texte figurent d’ailleurs en bonne place en exergue du livre. Une chanson qui s’écoute en boucle, en tout cas pour moi, tandis que je me plonge dans les ruelles tortueuses d’Aniagrad, la Cité franche au bout du monde où l’on raconte que tout se monnaye, même l’usage des miroirs.

 

2015-04-01T18:53:56+02:00mardi 7 avril 2015|Journal|Commentaires fermés sur Atmosphère musicale pour Port d’Âmes

Ardence en Islande

Je veux vraiment partager avec toi, auguste lectorat, un de mes grands bonheurs de ces derniers mois.

C’est avec une émotion certaine que je te présente Ardence.

ardence

Ardence, ou SN059, est un (ou une) juvénile d’Islande, appartenant aux orques de la péninsule islandaise de Snœfellsnes (oui, c’est un nom islandais – j’avais prévenu). Il / Elle a été baptisée par Marie Mrusczok, excellente ancienne collègue volontaire du Hebridean Whale and Dolphin Trust, grande biologiste marin spécialiste des orques, doublée d’une juriste émérite en droit de la mer, notamment concernant les bons usages du whale watching et le respect des animaux. Elle a compilé l’imposant catalogue d’hiver des orques de Snœfellsnes, disponible ici – à consulter pour voir comment l’on étudie les populations de mammifères marins à travers la photoidentification : les marques sur les dorsales, la pigmentation, forment une empreinte digitale unique pour chaque individu et permet donc de suivre ses déplacements et sa vie.

L’ardence, dans la trilogie Léviathan, c’est la volonté pure associée à l’enthousiasme de vivre. J’espère que ce nom rendra à ce splendide animal un peu de l’ardence que ses semblables m’ont donné, et qu’il lui portera la plus grande chance qui soit, liberté et joie.

2015-03-31T22:58:22+02:00lundi 6 avril 2015|Journal|13 Commentaires

Qu’il est beau

Hé yeah, j’ai reçu mon exemplaire de l’artbook tiré du jeu de plateau Abyss, spendidement illustré par Xavier Collette, où figure la nouvelle courte “Obsessions“, et qui propose un très joli sommaire (David Calvo, Mathieu Gaborit, Thomas Hervet, Rozenn Illiano et donc ton humble serviteur, auguste lectorat) :

artbook_abyss

Superbe objet, et c’est vraiment très agréable de pouvoir admirer le travail splendide de Xavier, qu’on apprécie déjà dans le jeu, en belle taille. Je suis vraiment ravi d’avoir participé à cette expérience un peu différente.

La prochaine actu, c’est… ma participation à l’anthologie des Imaginales, dirigée cette année par l’illustre Jean-Claude Dunyach. Les infos sont déjà disponibles en ligne, pour qui sait chercher, mais je vais faire durer le suspense, comme ça, parce qu’en réalité, j’ai un mauvais fond.

2015-03-27T17:23:31+01:00mardi 31 mars 2015|Journal|1 Commentaire

Je n’en ai pas cru Meyzieu (+ Rue des Livres ce week-end)

._ballisticfrogs_aux_Oniriques__plein_de_public_pour_Psycho_Starship_RampageJe reviens donc de Meyzieu1 après un week-end aux Oniriques absolument fantastique ; auguste lectorat, tu sais combien je n’aime pas rédiger de compte-rendu de festival, combien je n’ai pas envie que cela dérive en fête du name-dropping et de la surenchère mais si j’en dis un petit mot un peu long, c’est vraiment pour marquer le coup et remercier un événement et une équipe chaleureuse, dévouée et très professionnelle, qui a mesuré son succès non pas au chiffre d’affaires mais comme le Bhoutan – c’est-à-dire sur le plaisir ressenti par les visiteurs et par les invités, tout le long de la manifestation. Et du plaisir, il y en a eu, de l’arrivée (“Oh mais y a que des copains dans la salle”) aux interactions avec les lecteurs (passionnés, intéressés, gentils, cultivés, vivi, c’est vous, ça) en passant par les échanges, à la fois lors des débats mais aussi derrière les tables, et les initiatives sortant de l’ordinaire comme les concerts (merci au public des Deep Ones et bravo pour aux Bons à Tirer pour avoir mis le feu). Un festival, pour nous, c’est du plaisir mais aussi du travail, et ce n’est pas si courant qu’on ait l’impression d’être si bien qu’on se sent en vacances. Merci à Fred pour avoir bossé d’arrache-pied et fait en sorte qu’on prenne un réel plaisir, ainsi qu’à toute l’organisation, bénévoles, chauffeurs, modérateurs, barpeople, libraires, pour leur disponibilité et leur gentillesse. Big up à mon camarade de Ballistic Frogs qui a proposé Psycho Starship Rampage debout toute la journée malgré une fracture en convalescence (ci-contre). Et merci à tous les amis, collègues et camarades, et en particulier à vous, mes voisins de table (j’ai dit que je ne faisais pas de name-dropping, mais là aussi je veux marquer le coup) pour les moments chaleureux, drôles, passionnants passés à vos côtés.

Ce week-end je repars sur la route, mais juste à côté : je serai à Rue des Livres, the salon littéraire de Rennes, sur le stand de la librairie Critic avec Sophie Dabat, Franck Ferric, Thomas Geha et bien d’autres encore. Venez, c’est tout à fait près de chez vous si vous habitez pas vraiment loin.

  1. Les jeux de mots sur le nom de cette ville sont navrants mais obligatoires.
2015-03-09T22:00:09+01:00mardi 10 mars 2015|Journal|14 Commentaires

Pas logique

Or doncques, j’ai une idée de roman d’horreur qui m’est venuebe-afraid, probablement assez idiote ou absurde sur le papier, mais qui, personnellement, me terrifie. Tellement que je ne sais pas si j’aurai le courage de le faire un jour, de m’y plonger entièrement. Et pourtant, au détour du Net, je commence à rassembler de la doc dessus, dès que ça pourrait avoir un rapport, pour y réfléchir, pour déconstruire le mécanisme de cette peur-là. Je pense vraiment que ça pourrait marcher, en plus. Je suis maso, ou bien ça me travaille – probablement les deux. Le truc consisterait à ne pas mourir d’épouvante avant d’avoir fini : écrire un livre, c’est plusieurs mois. J’ignore si je tiendrais lors d’une immersion au long cours dans un truc qui me donne des sueurs froides rien que d’y penser.

Alors que, comme dit précédemment, l’idée, sur le papier, paraît très inoffensive.

(Il y a aussi le fait que publier un livre d’horreur en français de nos jours, ce n’est pas exactement évident.)

Au fait, il y a quelqu’un derrière vous.

2015-02-10T22:08:44+01:00mercredi 18 février 2015|Journal|16 Commentaires

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