Tandis que le colloque intitulé « L’Antiquité aux sources de l’imaginaire contemporain » approche à grands pas (il se tiendra en fin de semaine entre Paris et Rouen, voir le blog consacré) le sommaire et la couverture de l’anthologie liée, Fragments d’une fantasy antique, viennent d’être dévoilés.
En plus d’intervenir au colloque lors d’une table ronde, j’ai aussi le grand plaisir de figurer dans l’anthologie avec un texte intitulé (on prend une grande inspiration) « Faisabilité et intérêt zootechniques de la métamorphose de masse », rédigé à la façon d’un bien curieux et acerbe article scientifique, dont l’auteur n’est pas entièrement inconnu…
Au sommaire de l’anthologie :
- Fabien CLAVEL : « Sur un fragment perdu du Satyricon »
- Jeanne-A DEBATS : « Le miroir d’Electre »
- Romain ASPE : « Le Labyrinthe »
- Rachel TANNER : « Le Sphynx »
- Lionel DAVOUST : « Faisabilité et intérêt zootechniques de la métamorphose de masse »
- Nicolas DELONG : « Les Dieux veulent, les Dieux prennent »
- Sylvie MILLER et Philippe WARD : « Voir Pompéi et mourir »
- Nathalie DAU : « A couteau »
Celle-ci sera en vente en avant-première durant le colloque en fin de semaine. Elle sortira ensuite normalement en librairie à l’automne.
Pfiou… Faire simple, tu connais ?
Mal à la tête, moi…
C’est une nouvelle en spirale montante, au moins ?
euh… certainement…
C’est dingue, quand on lit ou on écoute certaines personnes, après, on se sent plus intelligent (Hubert Reeves ou Umberto Ecco par exemple). En revanche, pour d’autres, on se sent immédiatement con et fatigué. Ici, on est dans le 2ème cas, je le crains…
Ah oui c’est ta nouvelle dont tu m’as parlé, écrite à la manière d’un article scientifique. Tu t’es lâché pour le titre, ma foi 😀
zut, fait ch… pour une fois qu’il y a quelque chose d’un peu consistant sur la fantasy, je peux pas y aller…
ton entourage t’as tellement bassiné avec ce sombre terme de zootechnie qu’il est dans le titre d’une de tes nouvelles , il y aurait un message caché ?
Un titre scientifique, c’est un titre scientifique, quoi. 🙂 Et encore, il n’est pas en deux langues, avec un abstract vendeur pour booster l’impact factor. 🙂
Mathieu Monziols : Mais c’est JUSTEMENT une nouvelle sur le cochon et une façon créative d’en employer la viande, oui. 🙂
vais la lire, on me bassine pour trouver des idées pour l’année prochaine, comme j’imagine que c’est carrément barré ça risque de plaire 🙂
Le protocole est détaillé dans la section Matériel & Méthodes, comme il se doit. Je décline tout responsabilité quant au succès de l’expérience, cependant. ^^
Question stupide, tu as lu Histoires de cochons et science-fiction ???
J’avoue que non.
Mathieu Monziols, tu risques de devoir demander une rallonge financière conséquente pour pouvoir mener à bien ce type d’étude !
des fois plus c’est gros plus c’est con plus c’est facile à faire financer
Euh là j’ai des doutes quand même, à toi juger en lisant la nouvelle !