Port d’Âmes finaliste du prix Elbakin !
Eh bien, voilà une splendide nouvelle aussi tandis que l’été approche (enfin, qu’il est censé approcher) : Port d’Âmes est finaliste du prix Elbakin, en belle et forte compagnie qui plus est, et cela me fait extrêmement plaisir ! Grand merci au jury du prix pour avoir remarqué le roman, et félicitations à tous les nominés !
Voici la liste complète :
Meilleur roman fantasy français :
- Dévoreur, de Stefan Platteau, éditions Les Moutons électriques.
- Feuillets de cuivre, de Fabien Clavel, éditions ActuSF.
- Le Carnaval aux Corbeaux, d’Anthelme Hauchecorne, Editions du Chat Noir.
- Les Nefs de Pangée, de Christian Chavassieux, éditions Mnémos.
- Port d’Âmes de Lionel Davoust, éditions Critic.
Meilleur roman fantasy français Jeunesse :
- Elia, la passeuse d’âmes, de Marie Vareille, éditions PKJ.
- L’autre herbier, d’Amandine et Nicolas Labarre, éditions Les Moutons électriques.
- Les loups chantants, d’Aurélie Wellenstein, éditions Scrineo.
- Les Mystères de Larispem de Lucie Pierrat-Pajot, éditions Gallimard
- Un ogre en cavale, de Paul Beorn, éditions Castelmore.
Meilleur roman fantasy traduit :
- La femme d’argile et l’homme de feu, d’Hélene Wecker, éditions Robert Laffont (traduction de Michèle Albaret-Maatsch)
- Lud-en-Brume, d’Hope Mirrless, éditions Callidor (traduction de Julie Petonnet-Vincent)
- Un étranger en Olondre, de Sofia Samatar, Les Editions de l’Instant (traduction de Patrick Dechesne).
- Une histoire naturelle des dragons, de Marie Brennan, éditions L’Atalante (traduction de Sylvie Denis)
- Ysabel, de Guy Gavriel Kay, éditions Alire (traduction d’Élisabeth Vonarburg)
Meilleur roman fantasy traduit Jeunesse :
- La Fille qui navigua autour de Féérie dans un bateau construit de ses propres mains, de Catherynne M. Valente, éditions Balivernes (traduction de Laurent Philibert-Caillat).
- Les cartographes – La Sentence de verre, de S.E. Grove, éditions Nathan (traduction de Sophie Dabat).
- Une braise sous la cendre, de Sabaa Tahir, éditions PKJ (traduction d’Hélène Zylberait).
- Par bonheur le lait, de Neil Gaiman, éditions Au Diable Vauvert (traduction de Patrick Marcel).
- Six of Crows, de Leigh Bardugo, éditions Milan (traduction d’Anath Riveline).
NB :
- Cette année, nous ne décernerons pas de prix spécial.
- Mon roman Le village étant publié comme Un étranger en Olondre chez les Editions de l’Instant, je (Emmanuel Chastellière) ne participerai pas aux débats concernant cette catégorie du prix.
[Source]