Et ce titre s’appelle un test de charge pour voir comment la mise en page du nouveau site fonctionne si je mets trop de trucs dans des champs qui sont pas tellement conçus pour des expressions longues comme ça parce que voyez-vous un titre c’est censé être impactant mais bon on pourrait dire qu’il l’est quelque part même s’il n’y a pas la promesse d’une liste en huit points pour sauver la paix dans le monde ou autre chose
Donc :
fantasie, n.f.
Legifrance
Domaine : Littérature-Audiovisuel.
Définition : Genre situé à la croisée du merveilleux et du fantastique, qui prend ses sources dans l’histoire, les mythes, les contes et la science-fiction.
Note : La fantasie est un genre d’origine anglo-saxonne.
(Merci aux échanges sur Twitter)
Donc.
Donc fantasie, comme en son temps cédérom, quoi.
Donc donc donc.
La définition est très juste, remarquez, concise et efficace.
Mais, donc.
Comme dirait l’autre, je pose ça là.
Pourquoi pas « fantaZie » avec Z comme de belles Zistoires 🙂
I’m gonna go with HELL NO.
Quand tu écris des titres impactants https://t.co/G3C1KRxOGC
mouaif… en gros, on prend le mot anglais, on le francise et hop! x) le vrai mot mot français ce serait merveilleux plutôt, non?
J’ai découvert ça le week-end dernier lors d’une table-ronde entre #auteurs au salon Nice Fictions.… https://t.co/HaxSmKD7yZ
Et « merveilleux », on n’a plus droit ?
Ça, ça fera vendre mieux.
https://t.co/BcweKDwePt Mais j’aurais quand même préféré « fantaisie » en toute simplicité.
Faut que j’envoie ça en mél à tous mes amis.
(Oui oui avant courriel, on avait opté pour la francisation « mél »)
Fantaisie héroïque, ou fantaisie onirique. J’ai déjà lu ça dans des articles, il y a fort longtemps.
Puis l’appellation « Le Masque Fantastique » fut utilisée pour le fantastique et l’épouvante à partir de 1978.
Je ne me rappelle absolument pas comment on étiquetait le genre à ce moment-là…????
Quand j’ai commencé à sévir comme libraire « SFFF » en 1976, il me semble me rappeler qu’on n’utilisait pas le terme « fantasy », ni même « fantaisie ».
Des éditeurs comme OPTA ou le Masque en publiaient mais chez OPTA c’était la collection « Aventures fantastiques » et chez le Masque, ce fut la brève collection « Le Masque Fantastique ».
https://www.noosfere.org/livres/collection.asp?numcollection=464
Il me semble que pour les anglo-saxons (et André-François Ruaud, entre autres ???? – son essai « Cartographie du merveilleux » est tout à fait intéressant), la Fantasy regroupe tout le Fantastique qui n’est pas horrifique.
Donc, on ratisse large et le terme ne se limite pas à définir « Heroic Fantasy », « High Fantasy », « Médiéval Fantastique » & tutti frutti.<
bon, pis, de tout façon, kess kon en a à carrer, pourvu que le livre soit bon ????
Cathy Martin-LeGat Tu as oublié les romans du grand Jules (maintenant on les traiterait de steampunk 🙂 alors que c’était juste de l’anticipation… Et Malpertuis, Barjavel, et dans un autre registre, la Matière de Bretagne, c’était quoi ? De belles histoires qui nous faisaient rêver, tout simplement !
C’est quand même rigolo.. on a un terme, anglais certes, mais prononcé de façon ignoble par les français. Pas de problème : on « francise » le mot anglais, pour coller à la phonétique..
ben oui mais pour moi non, parce que “fantaisie” a aussi un autre sens en français, qui domine maintenant dans l’usage courant et risque de contaminer dur (dans le genre « pas-sérieux/pour-les-enfants”; tout comme ‘fiction scientifique” n’est pas une traduction appropriée de science fiction (ni anticipation scientique et pas même fiction speculative), je crois qu’on est pogné avec “fantasy” pour décrire les productions modernes du genre (je mets toujours quant à moi fantasy en italiques ou entre * * ou “ ” pour renvoyer au terme anglais )
(je le regrette bien, remarquez…)
Ben moi, j’aime bien le fantastique… même (et surtout) s’il est merveilleux ! Mais je suis de la vieille école, et n’ai pas besoin d’étiquettes, juste de bonnes lectures !
Merci. Cliquer là-dessus et lire ce qu’il y a de l’autre côté a été ma lumière de la journée. Pas du tout pour le fonds. Mais pour la forme et l’intelligence. ;*
Attendez, les copains, remarquez bien le mot entériné par Legifrance : fantasie, pas fanta*I*sie. Comme Fantasia, quoi. Donc ne vous battez pas sur le mot français de fantaisie, parce que ce n’est pas le mot validé ici.
Après, hein, moi ce que j’en dis. Hein. Voilà.
Et toi, Lionel Davoust, comment qualifierais-tu ce que tu écris ? Fantastique, fantasy, fantaisie, fantasie, merveilleux, young-adult-dark-erotic-salade-tomates-oignons ? ????
Oupse. “Fantasie”. O….K…. mais combien de gensses liront de la même manière erronée que nous ? (indépendamment des gensses en Amérique du Nord qui se demanderont si c’est une nouvelle variété du soda Fanta, ahem…)