RGPD et confidentialité : une meilleure version (et quelques changements)

Suite à l’annonce de ma tentative de mise en conformité avec le Règlement Général pour la Protection des Données (RGPD) en Europe, j’ai reçu quelques commentaires fort bien vus et j’ai depuis trouvé ce guide extrêmement utile décrivant les procédures pas à pas.

Le site a été (re)mis à jour pour refléter exactement la collecte des données (en gros, adresses courriel, noms et adresses IP), l’accessibilité et la rectification (en gros, envoyez un message) et plein de rappels partout quant à cette politique de confidentialité avec des cases à cocher ajoutées pour vous rappeler que HEY, VOUS CONSENTEZ À CES USAGES. Qui ne sont pas bien méchants et même plutôt standard, et je suis de toute façon, comme on dit en bon français, a one-man operation. Mais je ne peux pas critiquer Facebook d’un côté et ne pas m’efforcer de respecter un tant soit peu ces lois qui visent à protéger, justement, notre vie privée, et tant mieux, bordel.

 

2018-04-23T22:48:29+02:00mardi 24 avril 2018|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur RGPD et confidentialité : une meilleure version (et quelques changements)

Annonce de service : vos données et la transparence (GPDR)

Or doncques, le Règlement général sur la protection des données vit le jour, et les Internets virent que cela était pas trop mal. Surtout avec Facebook qui sait ce qu’on veut manger au petit-déjeuner après-demain. (Rappel : Comment rester informé sans les réseaux sociaux.)

Du coup, dans l’intérêt de la transparence et probablement aussi parce que je me ferai manger si je ne le fais pas, la page des mentions légales a été mise à jour, principalement avec des mentions sur l’utilisation et la collecte des adresses courriel dans les commentaires et sur la liste de diffusion. En un mot comme en cent : je n’en fais rien, et vous pouvez les faire supprimer sur simple demande.

Et bonne journée, ouala.

 

2018-04-17T20:50:17+02:00mercredi 18 avril 2018|Dernières nouvelles|5 Commentaires

Une rencontre avec Simon Pinel, responsable éditorial des éditions Critic

À l’occasion du prix littéraire des booktubeurs, le blog Les Lectures de Sophie propose un bel entretien fouillé avec Simon Pinel, responsable éditorial des éditions Critic : il revient sur l’histoire de la maison, sa ligne directrice, ses liens avec la librairie et parle un peu de la publication d’Évanégyre au sein du catalogue.

Que vous apporte le fait d’être libraire/éditeur ?

Cela nous permet déjà de voir ce qui se vend ! Chez nous, mais aussi et surtout chez la concurrence. On voit ce qui permet à un titre de sortir du lot, de par les ventes, mais aussi grâce au retour des clients. On a toujours des doutes quand on est éditeur. La librairie nous permet d’avoir quelques certitudes. Nous n’hésitons pas à solliciter l’avis de nos clients. Par exemple, on hésitait entre deux visuels pour la couverture de l’intégrale de Dominium Mundi, du coup on a fait un sondage en librairie auprès de nos clients.

C’est à lire ici.

2018-02-20T06:09:25+01:00mercredi 21 février 2018|Dernières nouvelles|1 Commentaire

Annonce de service : je ne peux garantir le support technique sur la boîte à outils de l’écrivain

La boîte à outils de l’écrivain s’étoffe au fil des mois et je suis content car ces articles reçoivent de plus en plus de visites, signifiant que le pari lancé à l’origine est réussi : proposer davantage de contenu fouillé sur ces aspects, générant pour le site un petit revenu qui permet de justifier le temps que j’y passe.

Petit effet imprévu toutefois que je n’avais pas envisagé, je reçois régulièrement des mails me demandant du support technique sur des configurations particulières ou des cas d’utilisation imprévus. Il me faut donc en dire un mot : je ne peux assurer le support technique sur les outils. Ce n’est pas mon rôle et surtout, je suis très mal placé pour : en cas de problème, mieux vaut s’adresser directement aux développeurs des logiciels idoines, dont c’est le métier.

Après, si vous avez un problème ponctuel et que j’ai la réponse, je serai ravi de l’apporter, bien entendu, et c’est à peu près toujours arrivé pour l’instant, mais je crois qu’il me faut exprimer en toutes lettres que les outils proposés ici le sont « en l’état » et que je ne peux donc garantir de vous sortir de la panade, de la capilotade ni de la tapenade.

2018-02-12T10:03:12+01:00mercredi 14 février 2018|Dernières nouvelles|11 Commentaires

Octobre, c’est dorénavant le mois de l’imaginaire

Un petit mot rapide pour mettre en valeur une initiative à soutenir : le mois de l’imaginaire. Pour combattre le manque de visibilité médiatique des littératures de science-fiction, fantasy, fantastique (alors que c’est, n’en déplaise aux barbons élitistes, la culture populaire dominante aujourd’hui à travers le jeu vidéo et le cinéma, du Seigneur des Anneaux à Star Wars), divers projets ont été activement lancés, et donc, notamment, ce mois :

Le Mois de l’Imaginaire, c’est une grande fête dédiée aux littératures de l’Imaginaire : science-fiction, fantasy, fantastique. Annoncé lors du festival « Les Imaginales » à Épinal, ce temps fort se déroulera chaque année au mois d’octobre. La première édition aura lieu en 2017. Des maisons d’édition se sont réunies pour créer cet événement en librairie et dans les médias. Ce collectif, ouvert à tous, s’est donné pour mission de promouvoir et célébrer les littératures de l’Imaginaire. De nombreuses actions seront menées tout au long du mois : opérations commerciales, rencontres & dédicaces en librairie et dans les salons, tribunes d’auteurs, supports pédagogiques, catalogues thématiques, animations numériques, événements sur les réseaux sociaux, jeux-concours, primes & goodies, partenariats médias… et plein d’autres surprises ! Nous invitons tous les auteurs, libraires, lecteurs, journalistes, blogueurs, bibliothécaires, éditeurs à nous rejoindre pour faire du mois d’octobre LE mois de l’Imaginaire. Tous ensemble nous contribuerons à la promotion de cet événement festif. L’Imaginaire prend le pouvoir ! [Source]

Il y a donc beaucoup d’animations en ce moment, tant au niveau national (avec les éditeurs) que local (avec vos libraires) et si vous aussi, vous en avez marre d’entendre que « 1984 n’est pas de la science-fiction, c’est de la littérature », je ne peux que vous inviter à vous renseigner sur ce qui se passe dans votre région et à participer à la fête, en premier lieu parce que c’est chouette, mais aussi, peut-être, pour prolonger un élan d’ensemble qui nous concerne, nous le « peuple de la science-fiction »1.

Éric Marcelin, directeur général de Critic, en parle par exemple ici :

D’autres entretiens et toutes les informations sont centralisées sur plusieurs comptes sociaux, en fonction de vos drog… inclinations :

J’en profite pour mentionner entre autres qu’à Rennes, jeudi soir prochain, se tiendra une rencontre avec Xavier Dollo et moi-même autour de la manière de l’imaginaire interroge nos sociétés au Tambour (université de Villejean) :

Elfes et zombies, robots et super-héros, voyages dans le temps et dans l’espace : l’imaginaire est partout. Pourtant, ces littératures sont encore peu reconnues à leur juste valeur, et souvent reléguées à de simples divertissements. Cet automne, l’imaginaire prend le pouvoir. Sur une initiative de maisons d’éditions, le mois d’octobre sera consacré à la valorisation nationale des littératures de l’imaginaire (science-fiction, fantasy, fantastique…).

Pour fêter la première édition de cet événement, nous accueillons les Éditions Critic au Tambour pour une table ronde en compagnie des auteurs Lionel Davoust (Port d’âmes) et Xavier Dollo (American Fays). Ils nous parleront de la manière dont ces littératures interrogent nos sociétés: pourquoi elles ont toute leur place dans nos bibliothèques et dans les recherches universitaires, pourquoi imaginer des «ailleurs» peut nous aider à mieux comprendre «l’ici et maintenant». Et pourquoi, tout simplement, rêver aussi est essentiel.

Plus de détails ici.

Alors n’hésitez pas, en octobre, fêtons l’imaginaire, et installons l’initiative dans le temps ! (Et que ça n’empêche personne de lire de l’imaginaire les onze autres mois de l’année, hein)

  1. Roland C. Wagner.
2017-10-12T09:51:58+02:00jeudi 12 octobre 2017|Dernières nouvelles|1 Commentaire

Note de service sur la synchronisation des commentaires

Howdy hey ! Ce blog présente depuis des années un système que l’univers entier m’envie (rien que ça) (alors que je n’y suis franchement pour rien) : les commentaires sont synchronisés avec Facebook (ooooh). J’avais expliqué comment faire ici.

Sauf que le développement est un monde cruel et sans pitié, et que l’extension WordPress employée, Add Link to Facebook, a été laissée en friches par ceux qui l’avaient achetée, ReadyGraph – lançons-leur donc des tomates tellement génétiquement modifiées qu’elles en ont la peau dure comme des boules de pétanque. Ce qui devait arriver arriba riba, et les changements de Facebook l’ont rendue incompatible. RIP.

En attendant que de bonnes âmes la clonent pour la mettre peut-être à jour, j’utilise à présent Social Networks AutoPoster (SNAP), disponible ici (une extension partiellement commerciale, ce qui devrait permettre une meilleure pérennité).

Cela entraîne toutefois quelques changements dans la synchronisation des commentaires, car on n’a rien sans rien ma bonne dame (je vous parle souvent sur ce blog, ma bonne dame).

  • Les commentaires sont importés de Facebook, mais pas exportés, ce qui signifie que la discussion complète se trouvera toujours ici, et non sur Facebook, qui de toute façon veut manger vos enfants (et vos données) ;
  • On y gagne un import des réponses sur Twitter, mais faut voir si c’est utile à l’usage et si ça ne confuse pas plus qu’autre chose.

Ne soyez donc pas surpris si, à l’usage, vous ne voyez plus les commentaires exportés sur les réseaux, c’est ainsi (ou un fa, je suis pas difficile).

 

2017-10-03T12:21:35+02:00mardi 3 octobre 2017|Dernières nouvelles|2 Commentaires

Important, « Les Dieux sauvages » : des nouvelles de la publication des suites

Le manuscrit. Épais. (Impression recto, mais quand même)

Oui, la suite de La Messagère du Ciel paraîtra à l’heure, soit en mars prochain. (Je préfère le dire tout de suite : pas d’inquiétude à avoir là-dessus !)

Cependant, j’ai des nouvelles importantes à partager sur ce sujet, car il y a quelques… eh bien, altérations de programme. Ma citation préférée en terme d’écriture est de Helmuth von Moltke : « Aucun plan de bataille ne survit à la rencontre avec l’ennemi » – et j’ai beau planifier énormément à l’avance, l’écriture réserve toujours des surprises. Et « Les Dieux sauvages » m’en réserve constamment.

En début d’année, je faisais part des embûches et difficultés que je rencontrais dans l’écriture de cette suite, et je me voyais, à mon grand dépit, forcé de repousser la sortie de quatre mois. Merci, d’ailleurs, pour votre compréhension et votre soutien à toutes et tous.

Au fil de l’écriture, la raison de ces difficultés s’est très nettement dégagée : le premier acte de cette suite faisait déjà plus de 300 000 signes, soit la taille… d’un court roman, et un tiers plus long que le premier acte de La Messagère du Ciel. Le calcul à ce stade est simple, sachant que La Messagère du Ciel fait cinq actes, ça m’emmène à un bouquin de plus 1,5 millions de signes. La raison ? Énormément de personnages, des nouveaux qui apparaissent, beaucoup de fils narratifs à servir convenablement, une situation qui se condense et se complexifie à la fois – bref, le projet est terriblement (à tous les sens du terme) ambitieux et nécessite du temps, tant d’écriture que de narration, pour être déroulé et raconté comme, je pense, il faut le faire. (Pour information, le plan d’origine de la série est déjà passé par la fenêtre arrivé aux 2/3 de La Messagère du Ciel – l’histoire a nécessité des rajustements, des changements de cap, et des directions plus intéressantes que je ne l’imaginais se sont ouvertes à moi.)

Nous avons donc décidé, en accord avec Critic, de passer la série « Les Dieux sauvages » d’une trilogie à une tétralogie. Le deuxième « volume », qui devait être La Fureur de la Terre, se trouve scindé en deux grands ensembles qui formeront les deux grandes parties de cet immense milieu de série. Le nouveau découpage devient donc :

  1. La Messagère du Ciel
  2. Le Verrou du Fleuve (nouveau tome 2)
  3. La Fureur de la Terre (ce titre était initialement porté par le tome 2, il devient le tome 3)
  4. L’Héritage de l’Empire (pas de changement… pour l’instant)

Je sais bien quelle est la réaction initiale quand une série s’allonge (je suis lecteur aussi, hein) : on se dit que l’éditeur chercher à rentabiliser un concept. Je vous assure qu’il n’en est rien et que cette décision est dictée avant tout par des impératifs artistiques et de plaisir de lecture (un bouquin 1,5 millions de signes, ça ne tient pas bien en main, ça pèse lourd, c’est écrit en minuscule sur du papier tout mince et surtout ça coûte un bras au lecteur). C’est la dynamique de l’histoire qui le dicte avant tout.

Je vous assure aussi que vous en aurez pour votre argent : en l’état actuel des choses, Le Verrou du Fleuve fait plus de 900 000 signes, à comparer avec les 1 200 000 pour La Messagère du Cielce n’est pas du tout un petit bouquin, qui avoisinera facilement les 500 pages à vue de nez.

La Fureur de la Terre, le « nouveau » tome 3, reprendra directement à la suite de Le Verrou du Fleuve. En un sens, ces deux livres (2 et 3) forment les deux parties d’un tout plus vaste, sont articulés chacun autour de trois actes (je récupérerai du matériel prévu pour le tome 3, ce qui, vu la dynamique de l’ensemble, risque d’être bienvenu), avoisineront chacun les 900 000 signes (je rappelle, 500 pages, hein), et dérouleront à la suite l’un de l’autre un certain nombre de conclusions aux questions introduites dans La Messagère du Ciel. (L’Héritage de l’Empire a toujours été conçu comme ayant une ambiance à part – mais on en reparlera quand on y sera.)

La bonne nouvelle, c’est que je vais tout faire pour que ces deux livres sortent en 2018 : Le Verrou du Fleuve au printemps et La Fureur de la Terre à l’automne. Je n’ose plus trop m’engager fermement sur des dates après avoir pris un peu de retard sur la suite de La Messagère du Ciel, mais c’est l’objectif, et comme ces deux livres forment les deux parties du tout plus vaste que j’avais envisagé à la base, je suis raisonnablement confiant sur ma capacité à y arriver. En l’état actuel des choses, le premier jet de Le Verrou du Fleuve est achevé et les corrections éditoriales commencent. Je travaille en parallèle sur La Fureur de la Terre, et tout cela se poursuit donc d’un bon pas. Et comme ils seront un peu plus courts que La Messagère du Ciel… ils seront aussi un peu moins chers à l’unité.

Si vous avez des questions, inquiétudes, récriminations etc. à partager, vous savez que je suis toujours attentif et ouvert aux réactions et commentaires. Si vous le souhaitez, demandez-moi ce que vous souhaitez en réponse à ce billet, et j’y répondrai.

En résumé (tl;dr) : 

  • Au lieu d’un tome 2 hors de prix, peu maniable, interminable et qui sortirait aux calendes grecques, on passe à un tome 2 et un tome 3 qui sont des livres de taille déjà bien respectable, avec une sortie rapprochée pour l’année prochaine, moins chers que le tome 1 ;
  • Ces tomes s’intitulent Le Verrou du Fleuve et La Fureur de la Terre ;
  • La série avance bien et j’évite pour l’instant le piège des retards qui s’accumulent ;
  • Merci pour votre soutien, votre accompagnement et votre enthousiasme pour « Les Dieux sauvages » et tout Évanégyre de manière générale ! 
2017-09-13T18:25:03+02:00mardi 19 septembre 2017|Dernières nouvelles|18 Commentaires

Magie Ex Libris volume 2, Lecteurs nés, est disponible

L’année dernière, à la sortie du Bibliomancien, je confessais que « c’était du plaisir en barre, de l’aventure menée tambour battant, une véritable déclaration d’amour aux littératures de l’imaginaire, à la lecture, à la passion que nous partageons pour le rêve, la créativité, avec en prime des personnages extrêmement attachants et un système de magie dense, hyper bien fichu et profond ».

Et c’est confirmé dans le volume 2. Jim C. Hines réussit à approfondir encore un univers complexe et néanmoins parfaitement accessible, avec le mélange d’humour, d’aventure et de bon esprit qui fait sa marque. Je me suis énormément amusé dans la traduction, la recherche de chaque petite référence et blague (c’est pas tous les jours que vous avez l’occasion d’extirper votre vieux Bestiaire d’AD&D 2 dans le cadre professionnel), le suivi de cette intrigue menée tambour battant. Les relations entre personnages s’étoffent, des secrets affleurent, bref, si vous avez aimé le volume 1, aucune raison de ne pas prolonger le plaisir : le livre est sorti depuis quelques semaines (je suis en retard pour l’annonce…). Et pour mémoire, l’auteur est présent ce week-end en France aux Imaginales, c’est l’occasion de venir le voir !

2017-05-14T17:28:06+02:00jeudi 18 mai 2017|Dernières nouvelles|8 Commentaires

Sous la construction

Howdy ! Un petit mot de maintenance pour expliquer un peu ce qui se trame autour du site. Je faisais un bilan en fin d’année, mais comme j’occupe dorénavant la fin d’année à me déconnecter (par exemple pour aller en Islande), ça laisse un peu dans les choux ce genre d’information.

J’ai avec le site le merveilleux travers de l’obsession productive : dans ma quête pour que tout fonctionne au mieux et me fasse gagner du temps, je passe en réalité un temps déraisonnable à tout verrouiller au micropixel. Comme je finis insatisfait, je balaie tout et repars de zéro une fois tous les deux ans. J’ai ainsi laissé entendre un changement de version majeur à venir.

Eh bien, pas cette fois.

Une étude plus réfléchie des nécessités montre que je peux accomplir presque l’intégralité avec la version actuelle (qui était quand même bien plus réfléchie que les précédentes). Ça nécessite de fignoler et de tester un certain nombre de choses, mais ça sera plus rapide, au final, que de tout péter.

Le problème principal est représenté par la page d’accueil du site, qui était un test à développer et qui, au final, ne l’a jamais été. Elle n’est pas praticable, pas claire, et pas facile à mettre à jour. Tout pour plaire. Or, avec la sortie de Port d’Âmes en poche et l’arrivée très prochaine de La Messagère du Ciel, j’ai besoin de pouvoir communiquer clairement.

J’ai donc en coulisses un nouveau design, dont le numéro de version est « exploite déjà ce que tu as au lieu d’ajouter des nouveaux trucs » (troisième règle de Brandon Sanderson). Quelques petits effets sont déjà visibles (et produisent quelques bizarreries ici et là, en cours de réparation).

Le blog

La page (toute pétée depuis un moment) propose à nouveau le texte complet des derniers articles, avec un petit changement : les dernières actualités importantes (jamais plus de trois) sont mises en avant en tête de page.

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L’accueil

Toujours en cours, donc, et n’hésite pas, auguste lectorat, à dire ce que tu en penses.

Le carousel d’accueil avec les livres (qui ne fonctionne déjà pas sur tous les navigateurs) passe à la trappe pour une version plus sobre mais plus informative : actus importantes du moment (les mêmes que celles mises en avant sur le blog), dernières nouvelles, événements à venir. Chaque couverture est interactive : passer la souris dessus la fait se retourner, donnant des informations utiles et un lien direct vers la page du livre.

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Un des principes fondamentaux du webdesign est de faire appel autant que possible à l’image et à éviter le texte. Ce qui, comme on peut s’en douter, m’est extrêmement difficile, vu que je communique avant tout par ce biais. (Il faudra que je prenne un vrai webdesigner un jour.) Mais j’ai fait un gros effort, maîtresse. L’espace dédié au blog sur la page d’accueil supprime tout texte (qui n’apparaît, là aussi, qu’en passant sur la dalle). (Oui, c’est pas fini à droite)

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Meilleure intégration avec les réseaux sociaux aussi, avec enfin les widgets officiels consacrés (qui sont un peu moches, mais faire tourner autre chose nécessite de sauter dans des tas de cerceaux auprès des services concernés et on n’a aucune assurance que ça ne va pas casser dans six mois, donc j’abandonne) :

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Wishlist ?

Voilà donc ce qui se prépare (et que j’espérais déployer aujourd’hui, mais j’ai plus urgent sur le feu). Si l’urgence m’est tombée dessus, c’est qu’un certain nombre d’informations sur La Messagère du Ciel vont arriver très, très vite. (je dis ça pour vous remercier d’avoir lu jusque là !)

Un projet de longue date (et sur lequel il va convenir d’activer aussi) toujours en cours, ce sont les portails sur les univers. Si ça tarde tellement, très honnêtement, c’est que je n’ai toujours pas trouvé une forme qui me semble pertinente, autre que me faire plaisir à l’ego, ce que je me refuse à faire. J’ai même pensé à proposer un wiki éditable par la communauté hébergé ici.

Je vais probablement finir par ouvrir un sondage.

2017-03-08T09:50:51+01:00mercredi 8 mars 2017|Dernières nouvelles|8 Commentaires

Annonce de service : Disponibilité travaux d’étudiants / mentoring / coaching

Et hop, une petite annonce de service concernant l’évolution du contrat de licence d’utilisateur final de moi-même (y aura moins de lignes que dans celui de Windows, promis), pour répondre à quelques questions de plus en plus fréquentes.

Convertir mon profil personnel sur Facebook en page m’a donné une bien plus grande tranquillité d’esprit en laissant les trolls à la porte et en me libérant d’une certaine quantité de modération en ligne, ce qui était le but – merci, auguste lectorat, pour ta patience pendant les travaux (même si le profil personnel doit être recadré depuis des mois, mais comme je ne m’en sers plus du tout, en réalité, ça attend). Merci aussi d’avoir compris aussi que ce n’était pas une question d’ego en gonflement incontrôlé mais juste de rationaliser et de centraliser nos échanges (en m’évitant de m’arracher les cheveux, ce que je ne peux plus faire : terreur !). Mais je vois arriver un certain nombre de questions assez identiques en conséquence, ce qui vaut, il semble, un récapitulatif des réponses habituelles.

Disponibilité pour le mentoring / coaching de jeunes auteurs

Tout d’abord, merci pour votre confiance. Hélas, je suis navré, mais je n’ai aucune possibilité de prendre cela en charge – même contre rémunération. Les raisons sont plus ou moins les mêmes que celles expliquant pourquoi je ne peux pas relire ni annoter les textes. Cela nécessite, tout bêtement, un temps et une disponibilité mentale dont que je n’ai pas.

Je m’efforce de disséminer ce que j’ai pu / peux apprendre à travers trois aspects :

  • Le présent blog propose des années d’archives d’articles portant sur la technique de l’écriture, ses outils, ses défis dans la catégorie « Technique d’écriture ». Je réponds aussi – quand je peux, et quand je pense pouvoir raconter quelque chose de vaguement intéressant – aux questions qu’on me pose en privé. L’idée étant : si quelqu’un se pose cette question, il est probable que la réponse puisse servir au plus grand nombre ; plutôt que de répondre en deux lignes, je développe sous forme d’article.
  • Avec mes camarades Mélanie Fazi et Laurent Genefort, nous avons lancé en septembre 2016 le podcast Procrastination qui propose d’aborder un point technique de l’écriture en quinze minutes tous les quinze jours. Toutes les archives et les flux d’abonnement se trouvent sur cette page.
  • Je réalise en général quelques ateliers et masterclasses dans l’année. Toutes les sessions à venir sont annoncées sur l’agenda.

Disponibilité pour travaux de lycéens et étudiants (notamment entretiens)

Je reçois également de plus en plus de demandes d’entretiens de jeunes gens encore en études intéressés par le métier de l’écriture, parfois dans le cadre de leurs travaux personnels. En règle générale, je suis partant pour cela, et vous remercie de votre intérêt pour mon humble personne / travail. Cependant, devant la répétition et la formulation de certaines questions, je dois établir trois petites règles pour s’assurer que cela se passe de la manière la plus productive et intéressante pour vous comme pour moi :

  • Veuillez prendre garde à la formulation de vos questions, à leur absolue clarté ; il m’arrive de me gratter la tête en me demandant ce qu’on a bien pu vouloir dire. Dans ce genre de cas, j’avoue, je fais mon George Marchais.
  • Comme dit plus haut, ce blog contient énormément d’archives où je discute entre autres de ma méthode de travail en grand détail (ainsi que dans les interviews). Soyez sympa d’y jeter un œil (utilisez le formulaire de recherche pour cerner les sujets si besoin) pour éviter de poser des questions générales qui ont été déjà battues et rebattues en articles comme en commentaires au fil des ans. Cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas rediscuter de ces sujets, mais à ce moment-là, essayons des les aborder sous un angle nouveau. Évitons aussi les questions génériques sur le métier dont vous pouvez trouver les réponses avec trois requêtes Google.
  • Ce même site est – volontairement – très complet pour fournir un maximum d’éléments de prime abord et faire gagner du temps à tout le monde : il y a des bibliographies à jour, une bio résumée, etc. Soyez sympa aussi d’y jeter un œil : me demander si j’ai écrit un jour des nouvelles dans ma vie me fait un peu me demander pourquoi, en fait, vous m’avez choisi moi pour répondre (spoiler : parce que j’étais le seul à avoir un formulaire de contact qui marche et que D c’est encore raisonnablement haut dans l’alphabet). À ce sujet, je remets ça là, en passant, l’air de rien (psst : règle 2).

Je suis également conscient qu’en débarquant, on ne peut pas espérer se retaper dix ans d’historique numérique et cinq de plus non numériques, et que ça commence à faire vraiment beaucoup, beaucoup, d’annonces de service. Du coup, va falloir s’attendre à ce que je compile tout sous forme de FAQ un de ces quatre. (Ça devait arriver. Ça me pendait au nez. D’abord une page Facebook, et maintenant une FAQ. Ça y est, Davoust a définitivement pété un câble, on va le retrouver à chroniquer de la littérature blanche dans une piscine de champagne.)

Merci !

2017-02-28T10:59:03+01:00lundi 27 février 2017|Dernières nouvelles|3 Commentaires
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