À Bordeaux en colloque, à Lannion ce week-end

kitten-is-in-your-calendarOn the road again! Cette fin de semaine, auguste lectorat, je viens dans ta ville. Ou celle de ta mère. Ou de ton cousin. Ou de ton pote. Mais en tout cas la ville de plein de monde. Peut-être pas toi, en fait. Mais il y aura des gens. Enfin, j’espère.

Je suis donc

  • En fin de semaine pour un colloque sur l’hybridation des genres,
  • Ce week-end à Ploërmel pour le salon Brocéliande Fantastic.
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octobre

pas d'événement

2014-10-13T16:18:18+02:00mardi 14 octobre 2014|À ne pas manquer|6 Commentaires

La Route de la Conquête (almost) World Tour : masterclass à Lyon ce week-end

Affiche Olivier Sanfilippo

Affiche Olivier Sanfilippo

Fort bien ! Auguste lectorat, je m’en vais prendre mon bâton de pèlerin magicien et venir près de toi, juste dans ton dos, mon souffle prédateur sur ta nuque, ou bien, de façon plus sympathique, dans ton champ de vision, avec un sourire même pas trop inquiétant.

Je serai fortement en vadrouille dans les semaines à venir. Au programme, des signatures, des festivals, mais aussi, notamment une masterclass ce week-end (à Lyon) dans le cadre de la convention Octogônes et des interventions dans un colloque universitaire (à Bordeaux) autour de la création et des intentions de l’univers d’Évanégyre.

La totale ? La totale, drapée des splendeurs de son Javascript, ci-dessous :

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2014-09-23T11:14:03+02:00lundi 29 septembre 2014|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Route de la Conquête (almost) World Tour : masterclass à Lyon ce week-end

[Annonce] Nouvelles activités musicales… dans le jeu vidéo

Oh yeah !

psr_logo

Merci, auguste lectorat, d’avoir été patient tandis que j’annonçais que j’allais bientôt pouvoir parler des activités autres, sonores, que je développe en parallèle. Le projet est devenu public, voici maintenant ce qui se trame en coulisses.

Version courte

Sous le nom Wildphinn, je vais faire le sound design et la musique d’un jeu vidéo intitulé Psycho Starship Rampage pour un studio indépendant français qui se lance, Ballistic FrogsLe projet est vraiment enthousiasmant : en deux mots, le shoot them up rencontre le rogue like. J’ai en charge tout l’habillage sonore, bruitages et morceaux, et je suis absolument ravi de me lancer dans cette aventure.

N’hésitez pas à suivre Ballistic Frogs (site / Facebook / Twitter / Google+) et Wildphinn (site / Facebook / Twitter / Instagram / Soundcloud en construction) sur les réseaux sociaux ! 

Version longue

Parce que tu fais du son, toi ? Depuis quand ?

Depuis toujours, en fait. Quand j’étais ado, je traficotais et bricolais des MODules sur Amiga puis PC, avec SoundTracker, NoiseTracker, ProTracker, et tu as peut-être remarqué, auguste lectorat, que j’ai souvent un pied discret dans le son (ou bien, tu te rappelles Le Conte de la salle de bains ?). Je suis passé au MIDI et aux expandeurs dans les années 90, à la synthèse analogique dans les années 2000, et j’ai humblement participé, comme beaucoup, à des groupes d’étudiants à l’époque (… entre deux parties de Diablo).

J’ai un peu laissé tout cela en plan par la suite afin de focaliser mes énergies sur l’écriture, mais en continuant à trafiquer un peu avec mon vieux matériel, cherchant, je dois bien l’avouer, ma vraie voie dans ce domaine. Je ne suis pas un bon instrumentiste, je ne l’ai jamais été et ne le serai probablement jamais, mes deux mains n’ont jamais voulu se désaccoupler au clavier, mes doigts refusent d’agir tous ensemble à la guitare, et je n’ai pas la patience nécessaire à la pratique.

J’assume. 

Je suis un bricoleur. Je raffole de sculpture sonore, de sons étranges, de machines ésotériques, de contrôleurs bizarres, de textures extraterrestres, de séquençage, tout en admettant très humblement que je reste un étudiant perpétuel en la matière. J’ai attrapé depuis de la théorie musicale un peu plus poussée, ce qui me permet de donner une forme plus aboutie à mes envies. Mais je n’ai absolument pas la prétention d’être un théoricien ni un instrumentiste, je suis simplement un mec qui trafique ses boutons, qui joue sur ses contrôleurs, qui expérimente jusqu’à ce que ce qu’il entend sonne à ses oreilles et qui laisse ses tripes le guider en espérant que ça parlera à, heu, son auguste auditoire.

Bref, je rêvais depuis longtemps de m’y remettre, et la rencontre avec Ballistic Frogs a été l’occasion de faire de ce rêve une réalité, qui mêle en plus deux de mes passions de toujours, en plus de la mer et de la littérature : le son et le jeu vidéo.

Tu vas faire quoi exactement ?

Sound design et musique. Tout ce qui fera du bruit dans le jeu, c’est mon boulot. Du “piou” du laser que tire le vaisseau à la mélodie qui, je l’espère, vous tournera dans la tête longtemps après avoir fini votre partie. Niark.

Pourquoi tu changes de nom ?

Pour des raisons de clarté. Mon identité son – Wildphinn – concerne des activités très différentes de mes activités littéraires, marines et photographiques. Les deux mondes ne sont pas étanches, mais les publics sont assez différents, ne serait-ce que par l’univers de la langue ; la littérature est forcément centrée sur le français, le jeu et la musique n’ont pas cette spécificité. Tout simplement, j’ai envie que, quand on cherche quelque chose, un livre ou bien du son, on le trouve sans mal, et avoir un alias me semble la façon la plus lisible de faire.

Psycho Starship Rampage, c’est quoi ?

Voir sur le site de Ballistic Frogs, mais en gros, c’est un shoot them up croisé avec un rogue like. Il s’agit de défourailler de l’alien par paquets de douze avec un vaisseau seul contre tous, mais un élément de RPG permet de personnaliser peu à peu le vaisseau, conformément à ses envies, progressant peu à peu au cours des niveaux. On veut faire une forteresse mobile qui annihile tout l’écran en un tir ? Possible. Un petit vaisseau agile et malin ? Possible. Et encore bien d’autres possibilités de personnalisation et de fourberies pour décimer les rangs ennemis, que Ballistic Frogs révélera au fur et à mesure. Et en plus… ce sera multijoueur, avec une toute nouvelle approche, dont je ne crois pas qu’elle ait été encore tentée jusqu’ici !

Il sera comment, le son ?

Bien, j’espère.

Blague à part : résolument électro – neo-retro-vintage, si l’on peut dire – avec toutefois des éléments symphoniques. Je cherche à atteindre une atmosphère épique mais pas forcément héroïque, tout en restant prioritairement dans le monde électro. Je partagerai bientôt des extraits du travail en cours via Soundcloud.

Je suis convaincu ! Où est-ce que je signe ?

Le plus simple est, comme mentionné ci-dessus, d’aller jeter un oeil à Ballistic Frogs et à Wildphinn et de vous abonner aux profils qui vous plaisent. Pour mémoire :

Wildphinn – site / Facebook / Twitter / Instagram / Soundcloud

Ballistic Frogs – site / Facebook / Twitter / Google+

Je continuerai à mentionner ce versant parallèlement ici, le temps que l’information circule et que mon alter ego prenne son essor, mais à terme, la séparation sera plus nette. (Si vous en avez marre de m’entendre en parler ici, vous savez quoi faire, ahah !) Puis il s’agira simplement d’annoncer les étapes les plus marquantes ; Wildphinn prendra le relais pour proposer des mises à jour sur l’avancement du projet, des extraits sonores et diverses nouvelles en rapport avec le jeu et l’électro. N’hésitez donc pas à vous abonner dès maintenant !

Je ne vous cache pas que je suis un peu fébrile à l’orée de ce nouveau vaste projet, mais absolument enchanté en même temps. J’espère que le jeu vous plaira, que la musique vous séduira et saura surtout se mettre au service de l’expérience ludique (comme on dit dans la presse branchée) ; et que ce sera la première étape d’une longue et belle nouvelle aventure en parallèle des livres, que je ne délaisse absolument pas pour autant – cela va sans dire.

Et puis, parce que je suis quand même un peu ému de tout ça, j’ai juste envie de dire : merci à vous tous pour votre gentillesse, votre suivi, votre intérêt et votre fidélité.

2014-09-05T02:55:49+02:00lundi 8 septembre 2014|À ne pas manquer|3 Commentaires

La newsletter fait peau neuve

lolcat_newsletterSalutations, auguste lectorat !

Dans l’optique d’une accélération de ma portée produit et d’un renforcement de ma stratégie online dans le but d’accroître ma visibilité auprès des influencers, je suis heureux de t’annoncer que je viens d’embaucher un escl… un robot tout neuf pour gérer ma liste de diffusion, prénommé Lucien en hommage à mon ancien doppelgänger, depuis terrassé au cours d’un combat fratricide sur un ancien cimetière indien. Il faudra que je te raconte ça un jour, c’est passionnant.

Bien. Je change donc de système de diffusion pour ma liste, adoptant un système plus professionnel, mieux fichu, et surtout, je l’espère, plus transparent. En principe, vous ne devriez pas avoir remarqué la transition, qui a déjà eu lieu, à part que les mails arrivent davantage à l’heure et sont plus jolis. Lucien a aussi beaucoup travaillé pour écrire des messages de bienvenue plus sympathiques et pour rendre l’utilisation de l’outil plus facile. Bravo, Lucien. Susucre.

marvin_assemblyPour information,

  • Le résumé hebdomadaire des derniers articles du blog est toujours envoyé le mercredi matin à l’aube. 
  • Il y a une deuxième liste, qui ne représente qu’une poignée de mails par an, visant à informer sur mes grandes actualités : publications, programmes de dédicaces, etc. 

Il est possible de s’abonner à l’une et/ou à l’autre et de changer à la volée. Par défaut, les nouveaux abonnés sont inscrits aux deux (pour simplifier le processus). Exit le petit sondage qui ne motivait pas grand-monde et qui ne m’apprenait donc pas grand-chose.

Version courte : ça ne change pas sauf quand c’est mieux.

Comme toujours, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires sur le système. Et si vous n’êtes pas inscrit-e mais que, décidément, vous mourrez d’envie de le faire – et comme je vous comprends ! Ô, dieux, que je vous comprends ! – Lucien a obligeamment recollé un formulaire là-dessous. Entrez votre mail, et la bobinette cherra. 

[wysija_form id=”1″]

2014-09-01T11:18:29+02:00jeudi 4 septembre 2014|À ne pas manquer|6 Commentaires

Ce samedi, dédicace à Rennes

La Route de la Conquête est sorti, et ce qui doit suivre logiquement, c’est une séance de dédicaces, si possible à la librairie que le monde entier nous envie, Critic.

Je serai donc en signature ce samedi 6 septembre après-midi, à la librairie Critic, 19 rue Hoche, à Rennes. 

(C’est pour La Route de la Conquête, mais il n’est évidemment pas interdit de vouloir des livres antérieurs.) Et il n’est pas exclu que je ressorte la tenue steampunk pour l’occasion…

2014-09-01T11:27:57+02:00lundi 1 septembre 2014|À ne pas manquer|11 Commentaires

La Route de la Conquête est sorti !

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Et voilà : 21 août, La Route de la Conquête est arrivé dans les rayons, est commandable par votre libraire. Au programme, 350 pages de fantasy, d’action, de dilemmes éthiques et de d’aventure, où un empire détenteur de machines à vapeur magiques s’est mis en tête de conquérir le monde d’Évanégyre pour le protéger des erreurs du passé… et en commet bien d’autres.

Retrouvez les divers annonces conduisant à la publication du livre, avec divers bonus et informations :

Je serai en dédicace le 6 septembre à la librairie Critic, rue Hoche à Rennes. Et il se pourrait qu’il y ait une petite surprise pour l’occasion sur place.

L’ouvrage a été livré chez les éditions Critic, les précommandes ont été signées et sont en cours d’acheminement.

Envie de commander ? Rendez-vous par ici !

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2014-08-20T12:21:40+02:00jeudi 21 août 2014|À ne pas manquer|14 Commentaires

Jeudi teasing : la première chronique de La Route de la Conquête + un extrait

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Plus qu’une semaine ! La Route de la Conquête sort jeudi prochain, le 21 août, dans toutes les bonnes librairies. Il est encore temps de précommander et de recevoir votre exemplaire dédicacé : jusqu’au 18 août, en passant par la librairie Critic, sur cette page.

Le site d’actualités et de référence sur la fantasy Elbakin.net en propose déjà une critique en avant-première :

8/10. Pêle-mêle, on peut citer parmi les problématiques au menu : vainqueurs et vaincus, choc des cultures, traditions et pseudo-modernité, sans parler de savoir si la fin justifie (tous) les moyens, ou du moins de tenter de faire un choix en laissant l’histoire nous juger… Tout cela se retrouve traduit ici sans que l’auteur ait besoin de se montrer pontifiant ou de faire souffrir le rythme de son récit. […] Avec un soin évident et un vrai souci du détail sans jamais en faire trop, l’auteur nous entraîne à la suite de Korvosa et des autres dans un monde dont les échos nous touchent et se révèlent à même de nous faire réfléchir, sans pour autant que le décor ne soit qu’un décor, au contraire.
Une belle confirmation !

Merci à Elbakin et à Gillossen, auteur de la chronique, pour cet article à découvrir en entier ici (chronique garantie sans spoilers).

Et pour le plaisir, un petit extrait de “Le Guerrier au bord de la glace » (qui fait partie des inédits du livre), que j’avais passé sur Facebook. Que dire de ce texte et du monde d’Évanégyre à cette époque ?

Robots géants. Fusils laser. Combats aériens. Dragons. 

Cent mètres plus loin, Branth a réussi à contrôler suffisamment sa chute, lui aussi, et s’ébroue furieusement en poussant des hurlements de colère qui soulèvent des grêles de cailloux et font vibrer les plaques de mon blindage. Il a délogé deux adversaires, qui se tiennent à présent devant lui. Le premier a dégainé son tranchoir et protège son camarade qui se relève péniblement – le pilote est sonné, ou bien le contrôle moteur a subi une avarie, voire les deux. Le dragon se secoue avec rage tandis que les deux autres mekanas restent accrochées à son dos. Malgré les embardées de la créature formidable, l’une d’elles tire laborieusement son propre tranchoir, prête à l’enfoncer entre les omoplates du seigneur Branth.

Je m’élance à pleine vitesse vers les deux Chartistes qui se tiennent devant lui. Mes ailes s’orientent tandis que ma course s’accélère, et je sens les lames captatrices vibrer à mesure qu’elles absorbent de plus en plus d’énergie à la faveur de mon élan. Ma foulée s’allonge, les réacteurs prennent le relais.

Pas le temps de dégainer ma propre épée. Je lève le poing, griffes toujours sorties, et assène un coup cataclysmique, porté par ma propulsion, à l’insurgé qui se tenait en garde. Le choc de nos deux colosses d’acier tonne sur les plateaux comme le heurt de deux massues maniées par des dieux. Nous partons en vol plané et percutons lourdement la roche dans un crissement de métal torturé. Son bras droit ne lâche pas le tranchoir mais se tord en arrière dans une position anormale, et j’entends claquer les servomoteurs d’articulation.

Nous nous arrêtons dans une pluie de pierres et de poussière. Sans lui laisser le temps de réagir, à califourchon sur son dos, j’empoigne les lames délicates qui composent la voilure de ses ailes et tire de toute la force de mes propres moteurs jusqu’à les arracher.

Branth rugit. Il s’est cabré, prend une profonde inspiration. Il va souffler.

À dans une semaine pour la sortie du livre !

2014-08-13T09:59:49+02:00jeudi 14 août 2014|À ne pas manquer|2 Commentaires

Jeudi teasing : la chronologie d’Évanégyre

Et voilà.

Je l’expliquais en mars : le construction d’Évanégyre est articulée autour de points-clés, de vastes secrets de l’univers qui ont été peu abordés encore dans les récits, comme la Grande Guerre évoquée dans “La Fin de l’histoire », mais il reste de vastes pans à défricher – volontairement. Une planète entière est un lieu immense, un formidable terrain de jeu pour raconter des histoires, comme le sont l’envergure des siècles, et je tiens à pouvoir partir à la découverte, moi-même, de ce monde. Les points-clés de la ligne temporelle, les grands arcs narratifs décidés et fixés depuis quinze ans, font émerger tout un éventail de conséquences, sociales, psychologiques, politiques, culturelles et, depuis qu’ils sont définis, je laisse affleurer les histoires qui en découlent. Bien sûr, l’exigence de cohérence est fondamentale – tout ce qui a déjà été publié devient “canon” et ne peut être contredit (sauf à dessein). Il s’agit un peu d’une construction fractale, en définitive : j’ai la vue d’ensemble, et chaque récit vient affiner et définir un point particulier, un espace, une époque. Cela peut donner l’impression que j’avance à l’aveuglette, mais il n’en est rien : d’une part, avec les kilos de notes déjà établies, j’ai de quoi écrire pour une ou deux vies, d’autre part, je laisse les rênes à mon intuition pour me conduire là où il le faut. Certains auteurs disent qu’ils n’inventent rien, mais que les histoires existent ailleurs, sur un autre plan, et qu’ils ont simplement la possibilité de les entrevoir et de les rapporter : Évanégyre me fait cet effet-là, comme un monde autre, où je me rends pour le déchiffrer peu à peu et le raconter.

(Et maintenant, tout le monde me croit perché.)

Il reste quand même deux objectifs principaux dont je ne démords pas : d’une, l’histoire est fondamentale ; c’est elle qui justifie l’existence d’un récit – je ne suis pas là pour écrire un traité géopolitique ou historique, mais bel et bien pour qu’on passe un bon moment. De deux, je le martèle, mais tous les ensembles narratifs sont indépendants. On peut commencer à découvrir Évanégyre par les nouvelles isolées, par La Volonté du Dragon ou par La Route de la Conquête de façon parfaitement égale. Chaque histoire se suffit à elle-même – mais toutes les lire révèle un nouvel éclairage sur les événements, comme le prouvera, je l’espère, La Route de la Conquête.

Ceci étant rappelé, je peux maintenant dévoiler la chronologie de tous les récits d’Évanégyre parus jusqu’ici… en tout cas, dans la période de l’Empire d’Asreth, où s’inscrivent la grande majorité des récits publiés.

Tadam.

Chronologie de la période impériale

Cliquez pour agrandir

Il manque effectivement “Quelques grammes d’oubli sur la neige” – ce n’est pas un oubli. Cette question a fait naître une certaine discussion sur Facebook, que je vous propose éditée et résumée en forme de simili-entretien ci-dessous. Merci à tous ceux et celles qui ont participé et pour leurs excellentes questions !

Évanégyre, chronologie, secrets et découvertes : bavardages

Il manque un texte. Tu te gardes un effet dans ta manche ou alors il était trop excentré par rapport aux autres pour la photo ?

Bien vu ! Oui, il est beaucoup trop excentré. Vers la droite de la flèche.

Il est donc dans le canon. C’est ce que je pensais aussi (limite avec un changement d’échelle même).

Oh oui, « Quelques grammes d’oubli sur la neige » (qui sera repris dans La Route de la Conquête) est tout à fait dans le canon. Mais beaucoup plus tardif.

Les siècles font cent ans?

Bonne remarque. Oui.

Des années de 365 jours de 24h de 60 minutes équivalentes aux nôtres ?

Ce serait en dire trop… Non. Évanégyre est une planète de type terrestre, mais légèrement plus grande et avec des années légèrement plus longues. Mais pas assez pour que ça ait valu la peine d’être mentionné jusque là dans un récit.

Entre la Grande Guerre et “La Fin de l’Histoire” quel ordre d’années?

Une demi-douzaine de générations environ. (Un gros siècle.) Dans “La Fin de l’histoire », ni Veithar ni Aruel n’ont connu la Grande guerre, mais ses traces (psychologiques) restent marquantes et imprégnées dans la pensée des nations « développées », Asreth tout particulièrement, bien sûr.

La Grande Guerre a été un conflit mondial, semi-mondial? Le Dragon est vraiment féminin ou seulement son apparence humaine? (bon le reste tu me répondrais pas) Tiens quand même pour le fun : y a-t-il un rapport « organique » entre les cristaux artechs et les dragons ?

Oui, la Grande guerre a été un conflit mondial, terrifiant pour tous et terriblement dangereux. Quand le général Aruel dit que l’humanité a failli être anéantie, il ne rigole pas.
Oui, Mordranth est vraiment de genre féminin. Même si… il y a quelques particularités biologiques dues à son espèce.
Pour le reste… hmmm… je dirai simplement qu’on a vu de tout petits pans d’Évanégyre pour l’instant, et plutôt dans des contrées finalement assez reculées et isolées. Le monde est VASTE et il y a beaucoup d’endroits dont on a à peine parlé. D’autre part… il y a d’autres éléments qui n’ont pas encore été abordés, autrement qu’en passant de façon très elliptique. La Grande guerre a fait appel à certaines choses… qui ont été, disons, retirées de la circulation depuis.

Faisons court pour moi avec Évanegyre tu vises à quelque chose de proche d’une Histoire du futur comme on en trouve dans la SF. En fait je me rends compte que le point essentiel est que j’ai un problème depuis que j’ai eu l’info Asreth signifie « rempart », rempart contre quoi?

C’est très intéressant pour moi de voir les réactions: car la réponse à cette question est, véritablement, cachée entre les lignes de ce qui a déjà été publié… il arrive que certains personnages, par clairvoyance ou chance, expriment la vérité historique (si tant est qu’une telle chose existe, etc.) Pour le reste et les intentions, cela nécessitera des cycles véritables pour dépeindre correctement les événements charnière – si mes éditeurs acceptent de me suivre là-dedans.

Pour mémoire, La Route de la Conquête sort le 21 août et il est encore temps de commander : toutes les précommandes réalisées avant le 18 août seront dédicacées : rendez-vous ici

2014-08-05T15:11:56+02:00jeudi 7 août 2014|À ne pas manquer|7 Commentaires

Jeudi teasing : des fonds d’écran La Route de la Conquête pour votre ordinateur

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

La paix d’Asreth pour la protection du monde ! La couverture splendide de La Route de la Conquête, réalisée par François Baranger, a suscité beaucoup d’admiration, à très juste titre. En conséquence, les magnifiques éditions Critic vous offrent deux fonds d’écran pour votre ordinateur à télécharger librement ci-dessous, aux couleurs des légions impériales de l’Empire d’Asreth :

Version avec texte - clic-droit puis "Enregistrer sous..."

Version avec texte – clic-droit puis “Enregistrer sous…”

Version sans texte - clic-droit puis "Enregistrer sous..."

Version sans texte – clic-droit puis “Enregistrer sous…”

Pour mémoire, le livre sort le 21 août, et est d’ores et déjà disponible en précommande : toutes les livres commandés avant le 18 août vous seront personnellement dédicacés. Pour (re)voir le sommaire et le contenu du livre, c’est ici.

2014-07-28T11:24:42+02:00jeudi 31 juillet 2014|À ne pas manquer|1 Commentaire

Précommandez La Route de la Conquête et recevez-le dédicacé !

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Yeah ! Alors on n’est pas jeudi pour le teasing habituel mais peu importe : c’est le genre d’info qui n’attend pas.

La Route de la Conquête, qui sort le 21 août et dont le sommaire a été dévoilé en détail la semaine dernière, est à présent disponible en précommande sur le site de l’éditeur-libraire, Critic.

Toutes les précommandes seront dédicacées et envoyées pour la sortie officielle.

Pour précommander l’ouvrage (qui ne coûte même pas 20 euros ! pas cher ! achetez-en trois ou quatre !) et partir à l’aventure dans un millénaire d’épopée technologique et magique, rendez-vous ici :

Précommander La Route de la Conquête chez Critic

2014-07-25T10:18:42+02:00lundi 28 juillet 2014|À ne pas manquer|4 Commentaires
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