L’écriture de l’imaginaire : table ronde au festival Scorfel

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Au festival Scorfel, il y avait aussi des débats ! J’ai eu le plaisir de participer à une table ronde fort approfondie sur l’écriture de l’imaginaire, animée par Thomas Munier et avec Fred Guichen, Philippe Éthuin et Julien Pouard. Nous y parlons de vraisemblance, de cohérence, de conflit (je cogne en passant sur le film L’Écume des Jours), dans la narration littéraire, rôliste et autres, avec plein d’autres choses, ainsi qu’une session de questions-réponses à la fin.

Merci à Julien Pouard et au podcast les Voix d’Altaride pour la captation et diffusion en temps réel !

2019-06-07T22:42:04+02:00mercredi 26 octobre 2016|Best Of, Entretiens, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur L’écriture de l’imaginaire : table ronde au festival Scorfel

Procrastination podcast ép. 3 : « Les trois genres de l’imaginaire »

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « Les trois genres de l’imaginaire« .

Science-fiction, fantasy, fantastique : des étiquettes et des genres construits au fil de l’histoire littéraire mais qui correspondent actuellement à des classements importants, à la fois économiques et intellectuels. Cet épisode les définit simplement, tout en laissant la place aux évolutions inhérentes aux expérimentations qui forment les littératures de l’imaginaire. Où les auteurs s’inscrivent-ils, et faut-il absolument se fixer sur un genre ?

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

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2019-05-04T18:48:42+02:00lundi 17 octobre 2016|Procrastination podcast, Technique d'écriture|3 Commentaires

Rendez-vous misérable

D’où l’importance de la virgule : la phrase n’est pas « rendez-vous, misérable ».

Juste parce que du pain sur la planche trop de choses à faire toussa, un très court passage ici pour aujourd’hui. Il y a quelques jours, j’ai partagé cette petite image – qui n’est pas de moi – et elle a suscité beaucoup d’approbation, donc profitons-en ici aussi. (Si quelqu’un a la source, je serais preneur et ravi de l’intégrer.)

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Sinon, pour mémoire, le prochain épisode de Procrastination sort samedi, et il traitera des trois grands genres de l’imaginaire. En quinze minutes. Oui madame. Nous n’avons peur de rien.

Tizeure, avec Laurent Genefort :

https://www.instagram.com/p/BLavYR2gviE/

2016-10-11T15:08:38+02:00mercredi 12 octobre 2016|Technique d'écriture|3 Commentaires

Question : Comment faire des textes longs ?

GIFSec.com

Une excellente question reçue par mail, qui me parle d’autant plus qu’elle me ramène à un problème que je rencontrais il y a une petite dizaine d’années quand je cherchais à allonger mes récits au-delà de la nouvelle pour aborder le roman :

Concernant ton statut sur ton prochain livre qui va dépasser le million de signes… Je me demandais s’il y avait un truc pour parvenir à faire long ? Je constate depuis longtemps que mes romans ont une certaine tendance à la brièveté ce qui a une légère tendance à me frustrer. Atteindre péniblement les 400.000 signes pour constater que le fichu machin est lu en deux jours, c’est une scène familière. Alors est-ce que c’est une question d’affinité naturelle ? Est-ce que certains sont plutôt prédisposés au court et d’autres au long ? Ou bien est-ce simplement une question de méthode de travail ? D’expérience ?

Ma première réponse immédiate est : une histoire fait la taille qu’elle doit faire. Il n’y a pas de mérite à la longueur ; même si les gros bouquins sont prisés aujourd’hui, de Game of Thrones à Harry Potter, c’est en fait une tendance assez récente (que certains attribuent au changement des outils d’écriture, au passage à l’informatique). Les grands classiques de l’imaginaire sont dans l’ensemble des livres plutôt courts ; même Le Seigneur des Anneaux en entier fait à peu près la taille d’un volume en VO de Game of Thrones.

Donc, si l’histoire est réglée en 400 000 signes et qu’il n’y manque rien, c’est qu’elle a la bonne taille. La vitesse de lecture n’est pas fonction de l’impact laissé sur le lecteur. Des Fleurs pour Algernon ou 1984 sont de petits bouquins (par rapport aux standards actuels), pourtant ils ne laissent personne indifférent. La qualité, l’inventivité, la richesse, la profondeur priment évidemment de très, très loin sur la longueur – sinon les auteurs de nouvelles ne marqueraient jamais leurs lecteurs. Et je dirais même que voir son bouquin dévoré est un excellent signe ! C’est voir le lecteur ramer et mettre des mois à le finir qui devrait plutôt susciter l’angoisse…

Mais, pour ne pas esquiver la question – de façon purement mécanique, qu’est-ce qui fait la longueur d’un texte ? L’affinité de l’auteur, oui : sa tendance à décrire plus ou moins en détail, à imprimer un rythme plus ou moins soutenu, va jouer – et, tout simplement, son goût pour une forme ou une autre ; certains auteurs sont plus nouvellistes ou romanciers, certains sont les deux, certains se plaisent davantage dans certains formats ou d’autres. Sortir de cette zone de confort va nécessiter donc du travail (et une réelle envie ainsi qu’un peu d’introspection : pourquoi cette exploration ? Y a-t-il une réelle volonté créatrice ou bien s’agit-il juste de suivre la mode ?). Il n’y a aucun mal à faire court ou long. Personne ne reproche à Amélie Nothomb la brièveté de ses livres, cela fait partie de sa patte.

Après, si « faire plus long » cache en fait le désir de « faire plus complexe, plus ambitieux, plus épique » – alors la question est toute autre. Quand je souhaitais passer de la nouvelle au roman, et à la série (parce que j’aime les séries qui me plongent dans un univers qui m’accroche, et aussi parce que j’aime avoir la plus grande palette d’outils possible à ma disposition), la question m’est réellement apparue en ces termes : il ne s’agissait pas d’une question de longueur pure, mais d’un désir de complexité et d’ampleur, ce qui n’est pas du tout la même chose. Et n’entraîne pas du tout la même approche. Davantage de points de vue, davantage de complexité, un trajet plus long et difficile pour les personnages (qu’on parle de cheminement interne et/ou externe) entraînent mécaniquement davantage de longueur pour rendre le récit crédible. Il y a un échange constant entre longueur et complexité, entre densité et ampleur. En gardant bien à l’esprit, encore une fois, que plus complexe ou plus dense ne signifie pas nécessairement meilleur (pour le lecteur ou l’auteur). Il y a une force dans certains haïku que ne contiennent pas d’épais volumes contemporains.

La complexité entraîne aussi un risque très réel : celui de voir le projet s’effondrer sous son propre poids. De lancer trop d’assiettes en l’air et de ne pas les rattraper. De perdre des fils narratifs, d’oublier de payer des promesses narratives, et, tout simplement, de se noyer dans le projet avant de le mener à terme – sur La Messagère du Ciel, le premier tome des « Dieux sauvages », certes, j’ai dépassé le million de signes à l’heure actuelle mais il faut considérer que j’écris 20 000 signes par jour en moyenne depuis environ quatre mois (je triche, j’y travaille à plein temps) et que j’avais une trame assez aboutie avant de commencer. Plus le projet est long, plus les risques de perdre l’élan (voire, carrément, la foi) sont importants. Et un projet inachevé, personne ne le lit jamais.

Quand j’ai attaqué La Messagère du Ciel, j’avais aussi, déjà, une trilogie complète à mon actif. Par son envergure et sa complexité, je n’aurais jamais pu attaquer un projet tel que « Les Dieux sauvages » à mes débuts1. Quand j’ai voulu passer de la nouvelle au roman il y a une petite dizaine d’années, j’ai procédé par étapes – des novellas, des projets progressivement plus vastes (sachant, encore une fois, que la qualité n’a rien à voir avec la longueur, ni même avec la complexité) – pour être capable de voir de plus en plus loin et, surtout, de me faire confiance. Les créateurs réapprennent et réinventent sans cesse leur métier : que ce soient les outils en soi (plan ou non ? notes détaillées ou pas ?), mais surtout la maturation de la personne quant à son rapport à l’écriture, à sa façon de travailler, à ce qu’elle désire explorer et comment ; trajet qui évolue toute une vie.

Tout cela pour dire quoi ? Qu’encore une fois, il n’y a pas de prime à la longueur – la seule prime concerne la satisfaction du lecteur – un lecteur hypothétique qui peut correspondre à l’œuvre en cours, qui plus est. Rallonger pour la simple satisfaction d’avoir de gros livres a toutes les chances de conduire à un projet impubliable. La longueur émerge mécaniquement du nombre d’enjeux, de l’envergure du récit, du trajet à parcourir. Ce qui nécessite un peu d’expérience et/ou bien du temps et de la motivation pour être mené à terme, mais qui, encore une fois, n’est pas forcément corrélé à la qualité. Le Vieil homme et la mer est un livre court, à la narration simple (en apparence), mais ô combien profond. Il faut parfois beaucoup d’expérience pour arriver à écrire simplement et avec concision… Mais c’est un autre débat.

Pour prolonger la question, notre podcast, Procrastination, consacre son 4e épisode à la longueur des récits et à l’importance (ou pas) de celle-ci.

  1. Et encore, rien n’est publié pour l’instant. J’en parle, mais je suis dans cet état curieux, avant la toute première lecture par qui que ce soit, où je n’ai aucune idée de la réelle valeur de mon projet – qui est peut-être nulle. On verra.
2019-06-07T22:42:10+02:00lundi 10 octobre 2016|Best Of, Technique d'écriture|6 Commentaires

Respecter la typographie française sous Scrivener pour Mac

Le Mac c’est le bien, je le dis depuis que j’ai reçu la Révélation après 25 ans de tristitude Windows, mais cela implique forcément de nouveaux réflexes. Scrivener, le studio d’écriture professionnel par excellence, est l’une des meilleures applications pour la construction d’œuvres narratives, mais elle présente un petit manquement : elle ne gère pas facilement la typographie française, notamment les espaces insécables avant les signes de ponctuation doubles. Cela se réglait sous Windows avec une astuce présentée ici (l’autocorrection) mais sous Mac, l’application gère différemment son autocorrection, ce qui rend la même manipulation impossible.

Alors, nous sommes sous Mac, dont les choses sont, de base, bien plus faciles : option-espace insère une espace insécable dans n’importe quelle application qui les reconnaît, ce qui réduit pour ainsi dire à néant le problème, mais on peut avoir envie d’optimiser encore plus sa frappe. Pour ma part, dans le feu de l’action, je n’ai pas envie de me contorsionner les doigts pour insérer ce caractère dès que c’est nécessaire.

La solution ? Là encore, l’autocorrection, pour se fixer une chaîne de caractères facile à taper qui va insérer toute seule l’espace requise. Mais on va faire ça au niveau du système :

Dans les Préférences Systèmes de macOS, allons dans « Clavier », puis « Texte » :

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Cliquez pour agrandir

Il est ici très facile de remplacer une chaîne de caractères brève par une autre (cela ne remplace pas TextExpander, mais ça suffit pour les besoins présents). Pour ma part, je tape simplement deux fois le caractère associé, ce qui est remplacé par le même signe de ponctuation précédé par une espace insécable. Mais n’importe quelle autre combinaison (sauf quelque chose qui débute par une espace) conviendra.

Le plus beau, c’est que ces réglages :

  • Fonctionnent dans n’importe quelle application acceptant du texte enrichi (comme TextEdit, Ulysses, les navigateurs web etc.)
  • Sont synchronisés par iCloud, ce qui signifie que vous conserverez les mêmes réflexes de frappe, si nécessaire, sur vos appareils iOS et donc sur les éventuels traitements de texte que vous utilisez dessus (comme la version iOS de Scrivener).
2019-06-07T22:42:37+02:00mercredi 5 octobre 2016|Best Of, Technique d'écriture|6 Commentaires

Procrastination podcast ép. 2 : « Où allez-vous chercher tout ça ? »

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « Où allez-vous chercher tout ça ? »

« Comment trouver des idées ? » est l’une des questions les plus fréquentes qu’on pose aux auteurs. Lionel Davoust, Mélanie Fazi et Laurent Genefort explorent le fonctionnement de l’imagination et de l’inconscient, la recherche de l’étincelle qui donnera un récit, l’aspect profondément personnel de ce trajet – et comment, éventuellement, le travailler au quotidien.

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2019-05-04T18:48:42+02:00lundi 3 octobre 2016|À ne pas manquer, Procrastination podcast, Technique d'écriture|1 Commentaire

OneNote et Evernote retirés de la boîte à outils de l’écrivain

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Quand j’ai lancé la boîte à outils de l’écrivain, avec des liens d’affiliation, j’avais fait une promesse très précise : je ne ferais la promotion que des outils dont je me sers réellement au quotidien et que je recommande donc sans hésitation.

Il est donc temps de retirer deux produits de la boîte à outils, avec l’irritation de les voir prendre un trajet regrettable, et de voir deux excellents outils s’être sabotés de manière absurde : OneNote et Evernote.

Je retire OneNote car la politique de Microsoft en terme de cloud est, au mieux, discutable. La vie privée des utilisateurs n’est pas respectée, ce qui serait un moindre mal s’il était possible sous Mac d’avoir les données au chaud sur son disque, mais Office 365 ne propose pas d’enregistrement des données en local. Dealbreaker. Pour récupérer ses données, il existe l’application Outline qui est compatible avec OneNote (versions Mac et iOS disponibles).

Je retire Evernote car, pour le dire simplement, les dirigeants ont craqué leur slip : les prix ont augmenté de 40%, ce qui est, à mon humble avis, de la folie pure quand OneNote, Google Keep, Apple Notes sont gratuits en face, et qu’Evernote n’est pas nécessairement le meilleur des quatre. Après avoir fermé un certain nombre de projets dérivés (Evernote Hello, Evernote Food), une telle augmentation dans un marché fortement concurrentiel appelle à la prudence ; l’entreprise a montré à plusieurs reprises une direction hésitante et un manque de vision à long terme. EDIT printemps 2019 : Evernote est de retour, youpi !

Le rat que je suis quitte peut-être le navire, mais il est temps d’aller chercher des cieux plus clairs et surtout plus respectueux de mes données. Pour l’heure, je suis en train de trouver mon bonheur avec DEVONthink (Mac seulement, navré), mais ce n’est pas encore une recommandation ferme – j’en parlerai, le cas échéant, après davantage de tests.

2019-05-28T15:56:59+02:00mardi 27 septembre 2016|Technique d'écriture|10 Commentaires

Procrastination épisode 1 : La technique en questions

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Mise à jour du lendemain : le podcast est à présent disponible sur iTunes et par flux RSS classique

Mise à jour 13h40 : l’épisode est également disponible sur YouTube

Ça y est ! Le premier épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture avec Mélanie Fazi et Laurent Genefort, est sorti ! C’est donc un rendez-vous bimensuel que nous vous donnons, le 1er et le 15 de chaque mois, pour discuter d’écriture, de narration, de technique littéraire et d’édition, et ce en quinze minutes.

Le titre de cet épisode : « La technique en questions » :

Pour ce premier épisode, Lionel Davoust, Mélanie Fazi et Laurent Genefort introduisent le projet de ce podcast sur l’écriture en discutant du rôle de la technique dans l’art, de la place à lui réserver dans la pratique et des manières de l’acquérir. À quoi sert la technique ?  Comment l’équilibrer avec l’inspiration, un bon livre est-il forcément « parfait » techniquement ? Faut-il trouver « sa » technique, et le cas échéant, comment faire ?

Le podcast est disponible sur Soundcloud (et donc ci-dessous), sur iTunes, par flux RSS classique et aussi sur YouTube :

 

2019-05-04T18:49:22+02:00jeudi 15 septembre 2016|Procrastination podcast, Technique d'écriture|2 Commentaires

Procrastination, un podcast sur l’écriture en 15′ avec Mélanie Fazi et Laurent Genefort

procrastination-logo-seulJoie ! C’est un projet secret avec lequel nous avions un peu teasé, mes camarades et moi : et Elbakin a annoncé l’information, donc nous allons en parler.

Le 15 septembre, avec les sublimes Mélanie Fazi et Laurent Genefort, nous lançons un podcast sur la technique de l’écriture et sur le métier au sens large. Il sera résolument tourné vers la narration et ses techniques, de la conception à la publication en passant bien évidemment par la rédaction, l’édition, etc. et chaque épisode ne durera que quinze minutes (afin de ne pas trop abuser du temps de l’auditeur… et de délivrer un maximum d’informations pour un minimum d’emballage). La formule est clairement inspirée de l’excellent Writing Excuses, podcast américain dirigé par Brandon Sanderson (nous n’avons aucun lien avec eux, mais ils nous ont gentiment permis de construire notre propre podcast en partant de leur exemple).

Le podcast est hébergé par le site de référence Elbakin, bien connu des fans de fantasy, qui nous prête sa plate-forme (et que nous remercions au passage !). Il sera évidemment disponible sur tous les agrégateurs habituels. Nous avons prévu une minimum de 20 épisodes sur l’année pour commencer, sachant qu’ils sortiront toutes les deux semaines, le 1er et le 15 de chaque mois. 

Voici les thèmes des cinq premiers : 

  1. La technique en questions
  2. Où allez-vous chercher tout ça?
  3. Les trois genres de l’imaginaire
  4. C’est pas la taille qui compte
  5. Question de point de vue

Nous espérons que vous apprécierez ce nouveau projet – en tout cas, nous nous amusons beaucoup pour l’instant et nous commençons à trouver un bon rythme. Nous serons très attentifs aux réactions des auditeurs, donc n’hésitez pas à nous transmettre vos questions sur l’écriture et vos avis sur le podcast et son contenu.

Pas d’inquiétude pour le contenu de ce blog, ici ; cela ne changera pas grand-chose (d’autant plus que certains sujets se prêtent mieux à des articles écrits et/ou des illustrations visuelles), à part que je communiquerai bien entendu aussi sur Procrastination au moment de la sortie d’un nouvel épisode. Les deux supports ne se marcheront pas sur les pieds – la raison la plus immédiate étant que Procrastination reflète un débat entre nous trois (avec parfois trois points de vue assez divergents sur la technique, ce qui est tout l’intérêt de la chose), mais qu’ici, c’est moi tout seul, et que je suis certes plus cinglé que toi, mais au point de ne pas être d’accord avec nous-mêmes. (sic)

Lire la news d’Elbakin, et discuter de cette annonce sur le forum d’Elbakin.

Le petit jingle que j’avais publié il y a un mois correspondait en fait à ce projet. Encore une fois, dès publication, n’hésitez pas à nous transmettre vos retours. (Nous verrons à l’usage s’il y a une façon pratique de centraliser le feedback, mais j’imagine que le plus simple sera le forum d’Elbakin.)

Avanti ! 

2016-09-19T18:16:13+02:00lundi 5 septembre 2016|À ne pas manquer, Technique d'écriture|2 Commentaires
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