Précommandez Contes Hybrides entre le 4 et 14 septembre pour recevoir votre exemplaire dédicacé

Oh yeah ! Oh yeah ! Si tu as raté la nouvelle, auguste lectorat, Contes hybrides sort le 18 septembre, un bouquin qu’il est joli et vachement bien (forcément) avec trois novellas à pas cher.

Profitant du Festival de l’imaginaire du Tonnerrois (où je serai), nous proposons avec les éditions 1115 une opération qu’elle est trop bien :

Couv. Victor Yale

Précommandez Contes hybrides sur le site des éditions 1115 entre le 4 et le 14 septembre et votre exemplaire sera dédicacé. La page est ici, et je recommande dès maintenant l’emploi de douze imposants réveils mécaniques de cuisine pour ne pas rater la date. Nan, j’déconne, je ferai un rappel, ALLEZ.

2019-09-02T16:41:16+02:00mercredi 28 août 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Parution de Contes hybrides le 18 septembre

Et voilà, l’éditeur – les jolies éditions 1115 – ont annoncé la nouvelle, alors j’y vais joyeusement à mon tour :

Couv. Victor Yale

Contes hybrides est donc un recueil reprenant trois novellas devenues un peu difficiles à trouver sous format papier dans leurs anthologies d’origine :

Et comme l’auteur est souvent le plus mal placé pour parler des textes (comme je dis fréquemment en dédicace : “c’est hyper bien, mais je suis peut-être un peu partial”), voici le mot de l’éditeur (qui me fait rougir jusqu’à la racine de la barbe, parce que les cheveux c’est un peu loupé depuis quelques années) :

Première novella de ce recueil, « Le Sang du large » nous conte l’histoire d’un auteur isolé et de sa rencontre avec une créature qu’il pourrait croire tirée de l’un de ses romans. Mais est-ce lui qui a besoin de cet être fabuleux, ou bien l’inverse ?

« Point de sauvegarde » explore ensuite le cruel labyrinthe de notre mémoire et interroge notre vision de la réalité. Et pour finir, « Bienvenue à Magicland » fait la part belle à la dérision et à la monstruosité, même si le monstre n’est pas toujours celui que l’on imagine…

L’hybridation, cet art subtil du mélange et de la réunion, de l’assemblage des corps et des concepts. Nos mythologies regorgent de chimères, nos légendes de créatures bipartites, et qui mieux que Lionel Davoust pour donner vie à ce bestiaire combinatoire ? Pour notre prochaine publication, ce sont donc trois novellas qui domptent la part d’altérité en chacun de nous, triptyque à la croisée des genres, ici fantastique, là science-fictionnel, ou bien encore tragi-comique. Trois univers, trois histoires, entre plaidoyer en faveur de la différence et acceptation de notre propre sauvagerie. Car après tout, ne sommes-nous pas toutes et tous des créatures hybrides ?

Je suis vraiment ravi de voir ces trois textes réunis sous cette thématique à laquelle je n’avais pas initialement pensé, mais qui, avec le recul, fait évidemment sens (c’est là qu’on voit la marque d’un bon éditeur !). J’adore le format des livres des éditions 1115, des petits poche robustes mais jolis et bien fabriqués à emporter partout pour voyager à tout instant.

J’ai hâte de pouvoir partager ce recueil avec vous, qui sortira le 18 septembre au doux prix de 7 €. Plusieurs salons sont prévus autour de la rentrée, et je vais faire le point très vite.

2019-09-20T21:04:36+02:00lundi 5 août 2019|À ne pas manquer|2 Commentaires

Un nouvelliste d’exception disponible en français : L’Opéra des serrures, par Bruce Holland Rogers

Toujours un peu difficile de vanter ainsi un ouvrage dont on a fait la traduction, mais je le pense – c’est d’ailleurs pour cela que je me suis retrouvé à piloter ce projet (c’est donc que j’y crois). Bruce Holland Rogers est un nouvelliste d’exception, souvent à la frontière entre le réel et l’imaginaire, dans une mouvance rappelant les grands maîtres du réalisme magique, et surtout, il est capable d’évoquer dans des textes de quelques pages la force d’un haiku, d’une chanson et d’un coup de poing. Il y a quelques années, je m’occupais de traduire ses nouvelles pour un service d’abonnement (qu’honnêtement, je n’ai jamais réussi à vraiment faire décoller en France) ; il était vraiment dommage que ces textes disparaissent dans l’oubli, et L’Opéra des serrures les rassemble ainsi qu’un bon nombre d’inédits. Si vous êtes venu.e à une représentation des Deep Ones, le texte “Traverser la frontière”, dont on me demande souvent la référence, est de Bruce1.

Cliquez pour agrandir

L’Opéra des serrures, c’est quarante textes dont beaucoup sont des “shorts shorts” soit des nouvelles très courtes, quelques pages au plus, qui couvrent l’imaginaire, mais aussi la littérature générale, l’étrange, toujours avec une capacité unique à établir un lien avec le lecteur à travers la communauté de l’expérience humaine. Avec en plus deux copieuses préfaces et un entretien réalisé par votre humble serviteur où se trouve, pour moi, la meilleure définition du métier d’écrivain que j’aie lue, donnée par Bruce :

La technique artistique relève d’une connaissance suffisante de l’histoire pour […] se concentrer sur le lecteur et manipuler adroitement son esprit.

Je remercie également les éditions Rivière Blanche d’avoir accepté de porter un projet un peu dingue et pour la direction littéraire ; le livre est actuellement disponible chez tous les bons libraires, ainsi qu’en ligne, directement sur le site de l’éditeur, ici, là.

  1. Il ne figure cependant pas dans le livre qui est une traduction du recueil américain Keyhole Opera.
2018-08-23T09:42:44+02:00jeudi 25 janvier 2018|À ne pas manquer|6 Commentaires

La Route de la Conquête disponible en numérique !

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Nous y sommes ! Après quelques tribulations (merci de votre patience), La Route de la Conquête est à présent disponible en numérique chez tous les distributeurs. Pour mémoire, ce livre contient un court roman (éponyme) et cinq nouvelles, ce qui en fait une excellente porte d’entrée dans l’univers d’Évanégyre (où se déroulent, parfaitement indépendants, La Volonté du Dragon et Port d’Âmes).

Je pourrais vous dire que c’est vachement bien, mais je suis comme qui dirait un peu partial, alors je peux vous dire, de la part de gens pas partiaux, que le livre a reçu le prix Exégète en 2015, et qu’il a été finaliste des prix Elbakin, Imaginales et Mythologica, coup de cœur du magazine SciFi Now, des libraires de la Fnac de Lyon, et je vais arrêter parce que ça suffit, quand même – mais un très grand merci, à nouveau, à tous les critiques et libraires qui ont apprécié et soutenu ce livre.

À tous les lecteurs qui aiment une fantasy un peu différente, qui joue avec quelques codes de la science-fiction comme les problématiques de premier contact, de marche des empires, de poids de l’histoire, ou juste qui veulent des exosquelettes à vapeur, des grosses épées et des dragons (parce que y a ça aussi), je pense que le livre peut faire passer un bon moment. Et en plus, il contient la nouvelle « Quelques grammes d’oubli sur la neige », qui formera une introduction intéressante (mais non indispensable, bien sûr) à la trilogie « Les Dieux sauvages » en préparation, dont le premier volume sortira en mai prochain (et dont j’ai fini le volume 1 la semaine dernière).

En numérique, le livre est disponible au prix raisonnable de 11, 99 euros, par exemple chez :

Et bien sûr, pour en savoir plus, la page correspondant au livre sur le présent site est à votre disposition, avec des liens vers chaque texte pour savoir plus avant de quoi il retourne.

Merci à vous !

2016-11-04T17:56:55+01:00lundi 7 novembre 2016|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Route de la Conquête disponible en numérique !

L’Importance de ton regard sélectionné au premier tour du Grand Prix de l’Imaginaire !

Couv. Anne-Claire Payet

Il y a une loi cosmique qui stipule que chaque fois que j’annonce un emploi du temps de publication sur ce blog, l’information ou l’actualité vient le chambouler, mais je ne vais certainement pas m’en plaindre, puisque une excellente nouvelle vient de tomber : L’Importance de ton regard a été sélectionné au premier tour du Grand Prix de l’Imaginaire ! Merci au jury !

Attention, il ne s’agit pas de la liste des finalistes (“nominés”) mais bien d’un premier tour, une liste que le jury communique pour la première fois cette année, comme l’explique Sandrine Brugot-Maillard sur son blog. Les oeuvres sélectionnées ont donc une chance de passer véritablement finalistes (liste communiquée en mars), et les lauréats seront annoncés en juin pour le festival Étonnants Voyageurs.

Qu’importe, je suis déjà très heureux que le livre soit remarqué ! Voici la liste complète de ce premier tour (source). Bravo à tous !

Roman francophone

  • Le Souffle de l’ogre de Brigitte Aubert (Fayard)
  • Les Mystères du temps de Jean-Pierre Bonnefoy (Buchet-Chastel)
  • Les Démons de Paris de Jean-Philippe Depotte (Denoël)
  • L’Enfant sorcier de Ssinahan de Georges Foveau (Folio SF)
  • Cygnis de Vincent Gessler (L’Atalante)
  • May le monde de Michel Jeury (Robert Laffont)
  • CLEER de L.L. Kloetzer (Denoël)
  • Vegas Mytho de Christophe Lambert (Fleuve Noir)
  • Le Vaisseau ardent de Jean-Claude Marguerite (Denoël)
  • L’Ange blond de Laurent Poujois (Mnémos)

Roman étranger

  • Le Filet d’Indra de Juan Miguel Aguilera (L’Atalante)
  • La Lance du désert de Peter V. Brett (Milady)
  • Artères souterraines de Warren Ellis (Au Diable Vauvert)
  • Laisse-moi entrer de John Ajvide Lindqvist (Télémaque)
  • La Guerre tranquille de Paul J. McAuley (Bragelonne)
  • Le Fleuve des dieux de Ian McDonald (Denoël)
  • Le Don de Patrick O’Leary (Mnémos)
  • Boneshaker de Cherie Priest (Eclipse)
  • Ceci n’est pas un jeu de Walter Jon Williams (L’Atalante)
  • A travers temps de Robert Charles Wilson (Denoël)

Nouvelle francophone

  • “Effondrement des colonies” de David Calvo (Le Jardin schizologique, La Volte)
  • “Desmodus Draculae” de Leni Cèdre (Bifrost n°60)
  • L’Importance de ton regard (Recueil) de Lionel Davoust (Black Coat Press)
  • “Ethologie du tigre” de Thomas Day (L’O10ssée, Gallimard)
  • Stratégies du réenchantement (Recueil) de Jeanne-A Debats (Griffe d’Encre)
  • “Rempart” de Laurent Genefort (Bifrost n°58)
  • Bara Yogoï (Recueil) de Léo Henry et Jacques Mucchielli (Dystopia)

Nouvelle étrangère

  • L’Essence de l’art (Recueil) de Ian M. Banks (Le Bélial’)
  • “Un Précis” de Ian R. MacLeod (Bifrost n°60)
  • “Récif” de Paul J. McAuley (Galaxies n°10)
  • “Voyage avec mes chats” de Mike Resnick (Galaxies n°10)
  • Sous des cieux étrangers (Recueil) de Lucius Shepard (Le Bélial’)
  • Les Vestiges de l’automne de Robert Silverberg (ActuSF)

Roman jeunesse francophone

  • Ailleurs de Pauline Alphen (Hachette jeunesse)
  • La Guerre des mondes n’aura pas lieu ! de Johan Heliot (Mango jeunesse)
  • La Roue des vents de Vincent Joubert (Ankama)
  • La Dernière flèche de Jérôme Noirez (Mango jeunesse)
  • La Douane volante de François Place (Gallimard jeunesse)
  • Les Yeux d’Opale de Bénédicte Taffin (Gallimard jeunesse)
  • Deux secondes avant la fin du monde de Freddy Woets (Oskar)

Roman jeunesse étranger

  • Les Portes de John Connolly (L’Archipel)
  • Le Sortilège de pierre de Cornelia Funke (Gallimard jeunesse)
  • Entremonde de Neil Gaiman et Michael Reaves(Au Diable Vauvert)
  • Voraces de Oisin McGann (Mango jeunesse)
  • Un endroit où se cacher de Joyce Carol Oates (Albin Michel jeunesse)
  • Jenna Fox, pour toujours de Mary E. Pearson (Des Grandes Personnes)
  • Alcatraz (Série) de Brandon Sanderson (Mango jeunesse)
  • La Confrérie de l’horloge de Arthur Slade (Le Masque)
  • Léviathan de Scott Westerfeld (Pocket jeunesse)

Prix Jacques Chambon de la traduction

  • Mikael Cabon pour Chroniques des rivages de l’Ouest (Série) de Ursula K. Le Guin (L’Atalante)
  • Sara Doke pour Lila Black (Série) de Justina Robson (Milady)
  • Gilles Goullet pour Le Fleuve des dieux de Ian McDonald (Denoël)
  • Brigitte Mariot pour L’Âge du chaos (Série) de Mark Chadbourn (Orbit) et La Première loi (Série) de Joe Abercrombie (Pygmalion)
  • Nathalie Mège pour Le Don de Patrick O’Leary (Mnémos)
  • Michel Pagel pour Entremonde de Neil Gaiman et Michael Reaves (Au Diable Vauvert)

Prix Wojtek Siudmak du graphisme

  • Aleksi Briclot pour Worlds & Wonders (CFSL Ink)
  • Philipe Gady pour La Maison qui glissait de Jean-Pierre Andrevon (Le Bélial’), H2G2 de Douglas Adams et H2G2 : Encore une chose… de Eoin Colfer (Denoël)
  • Grégory Fromenteau pour Solaris n°174 et Solaris n°176
  • Manchu pour Starship(s) (Delcourt)
  • Frédéric Perrin pour Ceci n’est pas un jeu de Walter Jon Williams (L’Atalante)
  • Diego Tripodi pour Jack Barron et l’éternité et Il est parmi nous de Norman Spinrad (J’ai lu)
  • Jason Van Hollander pour La Ville et le tableau de Robert Freeman Wexler (Zanzibar)
  • Damien Venzi pour Péninsule de Michael G. Coney (Folio SF)

BD / Comics

  • La Brigade chimérique (tomes 1 à 6) de Fabrice Colin, Serge Lehman et Stéphane Gess (L’Atalante)
  • Les Derniers jours d’un immortel de Fabien Vehlmann et Gwen de Bonneval (Futuropolis)
  • Le Diable amoureux et autres films jamais tournés par Méliès de Fabien Vehlmann et Frantz Duchazeau (Dargaud)
  • Hercule (tome 1) de Steve Moore et Admira Wijaya (Milady Graphics)
  • Nico (tomes 1 à 2) de Fred Duval et Philippe Berthet (Dargaud)
  • Omni-Visibilis de Lewis Trondheim et Matthieu Bonhomme (Dupuis)
  • Orbital (tomes 1 à 4) de Sylvain Runberg et Serge Pellé (Dupuis)
  • Rex Mundi (tomes 1 à 2) de Arvid Nelson et Ericj (Milady Graphics)
  • Sorcellerie et Dépendances de Sandrine Revel(Dupuis)
  • Tortuga (tome 1) de Sébastien Viozat et Antoine Brivet (Ankama)
  • Uchronie[s] (tomes 1 à 3 des 3 séries) de Eric Corbeyran, Eric Chabbert, Djillali Defali et Tibéry (Glénat)
  • Zombillénium (tome 1) de Arthur De Pins (Dupuis)

Manga

  • 7 milliards d’aiguilles (tomes 1 à 4) de Nobuaki Tadano (Doki-Doki)
  • Baptist (tomes 1 à 4) de Gyung-Won Yu et Sung-Ho Mun (Ki-Oon)
  • Broken Blade (tomes 1 à 6) de Yûnosuke Yoshinaga (Doki-Doki)
  • Freesia (tomes 1 à 4) de Jirô Matsumoto (Kazé)
  • L’Île Panorama de Maruo Suehiro (Casterman)
  • Pluto (tomes 1 à 5) de Naoki Urasawa (Kana)
  • Rohan au Louvre de Hirohiko Araki (Futuropolis / Le Louvre)
  • Ultra Heaven (tomes 1 à 3) de Keiichi Koike (Glénat)

Essai

  • A.E. Van Vogt, passeur cosmique sous la direction de Joseph Altairac (L’Oeil du Sphinx)
  • Steampunk ! L’esthétique rétro-futur de Etienne Barillier (Les Moutons électriques)
  • Jean Ray, l’alchimie du mystère de Arnaud Huftier (Encrage)
  • Le Panthéon des savants fous de Anna C. Long et Daniel H. Wilson (Calmann-Lévy)
  • Encyclopédie du fantastique sous la direction de Valérie Tritter (Ellipses)

Prix spécial

  • 75 Years of DC Comics de Paul Levitz (Taschen)
  • L’Art fantastique de Werner Hoffman (Actes sud)
  • DC Comics, les super-héros s’affichent, commentaires de Robert Schnakenberg (Huginn & Muninn)
  • Hugo Gernsback. An amazing story, catalogue d’exposition de Luc Henrig, Paul Lesch et Ralph Letsch (CNL de Mersch)
  • Kadath, le guide de la cité inconnue de David Camus, Mélanie Fazi, Raphaël Granier de Cassagnac, Laurent Poujois et Nicolas Fructus (Mnémos)
  • Les Mers perdues de Jacques Abeille et François Schuiten (Attila)
  • Poètes de l’Imaginaire, anthologie de Sylvain Fontaine (Terre de Brume)
  • The Sunday Books de Michael Moorcock et Mervyn Lawrence Peake (Denoël)
2011-01-20T10:48:30+01:00jeudi 20 janvier 2011|Actu|5 Commentaires

Début mai : L’Importance de ton regard, recueil de nouvelles

Couv. Anne-Claire Payet

Dernières infos :

  • Tous les exemplaires précommandés par la librairie Critic seront dédicacés.

Je commençais un peu à en parler à gauche et à droite, mais j’attendais que La Volonté du Dragon soit sorti avant de dévoiler ce livre en détail. En effet, il sera publié très peu de temps après l’autre, et je voulais éviter qu’ils se gênent – heureusement, les deux éditeurs travaillent en synergie plutôt qu’en concurrence !

J’ai donc le très grand plaisir de vous annoncer que L’Importance de ton regard, recueil de nouvelles, paraîtra aux éditions Rivière Blanche début mai !

Cet épais volume (384 pages !) comporte (presque) toutes les nouvelles publiées en anthologies, revues et fanzines jusqu’à l’année 2009 incluse, ainsi que huit inédits, dont un court roman (qui donne son titre au livre). Il s’y trouve de tout : aventure, fantasy, science-fiction, récits courts ou bien longs, mais avec un net penchant pour l’absurde ou le bizarre.

La quatrième de couverture :

Le monde est une illusion fragile, ami lecteur. Ferme les yeux et il n’en reste rien. Seule compte L’IMPORTANCE DE TON REGARD.

Des marins condamnés à s’entretuer dans des glaces éternelles ; des jeunes qui tunent leur corps comme une voiture ; une population absorbée dans un jeu en ligne tentaculaire ; des guerriers qui atteignent la pureté en brûlant leurs souvenirs ; Arthur, Guenièvre et Merlin en pleine crise d’identité…

Dix-sept nouvelles et un court roman entre humour féroce et désespoir, entre absurde et optimisme — dix-huit contes modernes, dont huit inédits, où la folie le dispute à l’illumination. Quatre nominations à des prix majeurs dont “L’Île close”, lauréate du Prix Imaginales 2009 et traduite aux États-Unis.

« Étant donné la qualité des textes de Lionel Davoust, il nous faut remarquer qu’il a de la chance d’être encore en vie. » – Bruce Holland Rogers

Le recueil s’articulera en quatre parties plus une, encadrées par une préface de Stéphane Manfrédo (essayiste, critique, directeur de collection) et une postface de Bruce Holland Rogers (écrivain, professeur).

Au sommaire :

  • Préface – Stéphane Manfrédo

Expériences en temps réel

Voies senestres

Il est déjà trop tard

Basejumping from reality

Coda

  • Postface – Bruce Holland Rogers

Le livre est disponible en précommande chez l’éditeur à cette adresse.

2010-08-17T11:50:57+02:00mardi 6 avril 2010|Actu|1 Commentaire

Anté-bilan 2010 (et programme de parution)

Il est d’usage en fin d’année de réaliser un bilan de la période écoulée – le parcours accompli, quelles résolutions ont été tenues, les réussites et les échecs – mais je préfère me focaliser sur ce qui m’attend ; les défis accomplis ont été surmontés et, s’il peut être agréable de constater ce à quoi l’on a survécu, c’est ce qui reste à faire qui nécessite avant tout l’attention.

Je vais donc réaliser par avance le bilan de l’année 2010. (suite…)

2010-02-01T18:31:23+01:00mardi 12 janvier 2010|Actu|12 Commentaires

Rentrée littéraire (genre)

Quand on parle de rentrée littéraire, j’imagine de petits bouquins avec des cartables sur le dos qui pleurent en ne voulant pas quitter leur papa et leur maman : « Naaan, je veux pas aller sur l’étal du libraire, il a l’air méchant, et puis je vais encore me retrouver au fond près de l’extincteur, et, quand la Fnac brûlera, je serai le premier à être mouillé, et, de toute façon, ce sont toujours les mêmes fayots qui se retrouvent au premier rang en tête de gondole… »

Couv. Sébastien Bermès

Couv. Sébastien Bermès

Ou bien ce n’est peut-être pas exactement comme cela que ça marche.

Je rechigne comme toujours à parler des projets en cours avant qu’ils ne soient avancés au maximum parce qu’on ne sait jamais ce qui peut arriver (idéalement, je n’en parlerais que la veille de la date de publication) mais la rentrée, c’est l’heure des bilans, comme dit l’autre (à l’instar, d’ailleurs, de  l’anniversaire, des anniversaires en dizaines, des commémorations annuelles, de Pâques, du jour de l’an, du printemps, des grandes vacances. OK, peut-être pas Pâques). Alors, me disais-je malgré tout, peut-être qu’un petit point sur les activités en cours serait bienvenu. Oublions la poussière de craie de septembre et l’odeur aseptisée du plastique neuf des claviers pour causer un peu histoires et contes divertissants – enfin, je l’espère.

Commençons par la parution de la première partie d’une interview des auteurs d’Identités (anthologie de Lucie Chenu aux éditions Glyphe où figure « Bataille pour un souvenir ». Réalisée par Denis Labbé pour lefantastique.net, cette entrevue fait apparaître les réponses de Sophie Dabat, Estelle Valls de Gomis, Li-Cam, Jean Millemann, Alain le Bussy (et les miennes) à trois courtes questions sur le rapport au thème de l’identité et la genèse des textes. Elle est lisible ici.

Les journées ne font que vingt-quatre heures et la vie professionnelle d’un indépendant – en tout cas, la mienne – se répartit selon des proportions : quel temps accorder à tel projet en fonction des disponibilités et envies, car on ne saurait tout faire (du moins, pas correctement), et il existe également de basses exigences matérielles, notamment dues à l’encombrante nature biologique du corps, avec lesquelles il faut hélas composer. Mais j’ai récemment décidé (et eu la possibilité) d’augmenter très nettement la part de mon temps dévolue à l’écriture, pour ma plus grande joie.

Je suis donc maintenant, ô auguste lectorat, en parfaite position pour me manger un mur (ce qui, convenons-en, constitue quand même une nette évolution par rapport au fait de ne rien risquer).

Alors, sans donner trop de détails pour l’instant, car l’édition est toujours un milieu fragile où les imprévus sont nombreux (il m’est par exemple arrivé d’être payé pour une nouvelle à paraître dans une anthologie que l’éditeur n’a finalement pas publié), voici ce qui se prépare d’à peu près certain pour les douze mois à venir :

  • Des nouvelles à paraître en anthologies ; c’est un marché difficile et donc instable, mais au moins trois devraient voir le jour d’ici mi-2010 (dont une pour la jeunesse) ;
  • Il y a la publication de « L’Île close » en anglais dans Interfictions 2.

Mais ce n’est pas tout, car j’ai maintenant l’immense plaisir d’annoncer deux livres à paraître dans le premier tiers de l’année 2010 :

  • La publication d’un recueil de nouvelles, additionné d’un court roman. Cela s’annonce comme un assez gros volume où se trouveront panachés d’anciens et de nouveaux textes, dont notamment une petite moitié d’inédits ;
  • La publication d’un autre court roman en volume indépendant.

Dès que je me sentirai à l’aise pour en parler un peu plus, je le ferai – en détail, cette fois.

Il se prépare enfin un autre gros projet pour 2011, mais là, c’est vraiment, vraiment trop tôt pour en dire quoi que ce soit.

2010-02-01T18:32:23+01:00mercredi 2 septembre 2009|Actu|5 Commentaires

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