Samedi 7 août : une nuit de folie

Ou plus exactement une après-midi…

Ce samedi aura lieu la Nuit du Livre, organisée par la ville de Bécherel – la « cité du livre » située à 30 km au nord-ouest de Rennes et centrée sur la bouquinerie, la librairie, la reliure et la calligraphie. L’événement propose un marché, des expositions, concerts…

J’y serai en dédiace de 14h à 19h à la librairie Abraxas, 11 rue du Faubourg Bertault, en compagnie de :

  • Thomas Geha (Le Sabre de sang, Critic)
  • David S. Khara (Les Vestiges de l’aube, Rivière Blanche)
  • Adeline Méheut, une jeune auteur de 14 ans (Anna, éd. Denis Voignier)
  • Jean Millemann (auteur de nombreuses nouvelles très remarquées dans (Pro)Créations, Identités, De Brocéliande en Avalon, Flammagories…)
  • Alain Roussel (Que la ténèbre soit !, La Clef d’Argent)
  • Erik Wietzel, membre de la Ligue de l’Imaginaire et auteur de nombreux romans à succès (Les Mirages d’Elamia, Les Dragons de la cité rouge, Bragelonne, etc. )

La librairie éditera également un petit catalogue comportant des nouvelles, dont certaines inédites ; y figurera « Devant » (reprise dans L’Importance de ton regard).

Plus d’informations :

Pour s’y rendre, c’est très facile :


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Venez nombreux !

2010-08-04T16:20:10+02:00mercredi 4 août 2010|Actu|1 Commentaire

Tragique échouage en milieu urbain (prudence âmes sensibles)

Après avoir parcouru jusqu’à des milliers de kilomètres dans des conditions allant du plus confortable au plus chaotique, accomplissant infatigablement leur rôle dans le cycle de la vie, les vieux spécimens se détachent parfois du troupeau. C’est fréquemment l’homme qui les attire ; inconscients des conséquences, touristes et familles les apprivoisent et, pendant un temps, les nourrissent, les conservent près d’eux, avant de les abandonner à la première maladie, ou même sans raison. L’animal, isolé de ses congénères, est alors incapable de regagner les siens et son milieu naturel ; il se laisse souvent aller à l’errance, oubliant de s’alimenter et même de s’abriter par gros temps.

On les retrouve ainsi échoués, oubliés, gisant tristement sur le flanc, seuls. On devine l’égarement tragique de l’animal, désorienté, souvent vieux et malade, qui n’a guère eu que la force de se traîner derrière un buisson pour mourir à l’abri des regards, appelant en vain de ses tristes couinements des maîtres qui se sont lassés de ses services.

Insoutenable.

2010-10-17T23:51:27+02:00lundi 2 août 2010|Expériences en temps réel|5 Commentaires
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