« Regarde vers l’ouest » republiée dans l’anthologie du festival ImaJn’ère, Monstres Cachés

Tous les ans se tient l’extrêmement agréable festival ImaJn’ère à Angers, auquel j’ai eu le plaisir de participer plusieurs fois, et à chaque fois le festival propose sa propre anthologie en lien avec le thème choisi. 2018 ne fait pas exception, et il faut noter que le livre n’ouvre pas ses pages qu’aux auteurs établis mais aussi aux débutants à travers un appel à soumissions annuel : une initiative à saluer !

Le thème de cette année est Monstres cachés, et le livre bénéficie d’un splendide écrin de Philippe Caza :

Couv. Caza

Au sommaire

  • Célia Rodmacq
  • Cédé
  • J.A. Reeves
  • Christian Ravat
  • Samantha Chauderon
  • David Verdier
  • Brice Tarvel
  • Roxane Dambre
  • Simon Sanahujas
  • Lionel Davoust
  • Julien Heylbroeck
  • Beth Greene
  • Martine Leroy
  • Camille Leboulanger
  • Audrey Calviac
  • Pierre-Marie Soncarrieu
  • Arnaud Cuidet
  • Christine Luce
  • Thomas Geha
  • Jean-Hugues Villacampa
  • Sarah et Romain Mallet
  • Francis Carpentier
  • Jérôme Verschueren
  • Patrick Eris

Avec une préface de Philippe Caza, une postface de Jean-Hugues Villacampa et 20 illustrations intérieures.

À propos de « Regarde vers l’ouest »

Je propose pour ma part une réédition d’un texte pour lequel j’ai beaucoup d’affection, car il s’agissait à l’époque d’une de mes premières incursions dans l’univers qui allait devenir Léviathan. Comme dans le cas d’Évanégyre, le texte est entièrement indépendant de la série, et fait d’ailleurs intervenir des personnages sans lien direct avec les romans ; l’ambiance est simplement voisine.

Histoire d’initiation, de création, de (pro)création (comme le titre de l’anthologie de 2007 dirigée par Lucie Chenu où la nouvelle est initialement parue), de couple et d'(in)compréhension, « Regarde vers l’ouest » met en scène Travis, père qui a remonté la piste de son ancienne compagne pour réapparaître dans sa vie et celle de son fils qu’il n’a pas vu depuis sept ans. Cherche-t-il à reconstruire les ponts qui ont été brisés ou bien vise-t-il des objectifs plus occultes ?

Se procurer l’ouvrage

L’anthologie est actuellement disponible en précommande à un tarif préférentiel sur le site d’ImaJn’ère. Et elle sera bien entendu en vente pendant l’événement, qui se tiendra les 28 et 29 avril aux salons Curnonsky d’Angers.

2018-05-07T12:39:34+02:00jeudi 12 avril 2018|À ne pas manquer|3 Commentaires

La malchance, une forme de chance (… dans l’observation de la nature)

Bien arrivé à Grundarfjörður dans le cadre de mon mois de travail auprès d’Orca Guardians, mais une météo peu coopérative retarde les sorties en mer…

Foraging orcas

… du coup, c’est le temps de réfléchir à ce que les impératifs du climat et du monde sauvage signifient dans notre monde développé de gratification instantanée. C’est en anglais, à lire sur le blog officiel d’Orca Guardians.

2018-04-11T00:08:15+02:00mercredi 11 avril 2018|Carnets de voyage|Commentaires fermés sur La malchance, une forme de chance (… dans l’observation de la nature)

De Paris à Grundarfjörður via Reykjavik

Un petit mot pour dire que je suis vivant, et bien en place dans le pays des volcans aux noms imprononçables. Hier, c’était la partie facile : me poser dans l’avion puis à l’hôtel que j’ai pris à deux pas de l’aéroport. Il faut en effet savoir que l’aéroport de Reykjavik ne se situe pas près de la capitale, mais à trois quarts d’heure de route environ, à Keflavik.

https://www.instagram.com/p/BhTrmpvjxGQ/?taken-by=wildphinn

Grundarfjörður, ma destination finale, se situe à quatre cars de Reykjavik (plus la navette qui relie à l’aéroport), et les horaires sont ainsi faits que je ne pouvais accomplir tout le trajet en une fois. C’est aujourd’hui que le voyage va nécessiter une hypnotique quantité de manutention pour entrer, sortir, entrer, sortir ma valise des soutes, surveiller les horaires et ma position GPS par prudence, et je me suis efforcé d’apprendre à prononcer vaguement correctement le nom de mes escales (Mjódd, miaod. Grundarfjörður, greundarfyeurthour).

J’ai grande hâte de poser à nouveau les yeux sur les paysages islandais, où il subsiste un peu de neige malgré la saison, et que j’ai bizarrement retrouvés à travers un épisode de Black Mirror alors que je me trouvais de l’autre côté de la planète. Y a plus de saisons, ma bonne dame, en tout cas pour moi.

Et demain, au boulot sur le bateau, si la météo consent !

https://www.instagram.com/p/BhUI0Btj5s6/?taken-by=wildphinn

2018-04-08T22:44:58+02:00lundi 9 avril 2018|Carnets de voyage|4 Commentaires

Un an avec une montre connectée

OK, auguste lectorat, j’assume, j’ai un seul vrai luxe dans la vie (au sens où j’achète des trucs parfois pas trop nécessaires, mais qui me font plaisir et dont je me sers et qui au final me rendent toujours un peu plus efficace), c’est la technologie. Est-ce que j’avais besoin d’une Apple Watch il y a un an et demi ? Pas vraiment (à part que je n’avais plus de montre et que, tout bien considéré, ça coûte vachement moins cher qu’une montre “bijou”, un achat bizarrement bien plus accepté socialement). Mais ça fait maintenant un an et demi que je l’ai, je me rends compte que je m’en sers régulièrement, et je me disais : hé, essayons de faire le bilan et de voir si l’on peut répondre à la question :

Ça sert vraiment, ces trucs-là ? 

Poils de bras fournis en option.

Le matériel

Étant passé totalement dans l’écosystème Apple il y a près de trois ans, la logique voulait donc que je finisse de vendre en âme en achetant une Apple Watch : série 2 (donc sans connectivité cellulaire), en 42mm (la grande, parce que je suis grand, enfin presque), liée à mon iPhone. Les goûts et les couleurs jugeront de l’engin, mais au quotidien, je la trouve jolie et plutôt élégante : elle se remarque (ça reste une tocante, c’est censé être un peu sympa), mais pas trop. La qualité de fabrication est sans reproche – la mienne a voyagé en Islande, Australie et j’en passe (elle repart avec moi en fin de semaine) et ne montre aucun signe d’usage supérieur à une tocante classique.

Au début, je la portais résolument au quotidien pour en prendre l’habitude, et force est de constater que l’habitude a pris sans aucun effort. Même si je la recharge tous les soirs (quoique elle tiendrait deux jours sans problème), ça n’est pas plus compliqué que de recharger son téléphone, ce qu’on fait déjà de toute façon, et le geste supplémentaire ne coûte rien.

Ce que ça fait

À l’usage, l’Apple Watch (qui est leader du marché) fait principalement trois choses :

Déporter les notifications du téléphone au poignet. Ça paraît ultra gadget comme ça mais en fait, c’est drôlement utile, à condition évidemment d’être un peu un ninja de la notification. C’est-à-dire de trier drastiquement ce qui remonte au poignet pour ne pas être submergé dès le moindre spam qui débarque. C’est mon cas, et je sais donc que quand mon poignet vibre (elle peut sonner, mais je n’en vois absolument pas l’intérêt), c’est quelque chose dont je veux être au courant : messagerie instantanée (SMS ou autres), un appel (je ne perds plus d’appels importants parce que je n’ai pas entendu mon téléphone alors que je suis en vadrouille), le quai d’où partira mon train avec le rappel de ma place, etc. Cela rend un nombre étonnant de services au bon moment.

Tracker de santé. C’est le gros argument mis en avant par Apple, et en tant que sédentaire qui bouge (si, si, ça existe – j’écris assis sur mon steak – comme on dit au Québec – dans des endroits très variés), je pensais la chose parfaitement superflue, et, aaaah, ils m’ont eu ces enfoirés. Oui, j’ai envie de fermer mes trois anneaux tous les jours : dépenser des calories, faire 30′ d’exercice, me lever au moins une fois par heure (utile pour un sédentaire qui bouge). Je me rends compte à l’usage que ça ne coûte finalement pas si cher de remuer un peu et si ça ne fait pas de moi un athlète de haut niveau, ça pourrait peut-être me permettre de, pour reprendre l’expression de ma chère maman il y a des années, “mourir en bonne santé”. C’est rigolo, ça donne bonne conscience, et pour la marche rapide, le capteur d’activité cardiaque est bien pratique pour rester dans la bonne zone qui fait travailler le cardio au bon niveau. Bref, même pour quelqu’un qui n’est pas un foudre de guerre du sport, l’Apple Watch m’a sensibilisé à faire un peu attention à moi parce que c’est marrant à utiliser, et là, c’est quand même une grosse victoire.

Déporter des informations importantes au poignet (applications). Une montre connectée, c’est comme un petit smartphone, évidemment, donc il y a des applications, forcément simplifiées et encore très inféodées au téléphone (mais ça évoluera forcément). Utiliser une application sur un écran de 42 mm n’est pas la joie, donc beaucoup de choses passent par des commandes vocales et je me surprends à utiliser Siri de plus en plus, et, truc de dingue, ça marche globalement bien. Faire ma valise pour partir en salon (ou à l’autre bout de la Terre) et demander à Siri le temps qu’il fait là-bas ; penser à un truc et demander à Siri de me le rappeler ; consulter ma liste de courses les mains libres chez Carouf ; dire à Siri d’envoyer un SMS prévenant que j’aurai cinq minutes de retard à ma destination ; présenter le QR code de mon billet de train au contrôle alors que j’ai les mains chargées de bagages et que mon téléphone est rangé ; consulter mon OmniFocus ; minuter un pomodoro ; être guidé vers ma destination à l’étranger sans loucher sur mon téléphone comme un gros touriste, etc.

Et l’usage le plus génial qui soit, payer.

Payer sans contact avec sa montre, en toute sécurité, est un vrai geste de science-fiction qui est aussi drôlement pratique (plus de monnaie à se trimballer) – et, get that, ça marche à l’étranger de manière totalement transparente. Tellement de science-fiction que ça fait un an et demi que je l’ai, donc, et ça ne loupe encore jamais, à chaque fois, les commerçants me regardent d’un air halluciné comme si je venais de leur révéler le secret de la fusion froide. (Soit dit en passant, quand je constate le nombre de Watches à l’étranger, je me dis que notre pays est parfois un peu en retard sur le présent.)

Bon, et c’est indispensable, alors ?

Franchement ? Ça dépend du mode de vie. Le mien est celui d’un indépendant qui passe plus de la moitié de son temps hors de chez soi, en salon littéraire, en conférence, en volontariat et j’en passe. Le travail mobile permis par la technologie a été une vraie bouée de sauvetage pour moi, me permettant de bosser à peu près normalement à peu près n’importe où (et étant à peu près n’importe où à peu près n’importe quand, c’était bienvenu). Dans ces conditions, la Watch me rend quantité de petits services extrêmement appréciables, et me pousse en plus à prendre soin de moi, ce qui est toujours une bonne chose. Avoir mes billets de train, ma carte bancaire, les informations importantes du moment accessibles rien qu’en levant le poignet est extrêmement agréable. Si vous êtes du même genre, un peu technophile et/ou vaguement sportif (quelqu’un de très sportif possédant déjà sans doute une montre connectée dédiée à la performance et plus précise), eh bien, la Watch, c’est chouette. Je ne vois pas comment dire autrement : c’est chouette, vachement chouette.

Maintenant, soyons clairs : je ne trouve pas ça transformatif comme l’est un smartphone. Sans smartphone, je suis vraiment embêté : je peux évidemment fonctionner, mais des tas de frictions qui avaient disparu refont surface et me compliquent drôlement la vie. L’absence de la Watch ne génère pas ce niveau de complication1, mais je m’y suis suffisamment attaché pour maintenant regretter son absence quand le cas échée. Tout en considérant que c’est juste “vachement pratique” et non “quand même pas mal nécessaire” comme l’est le téléphone.

Mais n’en doutons pas, l’avenir est aux wearables – la technologie qui se porte sur soi. La Watch me montre tous les jours ce que ce produit est appelé à devenir et tout le potentiel qu’il représente. On n’en est qu’aux balbutiements, mais aussi, on est actuellement en train de sortir du public d’early adopters comme l’est ton humble serviteur, auguste lectorat, pour arriver au grand public. Ça tombe bien, la technologie commence à être mature (la Watch série 4 devrait sortir cette année avec la cinquième itération du système d’exploitation, watchOS) et je crois que l’informatique personnelle (informatique, quel mot étrangement daté dans ce contexte) en passera, lentement mais sûrement, par là, et qu’un jour, le smartphone semblera aussi curieusement daté que le moniteur cathodique.

Mais on n’y pas encore, et dans l’intervalle, c’est chouette.

  1. Si vous en avez une, vous apprécierez ce jeu de mot puissamment rigolo.
2018-04-05T07:58:10+02:00jeudi 5 avril 2018|Geekeries|17 Commentaires

En avril avec les orques d’Islande

Pour ceux et celles qui ont rejoint le navire il y a moins de six ans (où je parlais un peu plus du truc), dans une vie antérieure, j’étais biologiste marin (ingénieur halieute, pour être exact). En gros, il s’agit de l’agronomie de la mer, sauf que moi, je voulais protéger les baleines et les dauphins, parce que. Et les orques, surtout. En 2011, j’ai été éco-volontaire un mois et demi au Pays de Galles avec Sea Watch Foundation, en 2012 en Écosse avec le Hebridean Whale and Dolphin Trust (les liens vous amèneront sur les carnets de voyage correspondants). Divers raisons (boulot, écriture, vie personnelle un peu dans tous les sens) m’ont empêché de répéter l’expérience chaque année comme j’en avais l’intention, mais certaines choses doivent se prendre à bras le corps et décider d’être faites, et, auguste lectorat, je repars donc à la fin de la semaine, pour un mois de volontariat en Islande, cette fois, auprès des orques et pour le compte de la fondation Orca Guardians. Yeah !

Orca in the fjord

J’avais déjà parlé de loin en loin d’Orca Guardians en ces lieux, la raison étant que j’ai d’abord découvert la fondation comme touriste et que j’avais eu par le passé l’occasion de travailler avec sa présidente, Marie Mrusczok. La méthode de travail d’Orca Guardians m’intéresse particulièrement car il y a une position très forte contre toute forme de recherche pouvant être considérée invasive : il s’agit uniquement d’observer, de photographier et d’apprendre et d’inférer le maximum via des sorties presque quotidiennes. La fondation est en effet soutenue par Láki Tours, entreprise de whale watching éco-responsable, qui donne à Orca Guardians un point de vue assez unique dans le domaine. (Si vous passez dans la région, c’est là qu’il faut aller pour voir des animaux !)

Iceland_location_map.svg: NordNordWest & Виктор В (CC-By SA)

La fondation Orca Guardians est basée à Grundarfjörður, dans la péninsule de la Snæfellsnes (je sais, je sais : j’ai mis une carte). C’est la 36e ville la plus peuplée d’Islande… avec seulement 836 habitants (à titre de comparaison, la capitale Reykjavik en compte 119 000). Veillée par le très photogénique et photographié mont Kirkjufell, située à l’orée d’un fjord où le hareng riche attire les cétacés, Grundarfjörður dégage cette impression à la fois d’âpre sérénité et de chaleur humaine unique à l’Islande. Le volontariat écologique tient toujours pour moi aussi de la retraite monacale.

Mes tâches consisteront principalement à prêter assistance lors des sorties pour la récolte de données (photos et observation), à contribuer à ce que les passagers aient une belle expérience, et à prêter main-forte à l’animation du blog et des réseaux sociaux (je vous recommande vivement la page Facebook d’Orca Guardians, régulièrement mis à jour, avec des photos incroyables). Et d’autres trucs très très cools pourraient se profilent aussi, mais j’attends de voir comment ça s’organise et si je peux en parler pour, euh, en parler.

L’une de mes tâches consistant expressément à écrire pour le compte d’Orca Guardians (yeah !), je vais m’efforcer de bloguer un peu plus que les fois précédentes si j’y arrive. Au moins, pour les anglophones, il devrait y avoir des choses à se mettre sous le croc.

Il va me falloir 48h de voyage pour rallier Grundarfjörður depuis Paris (je décolle dimanche, j’arrive théoriquement lundi). Ça s’annonce comme une équipée bien plus compliquée qu’avec une voiture de location en simple touriste pour un séjour de dix jours, mais ça fait partie de l’aventure. Si je trouve du wifi, je vous parlerai de bus.

 

 

 

 

2018-04-04T10:58:48+02:00mercredi 4 avril 2018|Carnets de voyage|9 Commentaires

Procrastination podcast S02E14 : “Se faire une scène”

procrastination-logo-texte

Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : “Se faire une scène“.

Dissensions et avis divergents dans cet épisode de Procrastination ! Qu’est-ce qu’une scène ? À quoi cela peut servir dans la construction d’un récit ? Laurent l’aborde plutôt à travers l’angle de la session d’écriture et de lecture, Lionel par celui de l’édifice narratif, et Mélanie se trouve entre les deux. Finalement, divers angles d’approche pour recouvrir la même réalité !

Références citées !
– Psychose (film d’Alfred Hitchcock)
– Mes secrets d’écrivain, Elizabeth George
– Ghost in the Shell (film de Mamoru Oshii)
– Harry Potter et la Chambre des Secrets, J. K. Rowling

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

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Bonne écoute !

2019-05-04T18:47:08+02:00lundi 2 avril 2018|Procrastination podcast, Technique d'écriture|1 Commentaire

Un nouveau podcast d’aide à l’écriture : Productivité !

 

Auguste lectorat, après bientôt un an de podcast, je me rends compte que je prends vraiment goût à ce média et j’ai donc décidé de lancer en solo une nouvelle émission, baptisée Productivité !, fondée sur les aspects beaucoup plus techniques de l’organisation des indépendants au jour le jour.

En d’autres termes, il s’agira de maximiser son ROI sur le temps consacré à la production de contenus originaux visant des cibles bien établies dans une segmentation littéraire, afin d’obtenir un indéniable plus-produit apte à satisfaire tous les partenaires économiques de la chaîne du livre. Du réseautage 3.0 à la valorisation digitale sur les nouveaux marchés du libre et de l’entraide, nous verrons comment la transparence top-down permet à l’écrivain numérique de se positionner en réel moteur de la consultation citoyenne où crowdfunding et marketing direct sont les maîtres mots. Car ces pratiques innovantes tracent une nouvelle carte de la diffusion où les intermédiaires sont appelés à une mutation en profondeur ; enfin, chacun dispose des compétences pour se comporter en égal dans une optique de collaboration complète. Au XXIe siècle, l’écrivain est un cré-acteur, un propulseur local, un consultant fluide qui amène les perspectives novatrices d’une redistribution totale du tableau actuel.

Avec Productivité !, vous apprendrez à être des gagnants du freelancing à l’aide de techniques originales éprouvées par tous les grands fondateurs de start-ups. En avant-première, je vous propose le programme des huit premiers épisodes de la première saison :

  1. Le sommeil est-il vraiment utile ? Comment l’optimiser en relation avec l’espérance de vie souhaitée
  2. Le café au beurre de yack : un hack nourrissant et énergétique
  3. Mettre un bon coup de poignet à son projet avec la célèbre méthode de David Clé-à-laine, GTD™ (Gère Ton Dégoût)
  4. Les relations sociales sont-elles vraiment utiles ? Comment les optimiser en relation avec la santé mentale souhaitée
  5. Changer continuellement de fuseau horaire : l’astuce amusante des winners pour éviter la nuit
  6. Trouver le bon sous-sous-sous-sous-sous-sous-sous-sous-sous-sous-sous genre pour s’auto proclamer premier du top Amazon avec cinq ventes
  7. Du bon usage de la polémique sur Internet : comment reconnaître une bonne victime pour faire parler de soi sans risque ?
  8. Les relations familiales sont-elles vraiment utiles ? Comment les optimiser en relation avec l’héritage souhaité

Productivité ! n’est pas hébergé par Elbakin.net et n’est pas disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

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Bonne écoute !

2018-04-01T11:45:57+02:00dimanche 1 avril 2018|Expériences en temps réel|19 Commentaires

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