La Fureur de la Terre sortira le 16 mai ! (précommandes disponibles)
Oh yeah.
Mes exemplaires sont arrivés, et je peux vous dire deux choses : il est beau, et il est massif. Ce troisième tome de « Les Dieux sauvages » fait quasiment 800 pages et je ne vous cacherai pas que j’en suis diablement content ! Le voile se lève de plus en plus sur la véritable nature du conflit entre Wer et Aska, et une étape majeure de l’histoire se trouve franchie dans ce volume. J’ai terriblement hâte qu’il sorte, que vous puissiez le découvrir, et de partager de manière générale ce livre avec vous.
Et bien justement : il sortira le 16 mai dans toutes les librairies, juste à temps pour les Imaginales, d’ailleurs, où je serai présent pour les quatre jours.
Le livre est d’ores et déjà disponible en précommande dans tous les points de vente, en numérique et en papier. N’oubliez pas de faire travailler votre gentil libraire !
La quatrième de couverture
Attention spoilers si vous n’avez pas lu les volumes précédents…
« Qu’est-ce qu’un symbole si ce n’est du vide tellement recouvert de peinture que celle-ci se solidifie selon la forme qu’on veut lui donner ? »
La ville de Loered, Le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.
Alors qu’aux plus hauts échelons du royaume, la reine régente Izara s’efforce de sauvegarder ce qu’elle peut encore, le prince Erwel lance un appel désespéré à l’union des provinces pour aider Loered. Quant à Mériane et les siens, ils n’ont pas d’autre choix pour survivre que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.
Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.