À Bordeaux jeudi : intervention écriture et cinéma

Salut à toi, Bordeaux ! L’orque débarque boire ton vin pour une rencontre jeudi 7 décembre (ce jeudi-là, oui oui) autour de l’écriture et du cinéma, principalement à travers “L’Île close” (et les réécritures du mythe arthurien) et Léviathan (son lien avec l’écriture cinématographique américaine). C’est à 15h30 à l’auditorium de la maison des étudiants (plan).

J’avais eu le plaisir de faire déjà un déplacement là-bas en début d’année et j’en garde un excellent souvenir malgré quelques malédictions de la SNCF. Le débat sera animé par les étudiants, alors ne les laissez pas seuls face à moi, venez nombreux ! Plus d’infos ici.

2012-12-04T10:06:00+01:00mardi 4 décembre 2012|À ne pas manquer|4 Commentaires

“Nuit de visitation”, nouvelle de l’univers de Léviathan, disponible en vente à l’unité

Couv. Roberian Borges

Léon, à la fin de sa vie, entouré de l’amour de ses proches, se recueille sur les erreurs de son existence. Mais une visite extraordinaire, tel un miracle, va faire basculer sa vision du monde…

D’abord publiée dans l’anthologie Contrepoint, dirigée par Laurent Gidon, dont le projet était de proposer des histoires “sans guerre, ni conflit, ni violence” (le titre est toujours disponible gratuitement pour deux livres des éditions ActuSF achetés), cette nouvelle est à présent disponible en numérique à l’unité pour seulement 99 centimes. Les retours sur l’anthologie et le texte sont déjà très positifs, comme en témoignent les premiers avis de lecture.

Nuit de visitation” se rattache au cycle Léviathan, mais est parfaitement indépendante des livres ; elle constitue, soit une introduction à l’univers de la Voie de la Main Gauche, soit un éclairage différent de ce que présentent les romans que vous connaissez.

Petit aparté technique, comme c’est un sujet brûlant en ce moment : le fichier fourni, PDF ou ePub, est évidemment dépourvu de DRM, et la rémunération des auteurs est équitable. ActuSF fait partie de ces éditeurs qui vous garantissent de disposer de votre achat comme vous l’entendez, et qu’un pourcentage plus que correct de votre argent atteint réellement les créateurs. Merci de votre soutien !

Pour commander “Nuit de visitation », c’est sur cette page <

Les autres textes de l’antho sont également disponibles, bien sûr, à cette adresse.

 

2012-11-16T15:04:00+01:00mardi 20 novembre 2012|À ne pas manquer|15 Commentaires

Ce week-end : Econo’mer à Brest

Pas mal de news et de festivals en ce moment. Ce week-end se tiendra la première édition du festival Econo’mer à Brest sur le site d’Océanopolis : il se fixe pour mission de présenter l’économie et l’écologie de la mer à travers la fusion de la science et de l’art. Au programme : des films, un salon littéraire, des expositions : un bel événement pour les amoureux des océans.

Le site officiel propose son programme et les infos pratiques pour s’y rendre. Pour ma part, j’y serai présent pour des dédicaces, débats et tables rondes samedi et dimanche et j’espère vous y retrouver autour de cette passion commune.

[ai1ec tag_name=”Econo’mer 2012″]

2012-11-13T10:04:23+01:00mardi 13 novembre 2012|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Ce week-end : Econo’mer à Brest

Ce week-end, c’est les Utopiales !

Affiche Nicolas Fructus

Hey ! Dernière semaine avant les Utopiales, l’un des rendez-vous majeurs de l’imaginaire. Avec un programme cinéma, exposition, littéraire à ne pas rater ; avec des pointures comme Neil Gaiman ou Michael Moorcock. C’est à Nantes, ça se tient à la Cité des Congrès et ça commence mercredi soir, jusqu’à lundi (journée des scolaires).

Le site officiel a tout ce que vous pouvez désirer comme renseignements, notamment :

Pour ma part, j’y serai de vendredi à dimanche, pour des tables-rondes, dédicaces, et sinon, heu, au bar, peut-être. (Comme tout le monde, hein. Le bar des Utopiales est connu comme étant the place to be. Non mais.) J’espère vous y croiser ! Mon programme est le suivant.

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2012-11-06T19:02:02+01:00lundi 5 novembre 2012|À ne pas manquer|12 Commentaires

Le racket de Facebook : pourquoi vous ne verrez plus le contenu qui vous intéresse

Facebook, connu pour ses méthodes cavalières, son attitude monopolistique, son usage moins que reluisant des données personnelles, vient de franchir un nouveau cap d’indécence. Lisez bien ce qui suit, car cela vous concerne, que vous soyez un utilisateur simple ou un communicant, dans votre droit à parler et à être entendu sur le premier réseau social mondial. Facebook abuse de sa position dominante en prenant ses utilisateurs en otage d’une façon proprement intolérable.

Autrefois (il y a un an), quand vous postiez une nouvelle sur votre mur ou votre page (« Je me suis marié ! » ou bien « J’ai publié un nouveau livre ! »), tous vos amis, tous ceux qui s’étaient abonné à votre page, la voyaient1. C’est normal : à la base, si vous êtes ami avec quelqu’un, ou si vous “aimez” sa page, c’est que vous être intéressé(e) par ce que la personne ou le groupe en face veut vous dire. Vous voulez l’entendre, ou du moins le savoir. Mettons, pour faire simple, que c’est une forme d’abonnement.

Sauf que non.

L’équation – calculée par Dangerous Minds dans cet article, sur lequel se fonde le présent billet et dont je ne fais que reprendre les conclusions – est d’une terrible et scandaleuse simplicité. Curieusement, depuis plusieurs mois, la portée des contenus baisse artificiellement – ceux-ci ne sont vus que par 15% des personnes qui vous suivent et amis. Comme par hasard, Facebook propose une solution : pour toucher les 85% restants… Payez.

Soit, payez pour parler à vos amis, vos clients, vos lecteurs, votre famille – ce que vous êtes censé faire naturellement sur un outil comme Facebook. Si vous publiez une nouvelle, un article sur votre mur ou votre page : vous pouvez payer Facebook pour “promouvoir” ce contenu et s’assurer qu’il soit davantage visible auprès de vos abonnés. Sinon… il a toutes les chances de tomber aux oubliettes. Tant pis pour vous.

En tant qu’utilisateur simple du réseau, cela signifie que vous ne verrez plus forcément le contenu qui vous intéresse, pour lequel vous avez accepté de recevoir des mises à jour : groupes de musique, écrivains, blogs… Mais aussi vos amis : votre soeur a perdu son chat, votre frère a eu un bébé, votre neveu a eu son bac, votre maman a organisé une sortie au musée – vous aurez de grandes chances de l’ignorer, à moins d’aller manuellement sur la page, de faire partie des 15%, ou que les personnes en question aient payé pour promouvoir leur statut…

Plus que ridicule : scandaleux, une véritable prise d’otage, un racket parfaitement mafieux. Se rendre indispensable en montrant (plus ou moins) patte blanche, puis, une fois la position dominante atteinte, dire “maintenant, pour continuer à utiliser dans des conditions normales un outil qui fait partie de votre vie, il va falloir passer à la caisse ».

“Facebook, est gratuit et le sera toujours” ? Ben tiens. Pour un petit blog, un groupe de musique indépendant, un auteur comme moi, en plus d’être scandalisé par la pratique, cela ne vaut pas le coup. Payer 5$ par article de blog que je voudrais promouvoir ? Je vais un salon, je devrais débourser 5$ pour que cette nouvelle puisse vous atteindre ? Quel type de communication est-ce là ? Je n’ai pas 15$ par mois à mettre dans la poche de Zuckerberg. C’est déjà – quand ça marche convenablement – ce que je touche en droits d’auteur pour un salon littéraire entier !

Et je ne vous parle pas des pages – jetez un oeil aux tarifs :

Imaginez le coût que cela représente si vous gérez un blog pro publiant 5 articles par jour…

Je vous encourage vivement à faire circuler l’information. Facebook est déjà une entreprise parfaitement prospère, cette opération n’est qu’un mouvement purement avide et scandaleux qui achève de me la rendre détestable. Je m’y trouvais pour les amis et aussi pour créer ce qu’on fait ici : une communauté sympa où la discussion est intéressante et fournie. Si je ne peux plus communiquer avec vous – je ne parle pas des nouvelles éditoriales ou de mon actu littéraire, simplement de vous parler, bon sang, c’est ma raison première d’avoir un blog – qu’est-ce que je fais là-bas ?

Heureusement, il y a d’autres solutions que Facebook pour se tenir au courant.

Comment faire pour rester informé ?

Il existe d’autres réseaux sociaux qui n’ont pas – pour l’instant – introduit ce genre de fonctionnement haïssable. Twitter est le premier, mais il est par nature volatile. Google+, en est un autre, et il est calqué sur Facebook – si vous avez un compte GMail, l’inscription est transparente ; enfin, pour les tenants du libre, le projet Diaspora se veut être un réseau open source (J’avais annoncé mon départ des deux derniers pour des raisons que je pense toujours, mais face au geste de Facebook, j’y reviens.).

Toutefois, il existe d’autres façons de faire, plus anciennes et surtout plus libres, et ce site vous les a toujours proposées.

La plus simple est le flux RSS. Un flux RSS est un canal d’information fourni par un site qui contient les nouveautés publiées sur celui-ci – exactement comme le flux d’informations d’une page Facebook. C’est une solution gratuite, standard, que personne ne prendra jamais en otage. Pour en profiter, il suffit d’employer un logiciel – souvent intégré au navigateur, donc très simple – qui permette de lire ces flux et vous en tenir informé. C’est aussi simple que d’utiliser Facebook, et vous pouvez classer vos abonnements comme bon vous semble. Les deux solutions les plus populaires sont Google Reader et Netvibes. Il suffit d’ouvrir un compte, puis de vous abonner chaque fois qu’un site vous intéresse et qu’il propose un flux (icône ci-contre). Le flux principal de ce site est à l’adresse suivante :

http://feeds.feedburner.com/lioneldavoust

Enfin, il y a la lettre d’informations. Encore plus simple : après abonnement, les nouvelles vous arrivent directement par mail. On rechigne parfois à s’y inscrire, ce qui est compréhensible, car cela ajoute encore au volume de courrier électronique que l’on reçoit. En ce qui me concerne, ma liste a un trafic très réduit, et propose deux “niveaux” d’abonnement. Le niveau “basique” n’envoie que les nouvelles les plus importantes (les actus éditoriales), ce qui représente très peu de messages. De manière optionnelle, il est possible de s’abonner également au blog – de recevoir une notification à chaque nouvel article. Si vous souhaitez vous abonner, c’est ici.

Ce que cela signifie pour moi (et donc, pour vous et moi)

Pourquoi, finalement, suis-je sur les réseaux sociaux ?

Je l’ai dit plus haut, j’y suis pour la même raison que je tiens un blog : parce que j’aime tenir un bar. J’ai lu il y a longtemps sur la liste de discussion SFFranco – je ne sais plus par qui – que l’écrivain pouvait s’apparenter à un chamane moderne : il part en des lieux étranges, en lui-même, et il en rapporte des histoires pour partager avecsla tribu. Cela ne recouvre pas tous les méandres de la complexité affective du métier, mais j’aime assez. Je blogue, je suis sur les réseaux sociaux, je partage récits de voyage, aventures, photos, technique d’écriture, articles sur le métier, un peu pour la même raison : pour tenir un lieu de discussion sympa (bien sûr, je parle aussi de mon actu, mais il faut bien faire tourner la boutique), pour nous fédérer, vous et moi.

Si je ne peux plus faire ça correctement – ou alors, en mettant la main au portefeuille – pourquoi rester ?

Merci, Facebook, de ce petit réveil-matin, de ce rappel qu’à s’en remettre à une entreprise tierce, on ne demande qu’à être menotté. Au lieu de diluer mon énergie sur des réseaux qui ne m’appartiennent pas, je vais me replier sur ce qui m’appartient : ce site, ce blog, où je suis propriétaire de l’intégralité du contenu, où je suis le patron incontesté. Je ne déserte pas FB, G+; Twitter pour autant, où les articles et certains liens idiots continueront à être répercutés, mais j’y glanderai beaucoup moins – à quoi bon ? -, et vais m’employer à re-déporter la conversation et l’activité ici. En prévision, je vais déménager le serveur sur une plus grosse machine dès que j’aurai une fenêtre de tir, afin de supporter la potentielle montée en charge.

Je vais, contraint et forcé, “promouvoir” cet article sur Facebook – ce sera la première et dernière fois que Zuckerberg recevera mes 5$. Je vous invite très vivement, dès maintenant, à :

Pour ne pas perdre le contact si les articles sérieux ou moins sérieux, si l’actu littéraire, ou tout à la fois, vous intéressent ici. Car si vous ne comptez que sur les réseaux sociaux, nous risquons de nous perdre.

Faites tourner l’information, s’il vous plaît. Facebook joue beaucoup sur la désinformation et le manque de maîtrise de ses utilisateurs, et ce scandale doit être exposé.

  1. Pondéré par des algorithmes de popularité, mais n’entrons pas là-dedans.
2012-11-02T22:59:52+01:00lundi 29 octobre 2012|À ne pas manquer|97 Commentaires

Programme des Utopiales en ligne

Affiche Nicolas Fructus

Les Utopiales, c’est l’un des deux événements majeurs de l’année autour de l’imaginaire : littérature bien sûr, mais aussi cinéma, jeu, arts plastiques et illustration. C’est à Nantes, et ça dure 5 jours, du mercredi 7 novembre au soir au lundi 12, à la Cité des Congrès. Les invités viennent de tous horizons, avec des stars comme Neil Gaiman ou Robert Charles Wilson, excusez du peu.

J’aurai le grand plaisir d’y être présent du jeudi au dimanche, pour des dédicaces et tables rondes. L’intégralité des programmes de l’événement ont été mis en ligne : vous pouvez les télécharger sur cette page.

Pour ma part, je participerai à ce qui suit :

[ai1ec tag_name=”Utopiales 2012″]

 

2012-10-11T10:29:49+02:00jeudi 11 octobre 2012|À ne pas manquer|5 Commentaires

Recevez gratuitement Léviathan : La Nuit en échange d’une chronique

Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU

Merci à Lelf qui m’a signalé la bonne nouvelle : Léviathan : La Nuit fait partie du Masse Critique du moment sur le site Babelio. Le concept est on ne peut plus simple : engagez-vous à chroniquer publiquement le livre, et vous le recevrez gratuitement pour lecture. Rien à retourner bien sûr, et vous êtes évidemment libre du contenu de votre article. De votre côté, vous lisez pour rien, et de celui de l’éditeur et du mien, vous contribuez à donner un peu d’exposition au roman. Sympa, non ? (D’habitude, je ne dis pas des trucs comme “sympa, non ?” qui font très blog tendance, mais j’y peux rien, je trouve ça sympa comme idée.)

Il faut juste s’inscrire au préalable sur Babelio (et si vous avez un blog critique, c’est toujours une bonne idée d’y être).

Il y a évidemment plein d’autres bons livres dans ce Masse Critique, et je ne saurais que trop vous encourager à jeter un oeil à la liste.

Toutes les infos sont sur cette page.

2012-10-03T19:06:01+02:00vendredi 5 octobre 2012|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Recevez gratuitement Léviathan : La Nuit en échange d’une chronique

Reines et Dragons réimprimé !

Couv. Kerem Beyit

Une excellente nouvelle qui met de bonne humeur dès le matin : Reines et Dragons, l’anthologie officiel du festival Imaginales que nous avons dirigé avec Sylvie Miller, est réimprimée en raison de son succès ! Bravo et merci à tous les auteurs, et à vous lecteurs, critiques, qui avez fait de ce livre une réussite. Cela veut dire qu’il n’y a plus d’urgence à présent pour vous la procurer – mais ne l’oubliez pas quand même, si elle vous intéresse… !

Plus d’infos sur ce livre ici ; il est commandable chez votre libraire préféré ou en ligne (Amazon).

2012-09-27T10:13:48+02:00jeudi 27 septembre 2012|À ne pas manquer|9 Commentaires

“Nuit de visitation” (Léviathan) dans l’anthologie Contrepoint (offerte)

Couv. Roberian Borges

Peut-on écrire des histoires dans lesquelles il n’y aurait ni guerre, ni conflit, ni violence ?

Telle est la quatrième de couverture de cette anthologie – et le défi proposé par Laurent Gidon à ses auteurs, pour un livre qui vient de paraître aux éditions ActuSF, et dont j’ai le plaisir de faire partie. Et le meilleur ? Elle est offerte. Suivez l’article pour savoir dans quelle modalités.

J’ai le plaisir d’y proposer “Nuit de visitation », une nouvelle rattachée à l’univers de Léviathan (La Voie de la Main Gauche), un huis-clos intimiste centré sur Léon, viel homme très malade entouré de ses proches et qui fait le compte des erreurs de sa vie – dont une en particulier qu’il ne s’est jamais pardonné. Mais une visite tenant du miracle va faire basculer sa vision du monde…

L’anthologiste, Laurent Gidon, propose un entretien détaillé sur la genèse du projet chez ActuSF, sur cette page :

Dans une table ronde à Épinal, j’ai été confronté à des auteurs qui justifiaient leur approche narrative très dure par le fait qu’ils représentaient le monde et l’homme tels qu’ils sont. Quand j’ai osé dire que tout n’était pas aussi noir et qu’on pourrait peut-être écrire des histoires autrement, un des auteurs participant m’a toisé avec mépris et a lâché : “Ce sera forcément chiant !” C’est ce qui m’a interpellé. Forcément chiant ? Pour moi, c’est plus une question de talent que de violence ou de noirceur. – Laurent Gidon

Sommaire

  • “Qu’est-ce qu’on se raconte ?” Préface de Laurent Gidon
  • “L’Amour devant la mer en cage” de Timothée Rey
  • “Le Chercheur de vent” de David Bry
  • “Petits arrangements intra-galactiques” de Sylvie Lainé
  • Nuit de visitation” de Lionel Davoust
  • “Tammy tout le temps” de Laurent Queyssi
  • “Avril” de Charlotte Bousquet
  • “Permafrost” de Stéphane Beauverger
  • “Mission océane” de Xavier Bruce
  • “Semaine utopique” de Thomas Day

Et pour se procurer le livre ?

C’est très simple : l’anthologie est offerte (dans la limite des stocks) pour tout achat de deux livres des éditions ActuSF. Il y a de grandes choses au catalogue, de véritables géants de l’imaginaire, alors c’est le moment de vous faire plaisir, et vous recevrez ce petit opus en bénéfice. C’est-y pas du win-win, comme ils disent chez les gens qui savent ?

2012-09-11T11:40:17+02:00mardi 11 septembre 2012|À ne pas manquer|2 Commentaires

Fragments d’une fantasy antique disponible à la précommande

L’anthologie Fragments d’une fantasy antique, dirigée par David K. Nouvel aux éditions Mnémos, est maintenant disponible en pré-commande. Elle sortira le 5 octobre prochain.

Cette anthologie a été montée à l’occasion du colloque « L’Antiquité aux sources de l’imaginaire contemporain » qui s’est déroulé au printemps dernier (voir la table ronde où participait votre humble serviteur). J’y propose pour ma part un court texte rédigé à la façon d’un article scientifique intitulé (on respire un bon coup) “Intérêt et faisabilité zootechniques de la métamorphose de masse ».

L’anthologie génère déjà des retours très positifs, témoin cette critique sur Babelio qui lui donne 4/5. Vous pouvez vous la procurer chez toutes les bonnes librairies ou bien en ligne (sur Amazon).

Quatrième de couverture

Neuf écrivains explorent l’Antiquité comme source de la Fantasy.

N’avez-vous jamais rêvé de…

Devenir le plus grand architecte du monde?

Trouver des fragments perdus d’un roman à succès?

Vous venger des Dieux… ou bien devenir leur détective privé atitré?

Toucher un objet et savoir tout de son histoire?

Répondre à la célèbre énigme du Sphinx?

Mettre un terme à la faim dans le monde?

Ou aimer un bel Apollon au point de l’avoir dans la peau?

Neufs auteurs français, guidés par Homère et Virgile, sont partis en expédition dans le royaume d’Hypnos cueillir pour vous ces quelques fragments de rêves, et, telle une Pénélope des temps modernes, les ont tissés pour en faire des histoires, belles et vives, sanglantes et graves, anciennes et modernes. Ils ont, lors de leur périple, parcouru les immenses domaines de Rome et d’Athènes, parlé aux Dieux, mangé à la table de Trimalchion et se sont reposés sur les bords du Vésuve endormi. De retour sur nos rivages, ils sont maintenant le souffle contemporain des Muses. Écoutez leur chant, lisez leur prose, dégustez-les. Ils sont à vous.

Ces huit nouvelles ont été écrites dans le cadre du colloque « L’Antiquité greco-latine aux sources de l’imaginaire contemporain » (7-9 juin 2012), organisé avec le soutien de l’École Pratique des Hautes Études et de l’Université de Rouen, afin de démontrer la vivacité de l’héritage greco-latin dans les fictions contemporaines de Fantastique, Fantasy et Science-fiction.

Sommaire

  • Fabien CLAVEL : « Sur un fragment perdu du Satyricon »
  • Jeanne-A DEBATS : « Le miroir d’Electre »
  • Romain ASPE : « Le Labyrinthe »
  • Rachel TANNER : « Le Sphynx »
  • Lionel DAVOUST : « Faisabilité et intérêt zootechniques de la métamorphose de masse »
  • Nicolas DELONG : « Les Dieux veulent, les Dieux prennent »
  • Sylvie MILLER et Philippe WARD : « Voir Pompéi et mourir »
  • Nathalie DAU : « A couteau »
2012-08-30T16:04:30+02:00vendredi 31 août 2012|À ne pas manquer|2 Commentaires
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