La photo de la semaine : Crépuscule sur le désert
Là aussi, j’avoue, c’est peut-être Crépuscule sur le désert douze.
Là aussi, j’avoue, c’est peut-être Crépuscule sur le désert douze.
Guanyin étant la bodhisattva associée à la compassion.
J’ai déjà une photo appelée Marée basse, ou trois. Dans la grande tradition de l’art moderne, voici donc Marée basse 326.
J’ai presque failli l’appeler « Eternal sunset » mais ça se serait traduit par Éternel Crépuscule et non, ce genre de crépuscule islandais, bien que souvent austère, est beaucoup plus beau et serein à mes yeux que les cieux d’Aska.
Le temps ne s’écoule pas à la même vitesse partout.
Je me demande si elles écriront des tragédies en vers.
(À ne pas confondre avec le poisson)