Léa Silhol et la fin de l’Oxymore (2006)
Dix-sept ans se sont écoulés depuis la publication de cet article, sous la plume de nulle autre que Léa Silhol, qui avait fait grand bruit à l’époque de par son côté politiquement très incorrect, et il l’est encore un peu, mais plus tant que ça en 2023 justement parce qu’il est toujours actuel (convertissez juste quelques détails pour 2023, comme « forums » par « réseaux commerciaux »).
Justement, comme il est probablement inconnu des nouvelles générations, il est à relire et réfléchir à l’heure où les éditions ActuSF sont forcées de mettre un point final à leur histoire.
➡️ Happiness in Slavery – La philosophie dans le foutoir
Pour mémoire, « réfléchir » ne signifie pas « adhérer sans réserve », et je ne fais aucun parallèle entre la situation des deux maisons – je n’en sais rien, je ne suis dans le secret ni de l’une, ni de l’autre ; il est simplement intéressant de lire des mots non mâchés sur un métier dont les difficultés semblent avoir fort peu évolué de manière générale (si ce n’est en mal).