Déconnexion annuelle pendant les fêtes

Jungle belle, jungle belle, jungle oubliée… Ou un truc comme ça.

Donc : c’est le solstice d’hiver et la remise à zéro arbitraire de notre révolution planétaire, donc c’est le moment de manger gras et d’être saoul. (Quelque chose me dit que je pitche très mal la période des fêtes.) Comme je le fais à présent depuis plusieurs années, je disparais de l’Internet multimédia pour cette période (c’est-à-dire plus que du blog et du mail, maintenant) afin de a) me retirer dans un monastère tibétain pour devenir Batman ou b) me recentrer sur deux ou trois choses avant d’attaquer 2021. À vous de deviner COMMENT C’EST TROP DUR

Soyez prudents, ne transformez pas cette période en contamination gratuite, ça n’en vaut pas la peine, parfois il vaut mieux aimer de loin ; prenez comme toujours soin de vous, et on se retrouve ici même aux alentours du 6 janvier à la chelou.

Joyeuse période, quelle qu’en soit la fête !

2020-12-19T10:58:27+01:00mardi 22 décembre 2020|À ne pas manquer|4 Commentaires

Comment écrire de la fiction ? Ouvrage à paraître aux éditions Argyll au printemps

Okayyyy on arrête le teasing et… 

… voilààààà. Le fameux projet de non-fiction, c’est ça. Avec une splendide couverture de Xavier Collette !

De la non-fiction, mais avec quand même un peu de la fiction dedans, forcément, en tout cas, en théorie. Un livre donc avec des italiques pour mettre l’accent, du gras pour vraiment marteler les trucs, des schémas avec des flèches, des émojis (gasp), de multiples citations de prénoms francs, un soupçon d’Alain-Robbe-Grillet-bashing et surtout, surtout, beaucoup (enfin, j’espère) de densité et de méthode sur l’écriture d’histoires.

Comment écrire de la fiction ?, c’est le bouquin que j’aurais voulu lire quand j’ai commencé ce métier. J’en ai lu plein d’autres qui m’ont appris des tas de choses et dont j’ai dit du bien ici, je continue à me nourrir régulièrement parce que l’écriture, c’est comme la mécanique quantique, ça s’étudie sans fin, mais je n’ai jamais vraiment trouvé un ouvrage qui me démonte, précisément, ce qui fait le tissu d’une histoire et comment ça peut se construire d’une manière fiable, mais qui laisse une vraie latitude à la créativité de s’exprimer. Cela, je l’ai appris à la dure depuis bientôt vingt ans, en tâtonnant à la recherche de ce que je voulais vraiment comprendre, en commettant des erreurs, des maladresses, et en saisissant pourquoi c’en étaient. (Et on en commet toujours.) Il y a dedans de la méthode, mais pas une méthode ; il y a de grands principes, mais pas de cadre définitif qui vous promette amour, gloire et beauté. Écrire, c’est un sacré boulot, mais si l’on pouvait appréhender ce sacré boulot avec des bases théoriques saines et une direction productive au lieu de ramer dans le désert (et essayez donc de ramer dans le désert ; c’est pas fait pour), ça serait pas plus mal.

C’est un livre étonnamment court par rapport à ce que je fais d’habitude (320 000 signes) mais il n’avait pas besoin d’être plus long pour couvrir ces grands principes qui sont en définitive assez simples. Il est nourri évidemment de mon expérience, de nos échanges dans Procrastination, de plus de dix ans (fichtre) de blogging ici, mais aussi des stagiaires qui sont passés par mes ateliers et que je remercie, grâce à qui j’ai pu cerner et voir les difficultés les plus fréquentes rencontrées par les jeunes auteurs.

Le plan est très simple, il suit les trois étapes mentionnées en couverture, plus une :

  • Rêver (le processus d’idéation, notamment à travers l’émergence et la gestion de l’incertitude)
  • Les techniques fondamentales (le socle minimal de codes littéraires à travailler)
  • Construire (qu’est-ce qu’une histoire, comment ça marche vraiment et comment ça se nourrit)
  • Terminer (de la discipline aux corrections)

Tout cela avec cet humour consternant et irrévérencieux dont vous avez l’habitude ici, parce qu’écrire des histoires, cela a une valeur fondamentale de plaisir, et surtout de cheminement personnel : mon but, avec ce bouquin, c’est de donner des briques théoriques solides, que l’on est ensuite appelé·e à démonter, manipuler, revisiter pour nourrir sa propre approche artistique.

À mesure que la date précise de publication approche, je pense qu’on partagera quelques petits bouts et une table des matières détaillée.

J’espère que cet ouvrage stimulera réflexion et envies, et que, si vous appréciez les diverses initiatives réalisées ici, cela vous donnera envie de les retrouver sous une forme synthétique et aboutie (du moins… à l’heure actuelle).

➡️ Les éditions Argyll sur Twitter

2021-05-21T16:39:53+02:00lundi 21 décembre 2020|À ne pas manquer|18 Commentaires

Vous pouvez à nouveau recevoir des notifications par mail pour les articles du blog

C’est l’une des premières choses à être ressorties de la discussion sur la newsletter : en plus de l’envoi mensuel, la possibilité de recevoir une notification par courriel dès la publication d’un article. C’est à nouveau possible : si vous le souhaitez, tous les jours vers midi, Lucien (le robot de la newsletter) vous enverra un message proposant l’article du jour (s’il y en a un).

Pour cela, il vous suffit de vous inscrire sur la page « Suivre et s’abonner au site« , ou bien de simplement mettre à jour votre inscription ci-dessous en cochant la ou les cases correspondant à ce que vous souhaitez recevoir :

Rejoignez les 514 abonnés à ce site : pour ne manquer aucune information, entrez votre
Veuillez choisir ce que vous désirez recevoir :
Vous affirmez avez pris connaissance de la politique de confidentialité du site. Vous pourrez vous désinscrire à tout moment à l’aide des liens contenus dans chaque message.

J’avais l’impression qu’une notification quotidienne était souhaitée, je suis donc parti là-dessus. Mais si c’est trop fréquent, je peux moduler pour une fréquence hebdomadaire, par exemple. N’hésitez surtout pas à signaler vos souhaits en commentaires !

2020-12-15T10:08:11+01:00jeudi 17 décembre 2020|À ne pas manquer|4 Commentaires

Nouveau projet chez les éditions Argyll

Parce que tant que j’ai des mains qui marchent (quoique, vaut mieux marcher sur ses pieds), faut bien que je m’en serve, hein ?

Je suis ravi d’annoncer un nouveau projet à venir chez les toutes nouvelles éditions Argyll ! Si vous avez regardé la barre de progrès sur le côté… c’est le petit projet qui s’est glissé et qui avance très vite (et dont je parlais à mots couverts la semaine dernière…)

Alors minute hoplà une seconde, mais qui sont les éditions Argyll ? C’est un projet porté par Xavier Dollo, Simon Pinel, Xavier Collette et Frédéric Hugot :

Il s’agit d’une maison d’édition qui publiera dans les domaines de l’imaginaire, mais aussi du polar et du roman historique. Elle fait partie d’un projet plus large, qui comprend une librairie et un incubateur de projets, le tout fonctionnant en économie solidaire et sociale. Argyll se voit donc comme une maison d’édition éthique, ou du moins la plus éthique possible. 

Les tout premiers auteurs au catalogue seront Richard Cowper, Christophe Nicolas et Carol Emshwiller, excusez du peu. Pour en savoir plus, rendez-vous vers cet entretien détaillé chez ActuSF.

Quant à moi, ce que je peux dire sur ce qui se prépare :

  • Ce n’est pas de la fiction
  • Par rapport à d’habitude, c’est beaucoup plus bref (300 – 320 000 signes)
  • Ça sortira en mai 2021, à temps pour les Imaginales (en même temps que L’Impassible armada redux)
  • (Ce n’est pas lié à Obsidian ni à tous les workflows pour lesquels j’ai pu parler d’un superbe écrin la semaine dernière. Ça, c’est encore autre chose.)

Voilààààà

Et comme vous savez depuis le temps que j’ose tout, c’est même à ça qu’on me reconnaît, I am become meme, destroyer of Internets. Argyll m’avait demandé une photo avec le contrat signé, et puis… je ne sais pas ce qui s’est passé.

Évidemment, pendant ce temps, le travail sur La Succession des Âges avance et avance même beaucoup. L’écriture proprement dite devrait commencer en janvier, pour m’emmener jusqu’à l’automne à plein temps.

2020-12-08T11:28:39+01:00lundi 14 décembre 2020|À ne pas manquer|10 Commentaires

Il reste quelques places à l’atelier à distance « Le conflit narratif » de ce week-end

Tout est dans le titre ; les ateliers brefs donnés par l’école Les Mots se font habituellement en présentiel, mais la situation dicte évidemment un changement de fonctionnement. C’est une occasion unique d’assister à ces ateliers si vous n’êtes pas en région parisienne. Et le conflit, c’est la brique fondamentale de toute narration : vous voulez raconter des histoires, vous devez comprendre ce qu’apporte la notion de conflit narratif.

Bien des écoles de création littéraire américaine résument la notion d’histoire à celle de conflit. Où est l’adversaire ? Qui les personnages doivent-ils vaincre ? Mais cette notion est souvent mal comprise, résumée à une opposition binaire entre deux camps et à une confrontation souvent fondée sur la violence. Or, dans le contexte de la création narrative, elle est bien plus vaste : elle représente l’énergie fondamentale de tout récit, tandis qu’elle exprime, de façon globale, la notion de difficulté et de tension, qui sous-tend toute intrigue romanesque. 

À la fois question préparatoire féconde et boussole pour s’extirper d’une impasse littéraire, la notion de conflit en narration forme un socle dont la compréhension profonde aide l’auteur à rendre ses récits plus efficaces, plus prenants, tout en simplifiant son travail en lui fournissant les questions cruciales qui l’aideront à progresser dans son histoire. Et, loin d’un affrontement binaire de film à grand spectacle hollywoodien, elle lui permettra au contraire, s’il le désire, de complexifier ses intrigues et ses personnages sans jamais sacrifier le suspense et l’intérêt du lecteur. 

➡️ Inscriptions et tarifs (28-29 novembre toute la journée)

2020-11-22T11:09:35+01:00mardi 24 novembre 2020|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Il reste quelques places à l’atelier à distance « Le conflit narratif » de ce week-end

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) est DISPONIBLE !

Et c’est une grande joie pour moi !

Couv. Alain Brion

Je suis pucelle, Héraut, Messagère, Mère des miséreux. Guerrière Invincible et Rédemptrice. Je suis une statue comme les effigies de Linnaÿs, et nul ne sait ce qu’il y a sous la pierre.

La guerre entre les dieux sauvages fait rage. La forteresse de Rhovelle, Loered, est isolée ; Mériane, la Messagère du Ciel, l’espoir du peuple, dispose d’une armée qu’elle ne peut déployer. Ganner fait route librement vers Ker Vasthrion, où gît un pouvoir qui offrira à Aska la domination totale. Wer est en train de perdre, et dans les hautes sphères du pouvoir, les hommes se raccrochent à l’espoir insensé que la vertu les sauvera. 

L’union des provinces et l’ultime résistance contre l’envahisseur démoniaque doit venir d’un symbole fort. Face à la main-mise du clergé sur le pouvoir, il faut un nouveau roi à la Rhovelle. Parallèlement, l’étau se resserre autour de Mériane : quitte à tout perdre, l’Eglise de Wer ne saurait accepter qu’une femme la sauve. Trahie par ses alliés, rongée par l’usage prolongé de son armure de l’Ancien Temps, la Messagère du Ciel se voit glisser inexorablement dans les ténèbres. 

Mais au fond de l’abysse l’attend la clé pour mettre un terme définitif à la guerre. La vraie nature de Dieu.

C’est le plus gros roman que j’aie jamais écrit – plus d’1,7 millions de signes, près de 1000 pages – mais il fallait bien cela pour donner toute la mesure de ce qui se passe dans ce tome. J’avoue que j’ai l’impression d’avoir comprimé deux ans de travail en un, mais, hé, fallait bien occuper le confinement, pas vrai ?

Le livre est donc disponible chez tous les libraires ainsi qu’en numérique. Les 55 premières pages sont disponibles ci-dessous, mais si vous découvrez la série, il faut mieux commencer par La Messagère du Ciel… 

… livre qui, ça tombe bien, vient de ressortir chez Folio SF et se trouve en numérique à -50% jusqu’au à la fin du mois :

Je suis vraiment ravi que celui-ci soit libéré dans le monde, avec tout ce qu’il révèle sur la saga. J’ai hâte que vous l’ayez entre les mains, on se donne rendez-vous en événements dès qu’il pourra s’en tenir de nouveau et, pour ma part, j’ai déjà commencé le voyage de La Succession des Âges, cinquième et dernier tome de la série, qui paraîtra au printemps 2022.

2021-09-08T18:04:08+02:00vendredi 20 novembre 2020|À ne pas manquer|13 Commentaires

Découvrez dès maintenant les 55 premières pages de L’Héritage de l’Empire

Ce n’est pas parce qu’on arrive lentement vers sûrement vers la fin de la série qu’on perd les bonnes habitudes : plutôt que des teasers, pourquoi ne pas carrément proposer le début de l’aventure ? Les 55 premières pages de L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) ont été mises en ligne sous forme d’un chouette petit livret virtuel, à découvrir ci-dessous :

Au programme de ces 55 pages : quelqu’un qui n’est pas mort ; quelqu’un qui a compris où il en est et qui ne préférerait pas ; quelqu’un qui pense savoir où il en est mais rien n’est moins sûr ; un grand méchant ; un vieux salopard ; de l’action ; de la politique ; les deux ensemble.

Disponible aussi chez Calaméo par ce lien direct.

2020-11-20T17:38:30+01:00mardi 17 novembre 2020|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Découvrez dès maintenant les 55 premières pages de L’Héritage de l’Empire

-50% sur toutes les portes d’entrée à Évanégyre en novembre

Le saviez-vous ? Non, et vous avez bien raison, mais novembre c’est mon anniversaire, et donc, cadeau de la part de Critic !

Non, en fait il n’y évidemment aucun rapport : c’est à l’occasion de la sortie de L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) le 20 novembre, et donc : quasiment tous les livres pouvant servir de porte d’entrée à l’univers d’Évanégyre – rappelons que les ensembles narratifs sont indépendants les uns des autres – sont à -50% en numérique jusqu’au 30 novembre.

Plus en détail :

La Route de la Conquête

Couv. François Baranger

On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.

Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

Lauréat du prix Exégète 2015

Finaliste du prix Elbakin 2015 / Finaliste du prix Imaginales 2015 / Finaliste du prix Mythologica 2016

➡️ Plus d’informations et commander

Port d’Âmes

Couv. François Baranger

Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu.

Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d’Aniagrad, où tout se vend et tout s’achète, pour reconquérir l’honneur de sa famille. L’occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques.  Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville,  le jeune homme s’investit de tout son cœur dans le projet.

Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l’ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s’il veut atteindre son but sans perdre son âme.

Finaliste du prix Imaginales du roman / Finaliste du prix Imaginales des lycéens / Finaliste du prix Elbakin.net

➡️ Plus d’informations et commander

La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » I)

Couv. Alain Brion

(Si vous voulez vous mettre à la série, c’est évidemment celui-là qu’il vous faut)

Mériane est une trappeuse, une paria, une femme. Autant de bonnes raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui prêche la haine des femmes soutient un système féodal.

Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner l’espoir de tout un peuple.

Prix Elbakin 2017 du meilleur roman de fantasy français

Prix Imaginaire Découverte 2018 des Petits mots des libraires

Présélection du prix littéraire de l’imaginaire Booktubersapp

➡️ Plus d’informations et commander

Comment choisir ?

En prenant les trois, bien entendu ! Quoi, comment ? Davantage de précisions ? Okay. Faisons extrêmement simple, en mode TL;DR. Vous voulez :

  • Une saga, épique, restant globalement dans les codes de la fantasy : La Messagère du Ciel.
  • De l’épique, mais en tome indépendant, à la frontière entre fantasy et SF, dans les territoires du planet opera : La Route de la Conquête.
  • Un roman indépendant, plus intimiste et initiatique, dans une ambiance pré-révolution industrielle : Port d’Âmes.
2020-11-30T18:33:04+01:00mercredi 11 novembre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

Procrastination est prêt jusqu’à début mars !

Et hop, comme nous en avons à présent pris l’habitude depuis le printemps, Procrastination s’est réuni virtuellement la semaine dernière pour mettre cinq épisodes de plus dans la boîte !

Montage Mélanie Fazi

Personnellement, j’apprends toujours davantage de ces sessions et des manières d’optimiser l’enregistrement à distance (une affaire un peu plus compliquée qu’il n’y paraît si l’on cherche à dépasser le simple enregistrement Skype). J’espère que la qualité sonore ne fera que s’améliorer au fil de cette année, en tout cas c’est le but.

Mais ce qui compte avant tout reste le contenu, et nous sommes armés jusqu’aux dents de chouettes sujets, dont voici le nouveau planning !

  • 1e novembre : La course à la perfection
  • 15 novembre : Être auteur et timide
  • 1e décembre : Le retravail des manuscrits, avec Mireille Rivalland
  • 15 décembre : Le découpage des séries
  • 2 janvier : Le réalisme en imaginaire
  • 15 janvier : L’organisation d’une journée de travail
  • 1e février : Vivre la critique
  • 15 février : Les règles magiques de Brandon Sanderson, part. 1
  • 1e mars : Les règles magiques de Brandon Sanderson, part. 2

Rendez-vous bientôt donc pour le 1e novembre. Ou le 30 octobre. Ou le 2 novembre. Mais y a pas de Procrastination qui sort ces jours-là. Donc bon. Après c’est probablement de chouettes journées aussi. Mais un tout petit peu moins. Forcément.

2020-11-02T11:31:21+01:00lundi 9 novembre 2020|À ne pas manquer|4 Commentaires

Aidez-moi à façonner l’avenir de la newsletter (grande consultation publique)

Voilà bientôt trois mois que j’ai quitté les réseaux commerciaux et je n’ai jamais été aussi détendu de récente mémoire. Jamais aussi concentré, aussi, et productif ; quand je pense au temps que j’ai mis à me résoudre à cette décision, j’aurais le faire voilà deux ans. J’ai en tête quelques projets beaucoup plus productifs pour parler d’écriture et de mon propre travail, mais il faut que je fasse la place dans le calendrier (merci le time-blocking) pour y parvenir.

Bref : mon moyen de communication principal avec vous et toi, auguste lectorat, est donc devenu la newsletter mensuelle. (Nous connaissons en plus, à présent, la mystérieuse et démoniaque histoire de Lucien.) Je l’ai refondue il y a deux ans environ pour la rendre moins fréquente et plus dense, mais c’était à une époque où elle fonctionnait en tandem avec les réseaux. J’aime assez la formule actuelle (riche en contenu, plus rare) parce que je fonctionne ainsi, mais vu qu’il s’agit de donner des nouvelles régulières et de proposer le contenu du blog sur le mois passé, je me demande tout simplement si l’offre est adaptée à la demande.

Du coup, grande consultation publique, comme on dit dans les mairies de campagne quant à l’installation d’une bretelle d’autoroute. Et comme vous n’avez pas forcément que ça à faire que de vous étendre en commentaires, pour simplifier, un petit sondage avec des options courantes. Sachant, cependant, que si vous avez le temps de vous étendre en commentaires, votre avis détaillé et d’éventuels débats subséquents sont éventuellement les bienvenus.

Dites-moi ce que et comment vous aimeriez recevoir.

Or doncques, le sondage en trois parties : d’une, la forme, de deux, le fond ; de trois, une boîte à idées complètement libre où vous pouvez ajouter vos propres réponses et idées. Les autres visiteurs les verront et pourront ajouter leur vote à vos propositions si elles les séduisent ! Vous pouvez bien évidemment développer idées et discussions en commentaires.

Ce sondage est clos

Que pensez-vous de la FRÉQUENCE et de la LONGUEUR de la newsletter ?

Ce sondage est clos

Que pensez-vous du CONTENU de la newsletter ?

Ce sondage est clos

Boîte à idées !

(C’est la première fois que je tente un truc pareil, donc je demande l’indulgence du jury, et si un truc ne marche pas, signalez-le en commentaires, je le verra. Merci !)

2020-11-13T17:51:28+01:00jeudi 5 novembre 2020|À ne pas manquer|24 Commentaires
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