La Fureur de la Terre (« Les Dieux sauvages » 3) est disponible en POCHE

Nous y sommes ! La suite de la saga « Les Dieux sauvages » continue son chemin en réédition poche chez Folio SF, et aujourd’hui le tome 3, La Fureur de la Terre, est disponible !

Couv. Georges Clarenko

La ville de Loered, le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine, du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.
Pour survivre, Mériane et les siens n’ont pas d’autre choix que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.
Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.

Je suis ravi que la suite de l’histoire soit disponible pour tous ceux et celles qui découvrent la saga dans cette collection, car je considère à plus d’un titre ce tome comme le pivot du projet : en plus de figurer mathématiquement au milieu (tome 3 sur 5), il révèle que, oui, bel et bien, la méfiance était de mise pour le lecteur·rice… 

Merci de votre enthousiasme au long cours pour cette saga et, comme toujours, faites vivre vos libraires !

2022-05-06T15:24:55+02:00jeudi 4 novembre 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Fureur de la Terre (« Les Dieux sauvages » 3) est disponible en POCHE

La Fureur de la Terre sort le 4 novembre chez Folio : découvrez la couverture !

Salut, j’écris des trucs et des machins et y a des gens font des illustrations mortellement cool pour aller avec :

Couv. Georges Clarenko

MAIS YES

J’aime énormément le symbolisme de Ganner, la représentation des murailles sur cette image – et ces Sauteriaux, graou ! C’est comme à chaque fois fascinant – et, honnêtement, génial – de voir comment plusieurs illustrateurs s’approprient différemment un même texte et un même univers avec leurs sensibilités et leurs forces. Alors qu’Alain Brion suit le voyage de Mériane au fil des couvertures, Georges Clarenko propose une vision presque historique, déjà mythique, de la geste de la Messagère du Ciel. Merci à lui, et à eux, de prêter leur talent à ces livres, et puis à vous, tiens, de leur faire une place sur vos étagères !

La réédition poche du tome 3 de « Les Dieux sauvages », donc, sortira le 4 novembre. Disponible dans toutes les librairies – un tome pivot à bien des titres, situé mathématiquement au milieu de la saga, et je trépigne déjà que ceux et celles qui ont découvert la série dans cette édition puissent à nouveau poursuivre le voyage !

2021-11-03T18:05:58+01:00mardi 7 septembre 2021|À ne pas manquer|2 Commentaires

Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

… et ça me donne l’occasion de rappeler que, pour mon plaisir ou me remettre dans l’ambiance quand j’ai besoin de m’auto-coudepiéaucuter, ce truc existe et qu’il est librement accessible pourvu que vous ayez un abonnement à Apple Music.

Couvertures Alain Brion

J’aime bien me composer une bande originale fantasmée des bouquins ou des sagas. Une compilation de morceaux qui m’évoquent spécialement l’atmosphère de ce que je suis en train d’écrire, parce que parfois, on tombe sur exactement la bonne ambiance avec le bon état d’esprit. Je la mets à jour régulièrement, mais là, je m’en suis spécialement occupé notamment alors que je termine L’Héritage de l’Empire. Vous pouvez l’écouter ci-dessous avec votre compte ou, plus pratique, l’ajouter directement à votre bibliothèque si cela vous intrigue. La playlist suit globalement la progression de la série, depuis La Messagère du Ciel (I) jusqu’à la fin projetée pour La Succession des Âges (V) :

Si cela vous amuse, voyons si nous entendons la même chose ! Quoi qu’il en soit, quand il y aura sur ce site les portails sur les univers (… un jour…), je détaillerai davantage ce qui correspond pour moi à tel ou tel chapitre.

(Et si ce genre d’expérience vous intéresse, il existe aussi une playlist pour « La Voie de la Main Gauche », l’univers de la trilogie Léviathan.)

2020-09-23T22:15:30+02:00lundi 5 octobre 2020|Décibels|Commentaires fermés sur Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

Non, Mediapart n’a rien découvert sur le triage des patients

En ces temps bizarres de confinement, quand on a la chance de pouvoir le faire, je pense qu’il nous faut conserver ce que l’on sauver de normalité, car la normalité, c’est bien : elle nous aide à prendre de la hauteur, à ne pas catastropher sur l’évolution de la situation, à prendre conscience que même l’épidémie de grippe espagnole – à une époque où l’on ne disposait pas des moyens actuels – a reflué, non sans laisser un terrible bilan derrière elle bien sûr. (C’est pour cela qu’il faut rester chez nous ; démonstration supplémentaire à suivre.)

Donc, je m’étais dit que j’éviterais de trop parler de l’épidémie, d’essayer de proposer des choses différentes, c’est-à-dire les mêmes choses que d’habitude. Mais là, j’ai la sensation qu’il faut prendre du temps pour pointer du doigt ce qui me paraît du sensationnalisme irresponsable.

Disclaimer : je ne suis pas médecin, évidemment (si des médecins me lisent et repèrent une bêtise, je les invite à me corriger avec joie). Cependant, il se trouve que pour écrire de la fantasy, on plonge beaucoup dans l’histoire, et elle nous apprend des tas de trucs utiles. Pour écrire « Les Dieux sauvages », notamment Le Verrou du Fleuve et La Fureur de la Terre, j’ai passé un temps un peu trop déprimant à étudier les mécaniques des populations assiégées à diverses échelles (Leningrad, Alamo), ainsi que les conséquences des armes biologiques et radioactives.

Cela ne m’a pas rendu pas expert, on est d’accord – mais cela m’a un peu éduqué, or c’est fou ce que l’on peut éviter de dire comme conneries quand on se constitue un brin de culture. Alors accompagne-moi donc, auguste lectorat, tel un intrépide journaliste d’investigation, dans les méandres de sources secrètes, obscures et internes :

Wikipédia !

Qu’est-ce que le triage médical ?

Le triage médical est une notion qui intervient lorsque l’on a de nombreux patients, notamment en cas de guerre, d’accident de grande ampleur, ou de catastrophe […] Les degrés de priorité déterminent l’ordre dans lequel les patients vont être traités et évacués. Le but du triage est de sauver le maximum de victimes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Triage_médical (Graissage de mon fait)

Je n’ai pas retrouvé la source, mais je crois avoir lu à un moment que le triage a été mis au point par les médecins de Napoléon. On ne parle donc pas exactement d’un truc qu’on a découvert hier dans des sources qu’on ! vous ! cache ! (Ce bouquin en parle même sous l’angle historique – c’est donc bien qu’il y a… un fucking angle historique.)

Le triage est une technique de zone de guerre. Elle applique une arithmétique terrible et douloureuse, mais nécessaire, pour, comme dit plus haut, sauver le maximum de victimes :

  • Un afflux de blessés ou de malades arrive, engorgeant la capacité de soin (lits et/ou attention du personnel soignant)
  • Tout le monde ne pourra pas recevoir des soins, parce que ce n’est mathématiquement pas possible (supposons un médecin pour cinquante blessés graves)
  • Le triage applique des critères distanciés, établis à l’avance, permettant de garder la tête froide dans le chaos, dont la logique est la suivante : comme les ressources sont limitées, on ne va pas les dépenser sur quelqu’un dont les chances de survie sont très faibles voire nulles. On maximise les chances de ceux qui en ont.

C’est horrible ? Un peu, mon neveu. C’est horrible pour les victimes comme pour le personnel soignant qui se retrouve à devoir faire ces choix. Mais c’est, comme dit plus haut, une technique de zone de guerre. Son application dans les hôpitaux de la Première guerre mondiale est célèbre.

Non, ça ne débarque pas d’hier et ça n’est certainement pas secret !

Comment fait-on pour sauver un maximum de gens quand on sait – parce qu’il n’y a pas assez de capacité, comme dit plus haut – qu’on ne pourra pas sauver tout le monde ? On trie qui on peut sauver. Parce que : on n’a pas le choix. (Voir plus haut : “la notion intervient lorsque l’on a de nombreux patients”) Ce n’est pas faire des sacrifices pour le fun.

Et c’est aussi la manière dont les systèmes d’urgence fonctionnent déjà à travers le monde, même en temps normal (sauf que là, on te fait attendre). Quand j’ai été admis en Australie, malgré la gravité de ma situation (nerf digital sectionné), j’ai eu un bracelet blanc, signifiant : prognostic vital non engagé. Donc j’ai attendu la journée entière, parce que je n’étais pas prioritaire, parce que des gens qui se sont cartonnés en bagnole ou des malades sévères l’étaient plus que moi. T’as mal, peur, tu te demandes un peu ce qui se passe, mais dans ce cas-là, tu te dis la chose suivante : j’ai de la chance de ne pas avoir un bracelet de couleur qui signifierait que je serais urgent. C’est que, au bout du compte, malgré tout, ça pourrait être pire.

Il est extrêmement dommage qu’un organe qui a notre confiance comme Mediapart s’égare dans ce sensationnalisme digne de The Sun. L’article caché derrière le paywall est peut-être tout à fait raisonné et pédagogique, mais tout ce que les gens vont voir, c’est le tweet ci-dessus, et c’est cela qui circulera, qui causera bruit et peur. Cela me rend furieux parce qu’il est irresponsable d’agiter des craintes dans un moment où l’on n’a vraiment pas besoin de ça, face à une population qui souvent, ne sait pas ; furieux parce que si c’est de bonne foi, alors c’est la preuve d’une ignorance crasse et d’une incompétence surréaliste quand l’information et le contexte se trouvent en clair sur Wikifuckingpédia. Quand on a un tel écho, on doit faire un usage responsable de sa parole, plus encore en ce moment.

Je veux dire, FFS, il y avait déjà une quête dans World of Warcraft classic qui portait exactement ce nom ! C’est dans WoW, bon dieu !

Alors, comment fait-on pour que personne – ni les malades, ni les personnels soignants – ne se retrouvent dans cette situation ?

Toujours la même chose, c’est l’importance de flatten the curve :

(Si vous voulez voir avec de jolies animations comment marchent exactement social distancing, confinement et évolutions numériques avec des simulations claires, allez vite voir ici.)

Si on n’engorge pas les capacités d’accueil des hôpitaux, on évite de les déborder et de se retrouver en situation de guerre. On évite de devoir faire des choix terribles pour sauver le maximum de monde, parce que le “maximum” implique qu’on ne peut pas sauver tout le monde.

On évite de se trouver en situation désespérée de triage.

Restez chez vous.

Et rappelez-vous aussi que même si vous n’avez pas le Covid-19, s’il vous arrive quoi que ce soit d’autre lors de vos déplacements autorisés (genre un nerf digital sectionné dans un rayon de grand magasin – tout arrive, figurez-vous), vous serez bien contents aussi de trouver un lit pour vous.

Soutien et pensées aux personnels soignants en première ligne. Et merci.

2020-03-22T10:47:38+01:00lundi 23 mars 2020|Humeurs aqueuses|Commentaires fermés sur Non, Mediapart n’a rien découvert sur le triage des patients

La Fureur de la Terre maintenant disponible en numérique !

Nous avons eu un petit retard en raison du volume, heu, un peu inattendu du roman, mais ça y est : si vous l’attendiez, « Les Dieux sauvages » tome III est à présent disponible en numérique chez toutes vos plate-formes préférées. Merci pour votre patience (et merci à l’équipe Critic pour son travail) !

Couv. Alain Brion

La partie gauche de cette image n’est donc plus un vœu pieux, haha.

2019-07-01T07:32:40+02:00jeudi 6 juin 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Ce samedi, dédicace chez Critic à Rennes !

C’est à la maison – la maison d’Évanégyre !

Ce samedi, à Rennes, je serai en dédicace l’après-midi là où tous les chemins mènent, ce qui n’est pas Rome contrairement à l’idée reçue, mais à la librairie Critic, de 16h à 19h, 19 rue Hoche. Il s’agira bien sûr de fêter la sortie de La Fureur de la Terre, mais j’aurai également tous les autres livres bien sûr (et peut-être encore deux ou trois La Volonté du Dragon, s’il reste du fond de stock).

À samedi, et merci à Critic !

Au fond : Bibi, Clément Bouhélier, Simon Pinel, Christian Léourier, Éric Marcelin, Florence Bury. Premier rang : Laurent Whale, Sylvie Miller. À droite : un mec. Photo prise à Livre Paris 2016.
2019-06-03T10:44:30+02:00lundi 27 mai 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Les Imaginales, c’est cette semaine !

Affiche Piotr et Grzegorz Rosinski

Et si, auguste lectorat, tu ignores encore l’existence de cette grande fête de l’imaginaire, un des rendez-vous majeurs du genre en France dans l’année, eh bien – non, je ne vais pas te jeter des cailloux, car je suis paix et amour (ou du moins j’y travaille). Je vais te jeter des arcs-en-ciel, des pétales de rose, car hosanna sur terre et dans les cieux, tu es sur le point de découvrir une fête merveilleuse à laquelle tu auras grand plaisir à participer.

À condition que tu viennes, évidemment. Sinon, on reparlera des cailloux.

Les Imaginales, ce sont quatre jours de rencontres, dédicaces, expositions, débats, jeux, tous autour de l’imaginaire, avec un petit accent sur le conte, la fantasy et le roman historique. C’est à Épinal, les infos sont là, et Épinal, je tiens à le préciser, c’est très accessible en train. Donc pas d’excuse. Sinon, cailloux, toussa.

J’aurai le plaisir de participer à un certain nombre de rencontres et d’événements. Pour mémoire, j’aurai également La Fureur de la Terre, tome 3 de « Les Dieux sauvages », tout frais sorti la semaine dernière. Et ce sera pour moi la première fois que j’en parlerai, et ça me fait drôlement plaisir !

[tribe_mini_calendar tag=”imaginales”]

2019-05-28T09:49:20+02:00lundi 20 mai 2019|À ne pas manquer|7 Commentaires

La Fureur de la Terre sortira le 16 mai ! (précommandes disponibles)

Oh yeah.

Couv. Alain Brion

Mes exemplaires sont arrivés, et je peux vous dire deux choses : il est beau, et il est massif. Ce troisième tome de « Les Dieux sauvages » fait quasiment 800 pages et je ne vous cacherai pas que j’en suis diablement content ! Le voile se lève de plus en plus sur la véritable nature du conflit entre Wer et Aska, et une étape majeure de l’histoire se trouve franchie dans ce volume. J’ai terriblement hâte qu’il sorte, que vous puissiez le découvrir, et de partager de manière générale ce livre avec vous.

Et bien justement : il sortira le 16 mai dans toutes les librairies, juste à temps pour les Imaginales, d’ailleurs, où je serai présent pour les quatre jours.

Le livre est d’ores et déjà disponible en précommande dans tous les points de vente, en numérique et en papier. N’oubliez pas de faire travailler votre gentil libraire !

La quatrième de couverture

Attention spoilers si vous n’avez pas lu les volumes précédents… 

« Qu’est-ce qu’un symbole si ce n’est du vide tellement recouvert de peinture que celle-ci se solidifie selon la forme qu’on veut lui donner ? »

La ville de Loered, Le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.

Alors qu’aux plus hauts échelons du royaume, la reine régente Izara s’efforce de sauvegarder ce qu’elle peut encore, le prince Erwel lance un appel désespéré à l’union des provinces pour aider Loered. Quant à Mériane et les siens, ils n’ont pas d’autre choix pour survivre que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.

Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.

2019-05-20T09:18:44+02:00lundi 29 avril 2019|À ne pas manquer|4 Commentaires

Déconnexion pendant deux semaines : soyez sages

Salutations, auguste lectorat : tu sais que d’habitude, je ne m’octroie que deux semaines de coupure totale d’Internet multimédia à l’occasion des fêtes de fin d’année. Mais je vais refaire le coup en plein mois d’avril (ça doit bien être Noël quelque part dans l’univers infini), pour deux raisons :

  • Les corrections de La Fureur de la Terre m’ont totalement lessivé, tel un sol d’exploitation céréalière intensive, et j’ai besoin d’une coupure. Mais : je suis hyper, HYPER fier de ce bouquin. J’ai hyper, HYPER envie que le découvriez. Et j’ai une équipe éditoriale incroyable de soutien et de confiance (big up tout particulier à Florence Bury, qui m’accompagne de son immense compétence depuis des années maintenant – ouais, des années), que je remercie dans le bouquin, mais je le fais là aussi, parce qu’elle aussi aura bien mérité des vacances.
  • Mon accès Internet sera aléatoire (ainsi que mon accès à un certain nombre de services occidentaux) donc bon, je vais pas me fouler l’octet pour faire marcher les trucs s’ils veulent pas.

Donc : les réseaux sociaux seront en pilotage automatique, rediffusant un peu de best-of du site, et je ne prendrai réellement conscience de mes courriers qu’à mon retour. Soyez sages et gentils les uns avec les autres, sauf s’ils vous ont demandé de mordre, auquel cas pourquoi pas, je juge pas vous savez.

Prenez soin de vous, comme toujours.

2019-05-13T21:49:39+02:00samedi 6 avril 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Découvrez la couverture de La Fureur de la Terre ! (« Les Dieux sauvages » III)

Elle a circulé ! Elle a été postée ! Je peux le faire aussi ! Joie !

Couv. Alain Brion

Oserais-je dire qu’elle dépote sa maman ? Je l’ose. Alain Brion a encore une fois parfaitement su capturer l’essence de Mériane à ce stade de son trajet, et je l’en remercie profondément. Je suis ravi de pouvoir enfin la poster en GRAND.

J’ai tellement hâte que vous découvriez ce bouquin, les amis. Publication prévue au printemps. Les infos vont arriver petit à petit, et je les répercuterai, bien sûr. Dans l’intervalle, il y a à présent sur le site une page pour le livre, qui se remplira petit à petit.

À présent qu’il est dit que la série comptera cinq volumes, mine de rien, cela veut dire que j’ai franchi la moitié. Cela me fait tout drôle : je voyage presque quotidiennement avec ces personnages depuis bientôt trois ans. Je me demande qui je serai quand nos chemins se sépareront à nouveau.

(Note : je suis en vadrouille pour quelques jours, donc ne vous formalisez pas si je mets un peu de temps à répondre aux éventuels commentaires.)

2019-03-12T18:34:22+01:00lundi 4 février 2019|À ne pas manquer|8 Commentaires

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