Le petit bonhomme en rouge

Sur la colonie de guillemots des îles Treshnish. (Photo Marie Mrusczok)

Quatre jours sans mises à jour, c’est déjà trop, mais ce fut quatre jours de mer et d’installation, ce qui m’a assez peu laissé le temps de faire le point. Et c’est aussi quatre jours à 100 – 150 images pièce, ce qui est largement trop. Quatre jours où, c’est l’accord courant dans ce domaine, ma collègue volontaire et moi-même avons embarqué sur les bateaux de tourisme proposant diverses excursions à la recherche de la faune marine.

Notre mission :

  • Nous rendre disponibles pour les passagers afin de transmettre informations et faits zoologiques visant à entretenir la conscience environnementale. (Je me suis retrouvé le premier jour à faire un cours express sur l’évolution et la spéciation en trente minutes chrono.)
  • Récupérer des données scientifiques sur les animaux rencontrés.
  • Et, pour ma part, mettre mon (redoutable) matériel et ma (trop faible) expérience à disposition pour réaliser des photos qui serviront à identifier les individus rencontrés.

Partir en mer dans l’espoir de rencontrer baleines et dauphins (mais aussi oiseaux de mer et requins pélerins) est une entreprise où la patience est indispensable. Sur ces quatre jours de sortie, nous avons été récompensés par de très brèves rencontres dont il n’est pas sorti grand-chose, à part l’émotion – et c’est déjà beaucoup ! C’est pourquoi la persévérance et la régularité sont de mise, afin de mettre toutes les chances de son côté.

Le temps pour moi de trier et traiter mes photos, et j’aurai certainement beaucoup à montrer quant aux représentants les plus emblématiques de la faune locale.

Pour l’heure, juste quelques petits aperçus des paysages autour de Mull… Mon compte Flickr retrouve d’ailleurs un peu de vie, et vous pourrez y retrouver des versions en plus haute résolution de toutes les images.

2012-08-01T19:54:09+02:00samedi 14 juillet 2012|Carnets de voyage|3 Commentaires

Léviathan : La Nuit sur 4e de Couv

Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU

Très vite, on replonge dans cet univers de manière quasi hypnotique, où la prose de Lionel Davoust fait d’abord doucement tanguer le bateau du lecteur, pour le bercer avec de plus en plus d’énergie, jusqu’au final de ce second opus. C’est d’autant plus intéressant que l’auteur ne fait pas revenir d’emblée son héros et qu’il parvient, grâce à cela, à développer le fil de son histoire d’une manière particulièrement intéressante.

Un article de Frédéric Fontès à lire sur 4e de Couv.

2012-07-01T21:37:06+02:00samedi 14 juillet 2012|Revue de presse|Commentaires fermés sur Léviathan : La Nuit sur 4e de Couv
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