Une thèse de doctorat sur les femmes guerrières en fantasy disponible en téléchargement libre

La thèse d’Angélique Salaun, docteure en littérature générale et comparée, sur les femmes guerrières dans la fantasy est disponible en libre accès en ligne.

Je suis incroyablement honoré qu’elle ait choisi de faire figurer « Les Dieux sauvages » dans son corpus, aux côtés des œuvres de mes camarades Estelle Faye, Justine Niogret, Jean-Laurent Del Soccoro et Paul Beorn, mais aussi des classiques comme Tolkien (wow). C’est fou de voir ses histoires ainsi creusées et analysées ; merci de l’attention accordée à Mériane, Chunsène et Nehyr ; merci de tout ce travail de recherche sur la fantasy et sur la place de notre travail à toutes et tous dans le courant.

Cette thèse est une étude du personnage de la guerrière dans la fantasy épique anglophone et francophone fondée sur un corpus constitué d’auteur•rice•s phares du genre (Tolkien, M. Z. Bradley, R. Hobb, D. Gemmell) et d’auteur•rice•s français aux romans primés (J-L. Del Soccoro, E. Faye, J. Niogret, L. Davoust, P. Beorn) Ce genre de l’action et de l’aventure se décline traditionnellement au masculin mais plusieurs évolutions notables justifiaient une enquête fondée sur un large corpus. Si on peut rattacher ce personnage à des figures mythico-historiques, il s’est diversifié pour répondre à de nombreux enjeux liés au corps féminin actif et armé –masculinisé ou hyperféminisé –, mais aussi au rapport de la guerrière à la famille, la maternité, la violence, des enjeux qui touchent à la définition du genre féminin. L’étude interroge les objectifs des auteur•rice•s qui font passer au premier plan une héroïne guerrière et les effets de ce choix sur le genre. Elle démontre que le développement de personnages de guerrières permet aux romancier•ère•s d’enrichir le genre de la fantasy épique en lui offrant de nouveaux horizons narratifs, en résonnance avec les préoccupations sociétales contemporaines. En faisant émerger des figures historiques oubliées ou minorées et en les abordant selon des points de vue inédits, ils offrent une contre-histoire, celle des vaincus et/ou des femmes. En imaginant des intrigues autour de sujets peu abordés dans ce genre littéraire – la maternité, la lutte des femmes pour leur liberté, le matriarcat, etc. –, ils sensibilisent leur lectorat à des thématiques féministes et remettent en question les assignations de genre. Oscillant entre reconduction des stéréotypes et renouvellement des codes du/de genre, la fantasy épique, littérature d’évasion et de divertissement, fait donc, à travers ces « mondes secondaires », pleinement écho à notre « monde primaire », aux combats qui impliquent les femmes et aux idéaux d’égalité entre les sexes.

Toutes mes félicitations à Mme Salaun pour son doctorat !

➡️ Angelique Salaun. Femmes guerrières / Femmes en guerre dans la fantasy épique anglophone et francophone. Littératures. Normandie Université, 2021. Français. NNT : 2021NORMR090 . tel- 03523189. Télécharger la thèse en PDF.

2022-04-13T10:58:26+02:00lundi 18 avril 2022|Dernières nouvelles|3 Commentaires

Découvrez la couverture de Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel, de Bruce Holland Rogers

Oh qu’elle est belle, et adaptée, vous n’avez pas idée.

Le livre a maintenant un prix, une date de publication, une quatrième de couverture et même une page produit chez Gephyre :

Dix tableaux pour découvrir à Montréal Donat Bobet, ce poète de rue qui ne doute de rien, surtout pas du pouvoir de la poésie ;
sept hôtels fort particuliers où l’on se frotte à bien des tentations ;
mais aussi des complotistes, un lecteur très déçu (et fort informé), une contagion, des personnes en exil, une famille élargie ;
et surtout une symétrina à la gloire des porteurs de croix…
Vingt-huit récits et autant de façons de tomber dans le ciel.

« Quand j’étais enfant, a ajouté Donat Bobet, je m’étendais dans l’herbe et j’imaginais que je tombais vers le haut, en haut, là-bas, dans l’azur. Dans les profondeurs bleues du ciel. Dans le bleu.
— Donat…
— Chut », a fait le poète. L’espace de quelques battements de cœur, il n’a rien dit. « Préparez-vous, m’a-t-il soufflé. Ouvrez les yeux !

Je suis tellement heureux de pouvoir modestement contribuer à faire un peu plus connaître le travail magnifique de Bruce en France après L’Opéra des serrures. Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel sortira le 13 septembre au prix de 20€.

➡️ Découvrir le livre chez les éditions Gephyre

2022-04-03T09:51:36+02:00jeudi 7 avril 2022|À ne pas manquer|2 Commentaires

7-8 mai : Atelier sur les techniques avancées de création de mondes imaginaires (à Paris et à distance)

Il a très bien marché l’année dernière (je craignais que cela ne plaise qu’à une petite frange de spécialistes !) et vous avez été plusieurs à avoir la gentillesse de me le redemander : je suis donc ravi de tenir cette année une nouvelle édition du stage intensif d’écriture sur les techniques avancées de création de mondes imaginaires.

Ce sera sur le week-end du 7 et 8 mai, à Paris à l’école Les Mots comme toujours, mais l’atelier peut être suivi aussi à distance.

Il s’agira d’explorer les difficultés spécifiques du domaine à travers des exercices et techniques opérantes afin d’étoffer ses mondes imaginaires, d’y rechercher de nouvelles occasions narratives, et surtout de dynamiser ses histoires et d’esquiver les pièges les plus courants. Il n’est pas ici question de défricher le concept de worldbuilding, mais bien de partir d’un projet existant (qui peut être très sommaire – une demie-page de notes suffit !) pour le questionner, l’étoffer, et appréhender la relation entre création narrative et monde fictif.

Qui ne connaît pas le célèbre « Luke, je suis ton père », le pouvoir terrifiant de l’Œil de Sauron ou encore que Winter is coming ? Des succès planétaires de « Star Wars » au Seigneur des Anneaux, de « Game of Thrones » à Harry Potter, l’imaginaire forme la première culture mondiale, transcendant les générations et les nationalités. 

Parler des « littératures de l’imaginaire » est en réalité un raccourci pour désigner les littératures des mondes imaginaires. Ces réalités fictionnelles peuvent être proches de la nôtre dans le cadre du fantastique ou de la fantasy urbaine, ou bien totalement disjointes comme dans le cas de la Terre du Milieu ou de Westeros. Ce qui régit ce monde, qu’il s’agisse de l’horreur indicible des Grands Anciens de Lovecraft, des systèmes magiques extrêmement poussés et complexes de Brandon Sanderson ou de la science du voyage spatial et des relations entre espèces extraterrestres dans « Star Trek », constitue ce que l’on peut appeler « l’hypothèse de monde » imaginaire. 

Or la construction d’un monde imaginaire est une entreprise créative à part entière, mais pour laquelle l’auteur ou autrice doit ménager un équilibre délicat : proposer une réalité complexe, tangible et intéressante, sans pour autant ensevelir l’intérêt de son récit sous l’exposition. 

Attention, le stage est limité à dix personnes et les places partent très, très vite. Pour tous les renseignements et les inscriptions, rendez-vous sur le site des Mots, et si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poster en commentaires !

2022-04-27T17:28:53+02:00mercredi 30 mars 2022|À ne pas manquer, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur 7-8 mai : Atelier sur les techniques avancées de création de mondes imaginaires (à Paris et à distance)

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) ressort en poche le 5 mai ! Découvrez LES couvertures

C’est officiel ! Le quatrième tome de la saga « Les Dieux sauvages » ressort en poche, toujours chez Folio SF bien entendu, le 5 mai.

Je dis “les” couvertures car, comme évoqué en début d’année, le livre doit ressortir en deux volumes en poche : c’est nécessaire, parce que j’écris des bouquins trop gros et qui posent des problèmes d’intégrité structurelle aux reliures en plus petit format1.

Et du coup – la direction de la collection a eu une idée jubilatoire pour sublimer ce format nécessaire : composer une seule couverture en diptyque, qui se lit au format paysage, côte à côte, comme un seul et grand tableau :

Est-ce que c’est pas un peu trop classe ? Bien sûr que c’est trop classe. Merci à nouveau à Georges Clarenko qui accompagne cette saga de livre en livre en proposant sa vision très sombre de l’univers de « Les Dieux sauvages » ! Que ce soit en grand format ou en réédition, c’est toujours génial de découvrir comme un ou une illustrateur·rice va s’approprier votre travail et lui donner une forme graphique que, depuis le début, vous ne faites que fantasmer intellectuellement (et mal, parce que vous ne savez pas dessiner, même pas dans votre tête).

Cela signifie donc que le livre sera tout juste sorti pour les festivals de mai, notamment les Imaginales. À très bientôt pour découvrir ces jolis pavés ensemble en vrai !

  1. J’insiste là-dessus, parce qu’on entend parfois que découper les tomes est une manière de faire de l’argent : je vous le dis très fermement, ce n’est pas le cas. Nous y sommes obligés par les lois de la physique, et nous avons pris grand soin de faire les choses bien, comme couper à un endroit pertinent dans le roman et rendre les annexes disponibles dans chaque partie. Si nous avions pu faire un seul tome, nous aurions continué à le faire !
2022-05-11T18:12:22+02:00lundi 28 mars 2022|Dernières nouvelles|2 Commentaires

De retour sur Twitter

Eh bien oui. J’avoue. Je suis faible. J’ai craqué. Version thread, où l’on constate MA TRONCHE ET MON NOM SUR UN RÉSEAU DU DIABLE OMG

Version longue :

Je sais, je sais, j’ai dit le plus grand mal des réseaux, et je continue à le penser (en raison de leur modèle économique délétère). Mais bon. La vérité, toute simple, c’est que Twitter reste quand même un canal où se déroulaient des interactions uniques et qui me manquent.

La vérité est donc peut-être que je suis faible, merci, au revoir, vous pouvez fermer cette page web.

Mais… 

Twitter est aussi, pour les métiers du livre, peut-être ce qui s’approche le plus d’un réseau professionnel (non, ce n’est pas LinkedIn, ahaha), et là que naissent quantité de conversations internationales (un domaine qui m’est cher). L’entreprise tente aussi un certain nombre d’expérimentations intéressantes en ce moment qui me font dire que, des grands réseaux, s’il y en a un qui peut peut-être (non sans GRANDE douleur) exécuter un glissement vers un modèle plus vertueux, c’est celui-là. Et enfin, surtout, tout bêtement, je comprends son intérêt et comment il marche. (Okay boomer. Merci, je suis très honoré d’être un caisson de basses.)

Au fond, je n’ai jamais trop client des réseaux classiques type Facebook, et ma première pensée en ouvrant mon compte là-bas avait été “pourquoi ?” Twitter, je vois mieux. En loutre, il est plus pertinent d’avoir UNE présence sur UN réseau qu’on comprend que d’étaler son énergie sur trop de canaux. (Fut un temps, j’ai brièvement eu Google+, Facebook, Twitter et Instagram en parallèle. La candeur qu’on a quand on est jeune, alala.)

Et puis aussi, depuis que les Russes ont bloqué Twitter, quantité de bots ont mystérieusement disparu, rendant l’air plus respirable… 

Cette décision n’a cependant pas été facile. J’ai, comme j’ai pu le mentionner, un OCD assez prononcé ce qui me handicape grandement pour “lâcher l’affaire” en cas de conflit ou même de sujet grave. De par leur construction, les réseaux flinguent ma productivité et mon moral. Du coup, c’est avec prudence (mais j’ai franchi la première semaine avec bonheur, et à peu près trois millions de mots gentils – merci infiniment, vous êtes incroyables !). Il s’agit de surveiller de très près mon cerveau bugué pour ne pas qu’il me fasse dérailler, surtout que j’ai un gros bouquin à finir, HEIN. Cela implique quand même un petit changement d’approche par rapport à ce que je faisais avant :

  1. Twitter est le seul réseau sur lequel je reviens. Facebook est l’Empire du Mal et je n’y toucherai plus jamais (#DeleteFacebook).
  2. N’avoir que le blog comme moyen de communication pendant un an et demi m’a re-montré la joie et la valeur d’avoir de bonnes conversations en ligne (merci à vous toutes et tous qui avez tenu ici contre vents et marées !). Je compte prendre soin de les favoriser, ce qui signifie aussi block et mute aussi souvent que nécessaire sur les réseaux, sans honte. Je n’ai pas de comptes à rendre là-dessus, surtout quand il s’agit de a) ma sérénité d’esprit, gage de ce caractère charmant et léger que Gordon Ramsay m’envie secrètement1 et b) protéger ma productivité dans l’écriture (la seule chose que je doive à moi comme à vous).
  3. Ma follow-list restera très restreinte. Si vous n’y êtes pas, pitié, ce n’est pas que je ne vous aime pas ; pour des questions d’OCD sus-nommé, j’ai l’impératif mental de minimiser les “données entrantes”, surtout si elles remuent l’émotionnel. Je ne suis pas insensible aux combats, je m’informe juste dessus autrement, dans un contexte plus serein, quand je sais que mon cerveau est capable de le faire sans flinguer ma journée. Twitter, ai-je appris à la dure, n’est pas cet endroit pour moi.

Voilà ! Je me rends compte que tout cela est peut-être un peu lapidaire et j’en suis navré, mais nous vivons dans une économie de l’attention, et j’ai une très, très aiguë conscience des mécanismes retors de ces réseaux comme de mes mauvaises interactions involontaires inconscientes (allitération en Hun) avec ceux-ci. Cet article est autant une information qu’une déclaration d’intention envers moi-même pour me permettre de tenir ma propre parole, et si vous trouvez qu’il y a beaucoup trop de première personne du singulier dans cette phrase, vous avez parfaitement raison, alors cessons (Sévigné).

Le bot disparaît donc, ou plutôt j’en reprends les commandes, et l’adresse Twitter redevient, sans originalité aucune, celle qu’elle était jadis, dans un monde naïvement pré-Covid et pré-invasion russe (petite piqûre de rappel au passage, ça ne fait pas de mal, de cette page pour soutenir l’Ukraine)… 

http://twitter.com/lioneldavoust

Encore merci pour toutes vos gentilles pensées qui me sont remontées pendant cette année et demi ! À la santé des nouveaux départs, comme toujours, et à bientôt là-bas aussi, peut-être.

  1. Je vous assure.
2022-05-09T16:13:43+02:00lundi 21 mars 2022|À ne pas manquer|6 Commentaires

La Masterclass des Imaginales 2022 est complète

Tardivement (mes excuses), un mot d’information : la Masterclass des Imaginales 2022 est complète et les inscriptions sont closes (pour rappel, c’est sur la base du premier arrivé, premier servi). En fait, j’ai appris que c’était le cas en quelques jours à peine, ne me laissant même pas le temps de couper les rappels de Lucien, le bot Twitter (son âme enchaînée à mon service connaîtra des tourments sans fin. Enfin. Encore plus sans fin que d’habitude. La nécromancie est une affaire sérieuse. Sinon après on passe pour un laxiste.)

Donc, merci de votre confiance, et nos excuses et nos regrets à ceux et celles qui n’ont pas pu avoir de place.

2022-03-08T11:40:40+01:00lundi 14 mars 2022|Dernières nouvelles|2 Commentaires

Présences d’Esprits n°107, spécial Élisabeth Vonarburg

Une brève pour signaler la sortie du nouveau numéro de la revue Présences d’Esprits, avec notamment un dossier sur Élisabeth Vonarburg ainsi qu’une nouvelle, “Les Invisibles” :

Couv. Grégory Fromenteau

Ce dossier propose une formule très intéressante où, avec les articles attendus d’étude sur l’œuvre, on trouve des témoignages de pros du milieu qui parlent d’Élisabeth, de l’influence et du rayonnement qu’elle a sur eux et elles et dans le domaine en tant qu’actrice de premier plan de l’imaginaire francophone.Parce que l’édition, et la communauté de l’imaginaire, c’est aussi un domaine vivant et humain. (Invité à contribuer, je cite, au passage, les deux conseils d’écriture qui m’ont le plus marqué quand j’ai eu l’honneur de co-animer des masterclasses avec elle.)

La revue est dispo dans les points de vente spécialisés ou directement sur le site du club Présences d’Esprits : ➡️ https://www.presences-d-esprits.com

2022-03-01T11:57:20+01:00jeudi 3 mars 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Présences d’Esprits n°107, spécial Élisabeth Vonarburg

Rengagez-vous, qu’il disait

Un canal de communication fort important (et, j’ai cru voir, plutôt apprécié – merci, ravi que mes ponctuelles divagations proposent une respiration dans votre boîte mail !) est la newsletter. Un truc important avec les newsletters, c’est qu’elles parviennent à ceux et celles qui les demandent, hein, sinon ce serait comme un vol Paris – Tahiti qui serait détourné sur Oslo, ça ne serait pas vraiment ce qu’on aurait demandé.

Pour conserver un bon ratio signal-bruit – c’est-à-dire que la lettre n’encombre pas votre boîte si vous vous en désintéressez – ce serait super triste, mais bon, je ne vais pas vous faire de chantage affectif – vous faites ce que vous voulez – M’EN FOUS HEIN –, et aussi pour que, concomitamment, elle ne finisse pas dans les spams des gens fréquentables qui ne s’en désintéressent pas, des gens au goût sûr, riches, célèbres, un petit peu au-dessus du tout-venant, VOUS VOYEZ –

(Je crois que je suis mauvais en marketing viral)

Donc : si vous n’ouvrez pas la newsletter pendant un certain temps, Lucien, le robot de la newsletter, enverra une armée de Terminators à votre domicile vous enverra un petit mot vous proposant de rester inscrit·e, ou pas, histoire d’économiser de la bande passante, de l’électricité et des ours polaires avant d’envoyer une armée de Terminators à votre domicile.

Lucien est gentil, l’ordinateur est votre ami.

2022-02-21T15:29:44+01:00mardi 22 février 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Rengagez-vous, qu’il disait

Les projets de l’année sur ActuSF

Bon, si vous avez croisé la roadmap 2022 plus tôt dans l’année, il ne s’y trouve rien de foncièrement différent, mais si vous l’avez croisée et qu’elle vous a paru trop longue (genre vous pourriez avoir peur d’une entrée de blog longue après « Les Dieux sauvages » ?) : ma très estimée camarade Aurélie Wellenstein et moi-même partageons l’entretien de début d’année chez ActuSF sur nos projets et rencontres à venir, à lire ici !

2022-02-17T11:13:03+01:00lundi 21 février 2022|Entretiens|Commentaires fermés sur Les projets de l’année sur ActuSF

La nouvelle de science-fiction “mystère” n°2 est acceptée

Attention, avec des titres pareils, je vais me reconvertir en rédacteur de titres de James Bond. Bientôt dans vos cinémas, “Les épreuves du projet secret A sont mises au transporteur”, “L’univers sous accord de non divulgation est adapté dans un média différent” et “Le contrat du truc dont je peux pas vous parler est en négociation”. Avec George Lazenby, bien sûr.

Bref, sur la feuille de route 2022, je mentionnais dans les tuyaux deux nouvelles de SF mystère qui m’avaient été commandées, l’une acceptée par la direction d’ouvrage, la deuxième en lecture. Donc, celle-ci est prise aussi, et j’en suis autant heureux qu’honoré, parce qu’il me tenait grandement à cœur de faire honneur au thème, dont je peux rien vous dire (titre du film de trop après la tétralogie sus-nommée, après quoi ma brillante carrière hollywoodienne se soldera par la fondation d’une distillerie de liqueur de cactus au beau milieu du désert de Sonoma).

Ce texte-là sortira cette année à 100%, le premier très certainement aussi, mais cela dépendra des habituelles contraintes et impératifs du monde éditorial, comme toujours. À voir donc.

2022-02-08T17:14:20+01:00lundi 14 février 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur La nouvelle de science-fiction “mystère” n°2 est acceptée
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