Un point sur les livres épuisés, bientôt épuisés, en retirage (Léviathan, Évanégyre, Comment écrire de la fiction)

Couv. Cyrielle Alaphilippe

Avec l’augmentation du prix du papier, les maisons d’édition se montrent un peu prudentes sur la gestion de leurs stocks, et elles ont bien raison (vous voulez qu’elles vivent, et moi aussi à travers elles). D’autre part, certains livres devenus anciens (dix ans ou plus) ont atteint leur fin de vie naturelle, ou sont en passe d’y arriver ; comme j’ai reçu pas mal de questions récemment, c’est l’occasion de faire un point rapide. Quels sont les livres épuisés, en passe de l’être, ou en réimpression ?

Épuisé en papier, dispo en numérique : La Volonté du Dragon

Le tout premier livre d’Évanégyre à être publié a connu une belle vie (publié en 2010, plusieurs retirages, a connu une réédition spéciale collector pour les dix ans des éditions Critic). Il demeure disponible en numérique sans limite de durée, cependant. Peut-être envisagerons-nous à un moment une réédition de ce texte sous une forme différente, mais avant d’envisager quoi que ce soit, il faut finir « Les Dieux sauvages », et il reste encore un sacré boulot.

En passe d’épuisement définitif : Léviathan : la Nuit (tome 2)

Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU

Le deuxième tome de la trilogie Léviathan, publié initialement en 2012, atteint des niveaux de stock dangereusement bas (le diffuseur n’a déjà pas livré un festival où je devais avoir l’ouvrage). Une fois celui-ci épuisé, il sera selon toute logique définitivement indisponible, puisque la série a dix ans et que la marque Don Quichotte a disparu, absorbée dans le Seuil. (Je ne les vois pas réimprimer.) Or il n’existe pas d’édition numérique, les conditions proposées à l’époque par le Seuil n’étant pas satisfaisantes. Donc : si vous voulez vous lancer dans la série, ne tardez pas (ou bien reportez-vous sur le marché de l’occasion).

En passe de réimpression : La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » 1) grand format et Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires

Enfin, beaucoup plus proche temporellement : le grand format de La Messagère du Ciel chez Critic et Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires chez Argyll peuvent être actuellement un peu plus difficiles à trouver que d’habitude : il n’y a presque plus de stock, ce qui se trouve chez vos libraires étant les seuls exemplaires disponibles en ce moment. Ces ouvrages sont activement exploités, et des réimpressions vont arriver. Je ne sais pas exactement quand, en revanche, et il est possible que ce ne soit pas pour les fêtes. Donc, si vous souhaitez offrir l’un ou l’autre (ou les deux, HEIN), là aussi, ne tardez pas à commander là où il en reste. Je donnerai l’info quand j’aurai vent que les stocks ont été renouvelés.

2022-11-15T02:04:24+01:00jeudi 17 novembre 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Un point sur les livres épuisés, bientôt épuisés, en retirage (Léviathan, Évanégyre, Comment écrire de la fiction)

Une page de présentation sur l’univers de Léviathan

C’est presque risible, le temps depuis lequel je promets de développer les univers sur le site (Évanégyre bien sûr, mais aussi Léviathan). Il y avait d’ailleurs un peu de contenu jadis, mais qui a disparu avec un passage sur une certaine version de WordPress.

Bref, à mesure que La Succession des Âges avance lentement mais sûrement, et qu’Évanégyre va vers la conclusion de son premier grand cycle, ordonner un peu tout ça devient nécessaire (je reçois de plus en plus de questions me demandant par où commencer, et je vous entends : c’est pas clair. La réponse étant : par n’importe quoi, c’est prévu pour).

Je n’ai pas la bande passante mentale pour proposer un grand et beau portail tout de suite, mais un petit peu vaut mieux que rien du tout, donc je vais m’efforcer d’étoffer un peu tout ça petit à petit. Avant de m’atteler à Évanégyre, la logique voulait de proposer au minimum une présentation de l’autre univers, qui manque depuis des mois, ce qui est chose faite :

La présentation de l’univers de Léviathan (« La Voie de la Main Gauche »)

2022-08-28T08:18:10+02:00mercredi 31 août 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Une page de présentation sur l’univers de Léviathan

Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

… et ça me donne l’occasion de rappeler que, pour mon plaisir ou me remettre dans l’ambiance quand j’ai besoin de m’auto-coudepiéaucuter, ce truc existe et qu’il est librement accessible pourvu que vous ayez un abonnement à Apple Music.

Couvertures Alain Brion

J’aime bien me composer une bande originale fantasmée des bouquins ou des sagas. Une compilation de morceaux qui m’évoquent spécialement l’atmosphère de ce que je suis en train d’écrire, parce que parfois, on tombe sur exactement la bonne ambiance avec le bon état d’esprit. Je la mets à jour régulièrement, mais là, je m’en suis spécialement occupé notamment alors que je termine L’Héritage de l’Empire. Vous pouvez l’écouter ci-dessous avec votre compte ou, plus pratique, l’ajouter directement à votre bibliothèque si cela vous intrigue. La playlist suit globalement la progression de la série, depuis La Messagère du Ciel (I) jusqu’à la fin projetée pour La Succession des Âges (V) :

Si cela vous amuse, voyons si nous entendons la même chose ! Quoi qu’il en soit, quand il y aura sur ce site les portails sur les univers (… un jour…), je détaillerai davantage ce qui correspond pour moi à tel ou tel chapitre.

(Et si ce genre d’expérience vous intéresse, il existe aussi une playlist pour « La Voie de la Main Gauche », l’univers de la trilogie Léviathan.)

2020-09-23T22:15:30+02:00lundi 5 octobre 2020|Décibels|Commentaires fermés sur Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

Un jeu de personnages (merci à Rozenn Illiano)

Rozenn Illiano (Le Phare au corbeau chez Critic, et plein d’autres histoires et des bijoux splendides) a fait un beaucoup trop beau cadeau à la tweetsphère littéraire en ressortant ce mème, parce qu’on aime tous beaucoup trop parler de nos personnages, en effet. Donc, amusons-nous (fil Twitter d’origine).

1. On prenant les publiés, probablement Dwayne de Heldadt dans Léviathan. Qui… apparaît finalement assez peu. A la base, j’étais censé revenir dessus (un jour, peut-être !)

2. Bruz dans « Les Dieux sauvages » (L’Héritage de l’Empire). Un personnage d’arrière-plan, mais qui s’est un petit peu posé quand même. Quand c’est comme ça, faut laisser faire.

3. Dur, ça change souvent. Mais je pense que… Chunsène (« Les Dieux sauvages »). Sa façon de n’avoir failli jamais exister et de s’être imposée comme jamais un personnage auparavant me dit qu’il se passe quand même des trucs étranges dans l’écriture. (Et puis elle n’en a rien à foutre des conventions, est tragiquement sombre et solaire à la fois, elle est très futée et voit clair sur le monde, bref… et elle s’écrit toute seule.)

4. Hmmm difficile à dire aussi parce que je pense les personnages en mots plus qu’en images, mais Ganner, probablement.

5. Parce que y a une histoire derrière, ou parce qu’il y a une occasion narrative qui mérite quelqu’un pour la porter et lui donner de la chair et du sang (et s’en emparer et partir avec la caisse en courant)

6. “D’où viens-tu, et où veux-tu aller ?”

7. Pas du tout, j’avoue. Ce sont les personnages qui me disent qui les attire, et ça reste toujours dans leur propre environnement, nécessairement.

8. Peux pas dire. C’est dans le tome 4 de « Les Dieux sauvages ».

9. Darén, sans aucun doute.

10. Voui, plein. Même chez les gentils, des fois.

11. Absolument pas. Je les passe à l’essoreuse et parfois ils ne sont sauvés de la mort que pour pouvoir être essorés davantage et lâcher tout ce qu’ils ont à dire. (Je crains que Chunsène ne l’ait compris, d’ailleurs.)

12. Hu, j’en ai tué plein, surtout dans « Les Dieux sauvages ». Difficile d’en mentionner un sans spoil, mais l’assassinat sordide dans la ruelle de La Messagère du Ciel reste pour moi aussi vain que juste.

13. Yep, le personnage principal se mangeant le plus dans la face la difficulté de la chose étant Izara de Rhovelle.

14. Au premier jet, ça arrive toujours. Mais j’essaie de comprendre pourquoi, et si c’est parce que le personnage en question n’a finalement rien de spécial à faire ce moment-là, je l’intègre dans l’histoire. Ça arrive, dans la vie.

15. Guil Redel, j’en parlais récemment. C’est un véritable monstre et il faut que j’aille très, très loin pour aller puiser de quoi il est fait.

16. Alors, on enlève les exosquelettes, on est d’accord ? Le plus grand : peut-être bien Darén ? Le plus petit (adulte) : peut-être bien Andrew León dans Léviathan. Avec exosquelette : Jared Valne, mais il triche, il pilote une mekana grande comme un immeuble.

17. Le plus vieux : Mordranth (l’oracle-dragon de l’Empire d’Asreth/ia). Le plus jeune : la princesse Carila de Rhovelle dans « Les Dieux sauvages ».

18. Ça dépend de quelle manière : les limites de l’humanité me fascinent et c’est pour ça que j’écris des monstres, ils sont souvent douloureux à écrire (Guil Redel, aussi Ganner et Daphn).

19. Au sens classique du “self-insert / Mary Sue”, jamais, en tout cas pas que je sache. De façon plus vaste : toujours, parce que c’est moi qui écris, forcément.

20. Je regrette de ne pas avoir davantage montré les aventures de Chunsène et Nehyr dans Le Verrou du Fleuve. C’était un choix volontaire et assumé à l’époque, mais avec le recul, je pense que j’aurais dû.

21. Leopol. Je n’aurais jamais imaginé qu’il soit aussi populaire, et certainement pas auprès des lectrices.

22. Leopol. Je n’aurais jamais imaginé qu’il se révèle aussi tragiquement et humainement riche.

2020-05-17T20:22:18+02:00lundi 18 mai 2020|Entretiens, Journal|2 Commentaires

Comment j’ai écrit ma meilleure scène de torture

Tiens, comme on fait dans la saison 3 de Procrastination un épisode sur le sous-texte, une petite anecdote d’écriture qui me revient de loin en loin, sur l’importance de la place laissée au lecteur : c’est un conseil central fréquemment donné, de suggérer plutôt que de montrer explicitement, de laisser le lecteur habiter le récit, en gros de lui donner la place de projeter ses propres images, ce qui est beaucoup plus efficace que de tout dire : le rôle de la littérature n’est pas tant de cadrer et de raconter que d’évoquer et d’emmener le lecteur en promenade.

L’anecdote, donc. À l’issue de Léviathan : le Pouvoir, on m’a fréquemment reparlé (et cela arrive encore aujourd’hui) d’une certaine scène de torture d’un personnage aimé des lecteurs (attention, quelques léger spoilers à suivre). De son horreur viscérale, de la terreur qu’elle représente. Cela fait évidemment très plaisir quand un lecteur vous dit qu’il a fait des cauchemars par votre faute (ouais, on fait un métier bizarre) : ça veut dire que vous avez réussi votre coup.

J’ai failli intituler cet article “comment j’ai écrit la scène de torture parfaite”, sauf que ça aurait vraiment trop fait putàclic, alors je me suis abstenu, mais cela aurait été pourtant la vérité : car cette scène, en réalité, n’existe pas. Si vous avez lu la série, vous pouvez la chercher. Ce qui se passe, c’est que je la suggère entièrement. J’utilise un antagoniste dont j’ai amplement montré la puissance de nocivité, je tabasse un peu mon personnage chéri, d’accord… mais presque tout le reste (hormis la torture psychologique, mais c’est une autre histoire) se déroule hors caméra, appuyé par des hurlements provenant de la cave.

Quand on le retrouve, il est totalement brisé (… en ayant subi des tourments supplémentaires dont on ne sait que les marques). La scène est horrible et parfaite non pas parce que je l’ai écrite, mais parce que j’ai triché éhontément – j’ai pris soin de laisser le lecteur plaquer dessus ses propres terreurs et épouvantes. Elle est donc forcément parfaite, puisqu’en réalité, elle n’existe pas – elle invite chacun à investir les événements de ses cauchemars personnels.

Ce n’est pas un truc qu’on peut faire quinze fois par livre, mais se reposer sur le hors-champ, en cinéma comme en littérature, est une des techniques les plus éprouvées. L’exemple fréquemment cité dans le cinéma, Alien, fonctionne parce qu’on ne voit jamais la créature ; sa révélation, c’est comme sortir le lapin du chapeau à la fin du tour de magie – c’est le dénouement, mais en même temps, c’est la fin du jeu. C’est ouvrir la boîte de Schrödinger et résoudre l’indétermination. La boîte est intéressante parce qu’elle est fermée, qu’on s’interroge ; et si l’on ne s’interroge pas sur la fin d’un livre, pourquoi lire ?

Sans aller jusqu’à un cas extrême comme suggérer un pan d’action, cet espace est indispensable à ménager à tous les niveaux de l’écriture, il me semble. Le travail de l’écrivain me semble reposer presque entièrement sur le sous-texte, comme on en avait déjà parlé dans le cas de la traduction.

2019-06-01T14:40:25+02:00lundi 23 juillet 2018|Best Of, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Comment j’ai écrit ma meilleure scène de torture

« Regarde vers l’ouest » republiée dans l’anthologie du festival ImaJn’ère, Monstres Cachés

Tous les ans se tient l’extrêmement agréable festival ImaJn’ère à Angers, auquel j’ai eu le plaisir de participer plusieurs fois, et à chaque fois le festival propose sa propre anthologie en lien avec le thème choisi. 2018 ne fait pas exception, et il faut noter que le livre n’ouvre pas ses pages qu’aux auteurs établis mais aussi aux débutants à travers un appel à soumissions annuel : une initiative à saluer !

Le thème de cette année est Monstres cachés, et le livre bénéficie d’un splendide écrin de Philippe Caza :

Couv. Caza

Au sommaire

  • Célia Rodmacq
  • Cédé
  • J.A. Reeves
  • Christian Ravat
  • Samantha Chauderon
  • David Verdier
  • Brice Tarvel
  • Roxane Dambre
  • Simon Sanahujas
  • Lionel Davoust
  • Julien Heylbroeck
  • Beth Greene
  • Martine Leroy
  • Camille Leboulanger
  • Audrey Calviac
  • Pierre-Marie Soncarrieu
  • Arnaud Cuidet
  • Christine Luce
  • Thomas Geha
  • Jean-Hugues Villacampa
  • Sarah et Romain Mallet
  • Francis Carpentier
  • Jérôme Verschueren
  • Patrick Eris

Avec une préface de Philippe Caza, une postface de Jean-Hugues Villacampa et 20 illustrations intérieures.

À propos de « Regarde vers l’ouest »

Je propose pour ma part une réédition d’un texte pour lequel j’ai beaucoup d’affection, car il s’agissait à l’époque d’une de mes premières incursions dans l’univers qui allait devenir Léviathan. Comme dans le cas d’Évanégyre, le texte est entièrement indépendant de la série, et fait d’ailleurs intervenir des personnages sans lien direct avec les romans ; l’ambiance est simplement voisine.

Histoire d’initiation, de création, de (pro)création (comme le titre de l’anthologie de 2007 dirigée par Lucie Chenu où la nouvelle est initialement parue), de couple et d'(in)compréhension, « Regarde vers l’ouest » met en scène Travis, père qui a remonté la piste de son ancienne compagne pour réapparaître dans sa vie et celle de son fils qu’il n’a pas vu depuis sept ans. Cherche-t-il à reconstruire les ponts qui ont été brisés ou bien vise-t-il des objectifs plus occultes ?

Se procurer l’ouvrage

L’anthologie est actuellement disponible en précommande à un tarif préférentiel sur le site d’ImaJn’ère. Et elle sera bien entendu en vente pendant l’événement, qui se tiendra les 28 et 29 avril aux salons Curnonsky d’Angers.

2018-05-07T12:39:34+02:00jeudi 12 avril 2018|À ne pas manquer|3 Commentaires

À propos de La Messagère du Ciel et de sa suite, Le Verrou du Fleuve [interview sur ActuSF]

Ce blog est un scandale, on n’y trouve pas de contenu complètement original depuis au moins deux semaines, MAIS y a plein de trucs ! Promis ! Procrastination, bien sûr, et puis je travaille d’arrache-pied sur la finalisation de Le Verrou du Fleuve (« Les Dieux sauvages » II) dont je sais qu’il est TRÈS attendu, et ça me fait un immense plaisir – et donc, je veux qu’il soit ma priorité.

Et du coup, aujourd’hui, je vous propose une interview, justement, autour de « Les Dieux sauvages », la genèse d’Évanégyre, quelques mots sur Le Verrou du Fleuve, et en quoi la construction de cette série et de la trilogie “Léviathan” peuvent différer. Merci à Estelle Hamelin d’ActuSF : c’est lisible ici (ou en cliquant sur ma trombine à droite).

Actusf : Avez-vous des inspirations / influences particulières pour Les Dieux sauvages ?

Lionel Davoust : Très clairement, il y a l’épopée de Jeanne d’Arc – mais Les Dieux sauvages ne relève absolument pas de la fantasy historique ; je pense d’ailleurs qu’à part quelques éléments très évidents, il faut très bien connaître la période pour retrouver les traces de son histoire. Cela ne m’intéressait pas du tout de réécrire les événements ; des auteurs font cela merveilleusement bien, soit dit en passant, mais ça n’est pas mon projet. Ce qui m’intéresse, ce sont les mythes, c’est la couche d’interprétation et surtout de rêve que l’on plaque sur le réel. Donc, plutôt qu’adhérer aux événements, je me suis abreuvé à une strate « ultérieure », c’est-à-dire à la légende. Mon inspiration n’est pas tant l’épopée de Jeanne d’Arc que le mythe qui en découle, tout ce qu’on a créé autour d’elle, et ce sont ces représentations, ces fantasmes, qui m’intéressent (comme le fantasme de l’empire romain civilisateur inspirait La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête).

2017-12-20T16:49:42+01:00jeudi 21 décembre 2017|Entretiens|Commentaires fermés sur À propos de La Messagère du Ciel et de sa suite, Le Verrou du Fleuve [interview sur ActuSF]

« Le mois de » chez Book en Stock (3) : religions, organisation, musique des mots…

Le troisième volet de ce “Mois de” est en ligne chez Book en Stock ! Pour mémoire, il s’agit d’un mois entier de discussion à bâtons rompus sur les livres, l’écriture, et n’importe quoi d’autre, et tout le monde peut intervenir et participer (il suffit de poser sa ou ses questions en commentaires).

Dans ce troisième volet, on parle de :

  • Religions et leur traitement dans La Messagère du Ciel
  • Organisation des journées de travail, comment les méthodes de productivité me permettent de garder le cap
  • Musique des mots
  • Poésie
  • La mer dans Léviathan
  • Inspirations chez certains grands noms…

C’est à cette adresse, et n’hésitez pas à rejoindre la discussion !

2017-06-15T18:45:40+02:00lundi 19 juin 2017|Entretiens|Commentaires fermés sur « Le mois de » chez Book en Stock (3) : religions, organisation, musique des mots…

La bande-originale de Léviathan s’enrichit d’un quatrième volet

Ce n’est pas une trilogie, ce sera une tétralogie : Jérôme Marie, compositeur de talent qui m’a fait l’immense honneur et le plaisir de compter une bande-originale inspirée de Léviathan, vient de sortir le quatrième volet de ce projet ambitieux, atmosphérique et mélodique, où le symphonique évoque ce qui se terre dans les profondeurs. Au menu de celui-ci, des ambiances plus exotiques avec un voyage au sud du Chili, mais toujours, l’attirance des profondeurs et des glaces de l’Antarctique…

Ce quatrième EP est disponible sur toutes les plate-formes de téléchargement et de streaming – voir ici pour choisir la vôtre ! Je vous invite fortement à aller y jeter une oreille et à vous laisser emporter à votre tour.

2017-07-11T09:35:48+02:00mercredi 7 juin 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La bande-originale de Léviathan s’enrichit d’un quatrième volet

Titre

Aller en haut