Retour sur Scorfel en vidéo

Scorfel, c’est donc la convention de jeu et de littérature de Lannion qui s’est tenue les 21 et 22 octobre derniers, et qu’on retrouve tous les ans ; Morgan of Glencoe, auteur, musicienne, qui a une chouette chaîne YouTube en plein essor que je vous invite à découvrir (elle joue, genre, les yeux bandés, rien que ça) vous propose un retour sur l’événement en images et en entretiens d’auteurs et créateurs, avec Evelyne Brisou Pellen, Elhonna Sombrefeuille, Quentin Fourreau, David (organisateur) et moi-même.

On y parle aussi de galettes, parce qu’on est en Bretagne, et qu’on NE RIGOLE PAS avec la galette. Merci à Morgan de m’avoir donné l’occasion de parler de La Messagère du Ciel !

2017-11-06T23:04:03+01:00mercredi 8 novembre 2017|Entretiens|2 Commentaires

L’anthologie officielle des Utopiales disponible (avec « L’Île close » en réédition)

Donc, ce week-end, ce sont les Utopiales, où il faut être dès lors que l’on peut, et le festival publie tous les ans en partenariat avec les éditions ActuSF une superbe anthologie :

Qui sera bien évidemment disponible sur le festival, mais aussi chez tout bon libraire. J’ai le plaisir d’y figurer avec une reprise de « L’Île close », que les anthologistes m’ont fait l’honneur de reprendre pour ce recueil : merci à eux !

Le sommaire est extrêmement alléchant (je veux dire, Michael Moorcock et Guy Gavriel Kay, quoi, ainsi que tous les éminents camarades francophones et étrangers), voyez plutôt :

Au sommaire :

  • Avant-propos
  • “43 200 secondes” de Jean-Laurent Del Socorro (INÉDIT)
  • “La place d’une femme” de Emma Newman (traduction : Erwan Devos et Hermine Hémon) (INÉDIT)
  • “Huit siècles sur une échelle de temps” d’Olivier Gechter (INÉDIT)
  • “Le sphincter de l’œsophage” de Nabil Ouali (INÉDIT)
  • “Pékin origami” de Hao Jingfang (traduction : Michel Vallet) (INÉDIT)
  • “Les Anges tièdes” d’Estelle Faye
  • “Les cristallines” d’Ariane Gélinas (INÉDIT)
  • “Les arbres sont des gens comme les autres” de Timothée Rey (INÉDIT)
  • “Les oiseaux lunaires” de Michael Moorcock (traduction de Pierre-Paul Durastanti)
  • “Poèmes” de Guy Gavriel Kay (traduction : Erwan Devos et Hermine Hémon) (INÉDIT)
  • L’Île close” de Lionel Davoust
  • “Le gnome qui voulut être fée” d’Audrey Alwett (INÉDIT)

L’anthologie peut aussi être commandée directement sur le site d’ActuSF à cette adresse.

2017-12-10T20:14:18+01:00mardi 31 octobre 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur L’anthologie officielle des Utopiales disponible (avec « L’Île close » en réédition)

Ce week-end, c’est les Utopiales !

Affiche Laurent Durieux

Est-il encore besoin de le préciser ? Les Utos, c’est l’un des rendez-vous emblématiques de l’année dans le cadre de la science-fiction et de l’imaginaire. Une programmation cinéma sans égale, un espace librairie de toutes les tentations, débats et conférences, expositions… Et j’aurai pour ma part le grand plaisir d’y être du vendredi 3 novembre au dimanche 5.

J’y participerai à plusieurs débats, et j’y donnerai notamment un cours du soir sur la procrastination… pas le podcast, mais les méthodes de motivation, d’avancée, d’organisation quand on est seul face à sa page blanche et mille tâches en apparence qui nous attendent comme rédiger son chat et mettre un collier anti-puces à sa déclaration d’impôts.

Le programme officiel du festival est évidemment disponible sur le site idoine avec toutes les informations, idoines elles aussi, car tout cela est bien fait. En ce qui me concerne, voici mon programme :

Current Month

octobre

pas d'événement

À ce week-end ! 

2017-11-06T11:08:34+01:00lundi 30 octobre 2017|À ne pas manquer|9 Commentaires

En janvier, atelier d’écriture sur le conflit à Paris (et conférence)

Je m’y prends pas mal à l’avance, car les places sont parties rapidement l’année dernière : j’ai le grand plaisir de retourner en janvier à l’école d’écriture Les Mots, sise à Paris, pour proposer une conférence sur les outils numériques d’aide à l’écriture1 et, surtout, un nouvel atelier d’écriture centré sur la notion de conflit (laquelle est fondamentale, à mon humble avis, à l’écriture de toute histoire) :

Comment les outils numériques peuvent-ils soutenir l’écriture ? (conférence, 12 janvier)

L’écrit est l’une des formes de communication les plus ancestrales de l’humanité, et la fiction représente l’art narratif le plus ancien. Pourtant, pendant des siècles, la façon de créer de la littérature n’a que peu évolué, fondée sur des outils simples : du papier, un crayon. Or, avec l’explosion de l’informatique, des façons inédites d’approcher le texte, dans sa production, sa correction, sont apparues. Et avec le triomphe de l’ordinateur personnel et des terminaux mobiles, une révolution silencieuse de la création littéraire s’est opérée, fournissant des myriades d’outils novateurs à l’écrivain pour réaliser l’œuvre de ses rêves.

En se fondant sur des études récentes relatives à la créativité ainsi que sur son expérience d’auteur, Lionel Davoust propose dans cette conférence de voir comment ces nouveaux outils libèrent l’esprit pour qu’il accomplisse son meilleur travail, quels sont leurs avantages et inconvénients, et quelles sont les qualités à rechercher. Il partagera et explicitera également certaines de ses recommandations fondées sur son propre flux de travail, qui débordera vers les notions d’organisation et de productivité. Car nous vivons une ère réellement merveilleuse pour les créateurs, tandis que les outils numériques deviennent réellement, pour reprendre les mots de Steve Jobs, des « bicyclettes pour l’esprit ».

Peut-on écrire plus facilement, plus vite, et avec plus de plaisir ?

[Plus de détails et s’inscrire]

Comment écrire une histoire grâce au conflit, notion fondamentale de la narration ? (atelier, 13 & 14 janvier)

Bien des écoles de création littéraire américaine résument la notion d’histoire à celle de conflit. Où est l’adversaire ? Qui les personnages doivent-ils vaincre ? Mais cette notion est souvent mal comprise, résumée à une opposition binaire entre deux camps et à une confrontation souvent fondée sur la violence. Or, dans le contexte de la création narrative, elle est bien plus vaste : elle représente l’énergie fondamentale de tout récit, tandis qu’elle exprime, de façon globale, la notion de difficulté et de tension, qui sous-tend toute intrigue romanesque.

À la fois question préparatoire féconde et boussole pour s’extirper d’une impasse littéraire, la notion de conflit en narration forme un socle dont la compréhension profonde aide l’auteur à rendre ses récits plus efficaces, plus prenants, tout en simplifiant son travail en lui fournissant les questions cruciales qui l’aideront à progresser dans son histoire. Et, loin d’un affrontement binaire de film à grand spectacle hollywoodien, elle lui permettra au contraire, s’il le désire, de complexifier ses intrigues et ses personnages sans jamais sacrifier le suspense et l’intérêt du lecteur.

8 participants minimum / 12 participants maximum

[Plus de détails et s’inscrire]

  1. Si vous étiez aux Utopiales l’année dernière ou à la Worldcon d’Helsinki cet été, c’est la même.
2018-01-08T08:42:09+01:00mercredi 25 octobre 2017|À ne pas manquer, Technique d'écriture|4 Commentaires

Ce week-end, retrouvons à Lannion pour Scorfel

Ce week-end, la chouette convention Scorfel à Lannion fête ses cinq ans ! (Fichtre, le temps passe) Au programme, comme presque toutes les conventions dont j’ai tendance à parler, forcément (y a comme une cohérence) : des auteurs, des dédicaces et des rencontres. Mais Scorfel est aussi une convention de jeu (de rôle, de société, de plateau) extrêmement bien remplie, avec moult autres activités comme des expositions, des ateliers d’écriture, lectures publiques, travaux d’élèves (et bravo à la manifestation pour les liens qu’elle tisse dans la région), etc.

J’y serai pour ma part samedi et dimanche et je vous invite vivement à venir fêter l’imaginaire, voire, pour les plus courageux.ses, à rester jouer toute la nuit – parce que c’est possible ! Toutes les infos sont sur le site. Venez jouer, lire, regarder !

2017-10-21T14:35:46+02:00mardi 17 octobre 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Ce week-end, retrouvons à Lannion pour Scorfel

Octobre, c’est dorénavant le mois de l’imaginaire

Un petit mot rapide pour mettre en valeur une initiative à soutenir : le mois de l’imaginaire. Pour combattre le manque de visibilité médiatique des littératures de science-fiction, fantasy, fantastique (alors que c’est, n’en déplaise aux barbons élitistes, la culture populaire dominante aujourd’hui à travers le jeu vidéo et le cinéma, du Seigneur des Anneaux à Star Wars), divers projets ont été activement lancés, et donc, notamment, ce mois :

Le Mois de l’Imaginaire, c’est une grande fête dédiée aux littératures de l’Imaginaire : science-fiction, fantasy, fantastique. Annoncé lors du festival « Les Imaginales » à Épinal, ce temps fort se déroulera chaque année au mois d’octobre. La première édition aura lieu en 2017. Des maisons d’édition se sont réunies pour créer cet événement en librairie et dans les médias. Ce collectif, ouvert à tous, s’est donné pour mission de promouvoir et célébrer les littératures de l’Imaginaire. De nombreuses actions seront menées tout au long du mois : opérations commerciales, rencontres & dédicaces en librairie et dans les salons, tribunes d’auteurs, supports pédagogiques, catalogues thématiques, animations numériques, événements sur les réseaux sociaux, jeux-concours, primes & goodies, partenariats médias… et plein d’autres surprises ! Nous invitons tous les auteurs, libraires, lecteurs, journalistes, blogueurs, bibliothécaires, éditeurs à nous rejoindre pour faire du mois d’octobre LE mois de l’Imaginaire. Tous ensemble nous contribuerons à la promotion de cet événement festif. L’Imaginaire prend le pouvoir ! [Source]

Il y a donc beaucoup d’animations en ce moment, tant au niveau national (avec les éditeurs) que local (avec vos libraires) et si vous aussi, vous en avez marre d’entendre que “1984 n’est pas de la science-fiction, c’est de la littérature”, je ne peux que vous inviter à vous renseigner sur ce qui se passe dans votre région et à participer à la fête, en premier lieu parce que c’est chouette, mais aussi, peut-être, pour prolonger un élan d’ensemble qui nous concerne, nous le “peuple de la science-fiction”1.

Éric Marcelin, directeur général de Critic, en parle par exemple ici :

D’autres entretiens et toutes les informations sont centralisées sur plusieurs comptes sociaux, en fonction de vos drog… inclinations :

J’en profite pour mentionner entre autres qu’à Rennes, jeudi soir prochain, se tiendra une rencontre avec Xavier Dollo et moi-même autour de la manière de l’imaginaire interroge nos sociétés au Tambour (université de Villejean) :

Elfes et zombies, robots et super-héros, voyages dans le temps et dans l’espace : l’imaginaire est partout. Pourtant, ces littératures sont encore peu reconnues à leur juste valeur, et souvent reléguées à de simples divertissements. Cet automne, l’imaginaire prend le pouvoir. Sur une initiative de maisons d’éditions, le mois d’octobre sera consacré à la valorisation nationale des littératures de l’imaginaire (science-fiction, fantasy, fantastique…).

Pour fêter la première édition de cet événement, nous accueillons les Éditions Critic au Tambour pour une table ronde en compagnie des auteurs Lionel Davoust (Port d’âmes) et Xavier Dollo (American Fays). Ils nous parleront de la manière dont ces littératures interrogent nos sociétés: pourquoi elles ont toute leur place dans nos bibliothèques et dans les recherches universitaires, pourquoi imaginer des «ailleurs» peut nous aider à mieux comprendre «l’ici et maintenant». Et pourquoi, tout simplement, rêver aussi est essentiel.

Plus de détails ici.

Alors n’hésitez pas, en octobre, fêtons l’imaginaire, et installons l’initiative dans le temps ! (Et que ça n’empêche personne de lire de l’imaginaire les onze autres mois de l’année, hein)

  1. Roland C. Wagner.
2017-10-12T09:51:58+02:00jeudi 12 octobre 2017|Dernières nouvelles|1 Commentaire

Faut que ça saigne ! La fantasy épique, ça bastonne (débat aux Imaginales 2017)

Jean-Luc Rivera, Olivier Gay, LD, Gabriel Katz, Bradley P. Beaulieu, Morgane Saysana. © ActuSF

Ahem. Je suis ridiculement en retard pour partager un certain nombre de débats, entretiens, tables rondes, mais disons que c’est une façon de se remettre dans l’ambiance… ? (Et aussi, comme j’ai beaucoup de boulot, cela me permet de proposer quelque chose, j’avoue, pour un minimum d’effort de mon côté)

Donc, ActuSF a réalisé comme tous les ans les captations des débats des Imaginales, et je vais rattraper mon retard dessus dans les jours à venir. On commence par un débat sur la fantasy épique, modéré par Jean-Luc Rivera, avec Olivier Gay, Gabriel Katz, Bradley P. Beaulieu (trad. Morgane Saysana) et mon Apple. Ma pomme. Pardon.

Le débat est disponible en streaming ou téléchargement sur cette page et merci comme toujours à ActuSF de constituer cette mémoire vivante au fil des ans.

2017-10-11T10:31:44+02:00mercredi 11 octobre 2017|Entretiens|Commentaires fermés sur Faut que ça saigne ! La fantasy épique, ça bastonne (débat aux Imaginales 2017)

Vendredi, masterclass de l’imaginaire avec cinq auteurs

L’événement a tourné pas mal sur les réseaux sociaux, donc juste un petit rappel : dans le cadre du mois de l’imaginaire se déroulera vendredi non pas une, mais cinq masterclasses de l’imaginaire avec cinq auteurs à Lyon. (Les inscriptions sont provisoirement clôturées en raison de l’affluence – merci à tou.te.s, elle seront rouvertes en fonction des disponibilités !)

Au programme :

  • Olivier Paquet, sur la thématique des descriptions, leur rôle, leur importance et le dosage.
  • Lionel Davoust, sur la thématique des personnages : archétype et logique propre
  • Nicolas Le Breton, sur la question des dialogues.
  • Christian Chavassieux, à propos des scènes de bataille.
  • Jean-Laurent Del Socorro, sur les questions des relations avec les correcteurs, éditeurs et relecteurs, et tous ceux qui ont un regard sur un texte avant sa publication..

(Davantage que d’archétypes au sens propre, je parlerai surtout de mon outil principal dans ce domaine, la volonté des personnages, et comment alimenter leur histoire par ce biais, d’où la notion de “logique interne”.)

Les réjouissances commenceront à 17h30 dans les locaux de l’Arald ( 25 rue chazière, 69004 Lyon), avec les intervention de 18h30 à 21h30, suivies de dédicaces et d’un buffet sympa.

Pour toutes les informations, rendez-vous sur cette page, et à vendredi !

2017-10-10T22:08:11+02:00lundi 9 octobre 2017|À ne pas manquer, Technique d'écriture|2 Commentaires

Note de service sur la synchronisation des commentaires

Howdy hey ! Ce blog présente depuis des années un système que l’univers entier m’envie (rien que ça) (alors que je n’y suis franchement pour rien) : les commentaires sont synchronisés avec Facebook (ooooh). J’avais expliqué comment faire ici.

Sauf que le développement est un monde cruel et sans pitié, et que l’extension WordPress employée, Add Link to Facebook, a été laissée en friches par ceux qui l’avaient achetée, ReadyGraph – lançons-leur donc des tomates tellement génétiquement modifiées qu’elles en ont la peau dure comme des boules de pétanque. Ce qui devait arriver arriba riba, et les changements de Facebook l’ont rendue incompatible. RIP.

En attendant que de bonnes âmes la clonent pour la mettre peut-être à jour, j’utilise à présent Social Networks AutoPoster (SNAP), disponible ici (une extension partiellement commerciale, ce qui devrait permettre une meilleure pérennité).

Cela entraîne toutefois quelques changements dans la synchronisation des commentaires, car on n’a rien sans rien ma bonne dame (je vous parle souvent sur ce blog, ma bonne dame).

  • Les commentaires sont importés de Facebook, mais pas exportés, ce qui signifie que la discussion complète se trouvera toujours ici, et non sur Facebook, qui de toute façon veut manger vos enfants (et vos données) ;
  • On y gagne un import des réponses sur Twitter, mais faut voir si c’est utile à l’usage et si ça ne confuse pas plus qu’autre chose.

Ne soyez donc pas surpris si, à l’usage, vous ne voyez plus les commentaires exportés sur les réseaux, c’est ainsi (ou un fa, je suis pas difficile).

 

2017-10-03T12:21:35+02:00mardi 3 octobre 2017|Dernières nouvelles|2 Commentaires

La Messagère du Ciel, roman lauréat du prix Elbakin 2017 !

Couv. Alain Brion

On a déjà un peu fait la fête sur les réseaux sociaux hier, j’avoue…

Donc voilà. La Messagère du Ciel est lauréat du prix Elbakin du roman de fantasy ! (Attention, je brise une règle personnelle qui est de ne pas employer d’emoji dans des articles, mais là, il le faut !) ????????

Je suis profondément, profondément touché de cette distinction pour ce livre. Si vous avez suivi un peu le blog cette année, c’est un projet d’une ampleur déraisonnable, le premier de cette taille dans l’univers d’Évanégyre et dont l’écriture s’avère parfois monstrueusement complexe, et je suis vraiment heureux que ce début de série ait été consacré par le jury du prix. MERCI ! 

Je veux vraiment partager ce prix avec toute l’équipe des éditions Critic, qui croit à Évanégyre depuis 2010 avec La Volonté du Dragon, qui me soutient dans mes envies d’écriture depuis toujours et m’aide à leur donner forme de la meilleure manière dont je sois capable, et qui fait un travail de fou pour vous apporter de beaux livres. Et merci à Florence Bury qui dirige mes ouvrages et suit Évanégyre avec son merveilleux soin du détail. C’est rare de pouvoir grandir avec son éditeur, et j’ai beaucoup de chance de vivre une si belle aventure humaine et littéraire, avec tant de professionnalisme associé à un profond plaisir de création, et avec tant de soutien dans mes projets un peu dingues. Mille mercis, du fond du cœur, à tout le monde et bien sûr à vous toutes et tous lecteurs qui appréciez nos univers et avec qui nous jouons tous ensemble à nous raconter des histoires et à nous interroger sur le monde. Je suis heureux et honoré qu’Évanégyre ait sa place chez Critic.

Merci Elbakin ! Merci Critic ! Merci mes beta-lecteurs, ceux qui me supportent au quotidien, merci vous, lecteurs ! Merci le monde !

Et bravo à tous les finalistes, dont les ouvrages sont tous excellents et que je vous recommande d’aller consulter parce que c’est aussi du plaisir assuré. Voici le palmarès complet (lauréats en gras dans la liste, liens vers les chroniques d’Elbakin) :

Meilleur roman fantasy français :

Meilleur roman fantasy français Jeunesse :

  • Le lien du Faucon, de Delphine Laurent, Oskar éditeur.
  • Sang-de-lune, de Charlotte Bousquet, éditions Gulf Stream.

Meilleur roman fantasy traduit :

  • Le Fleuve Céleste, de Guy Gavriel Kay, éditions L’Atalante (traduction de Mikael Cabon).

Meilleur roman fantasy traduit Jeunesse :

  • Caraval, de Stéphanie Garber éditions Bayard, (traduction d’Eric Moreau).
  • Lady Helen : Le club des Mauvais Jours, d’Alison Goodman, éditions Gallimard Jeunesse ( traduction de Philippe Giraudon).
  • Les sorcières du clan du Nord, d’Irena Brignull, éditions Gallimard Jeunesse (traduction d’Emmanuelle Casse-Castric).
  • Maresi, de Maria Turtschaninoff, éditions Rageot (traduction de Johanna Kuningas).
  • Shikanoko, tome 1, L’Enfant du cerf, de Lian Hearn, éditions Gallimard Jeunesse ( traduction de Philippe Giraudon).

[Source]

2018-01-22T08:36:37+01:00mardi 26 septembre 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Messagère du Ciel, roman lauréat du prix Elbakin 2017 !
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