Léviathan, bande originale : dernière livraison

Et voilà, ultime mise à jour de la page d’inspirations musiclachute-pointsales pour la trilogie Léviathan et l’univers de la Voie de la Main Gauche :

  • Guerriers de l’ardence : UNKLE, Burn my Shadow ; Rob D, Clubbed to Death, Yuki Kajiura, Canta per me, Moby, Extreme Ways
  • Combattre avec style : Overseer, Supermoves
  • Des mondes sans logique : Bohren & der Club of Gore, Sabbat Schwarzer Highway
  • Autres : Two Steps from Hell, Blizzard, venant refléter l’ambiance de Léviathan : Le Pouvoir

À retrouver sur la page dédiée.

2013-12-30T11:51:58+01:00lundi 30 décembre 2013|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Léviathan, bande originale : dernière livraison

Léviathan, bande-originale : 3e mise à jour

Couv. Alexandre Fort

Couv. Alexandre Fort

Hop, en cette période d’activité ralentie en ligne, une nouvelle mise à jour des inspirations musicales pour Léviathan :

  • Guerriers de l’ardence : VAST, Here ; The XX, Intro ;
  • Combattre avec style : Propellerheads, Spybreak!
  • Mondes sans logique : Peace Orchestra, Who Am I ;
  • Personnages : Hans Zimmer, Time… pour Léviathan lui-même.

Tout cela est à retrouver sur la page dédiée.

2013-12-24T17:19:57+01:00jeudi 26 décembre 2013|Dernières nouvelles|3 Commentaires

Léviathan (la Voie de la Main Gauche) – bande originale

lachute-pointsParmi les promesses que je me fais depuis une éternité, il y a nourrir et développer les pages sur les univers des livres, Léviathan et Évanégyre. J’ai remarqué que nombre d’auteurs proposaient la “play-list” de leur écriture, les morceaux qui les ont accompagnés, ou qui étaient évocateurs, et c’est une question qui revient souvent en entretiens : écrivez-vous en musique ?

J’ai toujours plus ou moins rechigné à partager mes propres listes, parce que d’une part, je n’écris pas en musique la plupart du temps ; je l’utilise que pour me mettre dans l’ambiance, et ensuite je coupe tout. D’autre part, j’ai l’impression (peut-être fausse) que les morceaux évocateurs pour moi… ne le sont que pour moi. Je rassemble en plus cela dans des listes ou des thématiques très imagées, plus symboliques qu’autre chose, qui ont du sens pour moi, mais pas forcément pour les autres. (En plus, mes notes sont presque toutes à 50/50 en anglais ou français, selon l’inspiration du moment, ça n’aide pas à rendre ça intelligible.)

Néanmoins, le but de ces portails univers étant de prolonger les livres avec de petits bonus pour les lecteurs intéressés, je m’y risque. (Et la symbolique fait partie du jeu.)

Les morceaux sont pour l’heure organisés selon cinq thèmes :

  • Guerriers de l’ardence
  • À travers les océans de l’univers
  • Amours tragiques
  • Des mondes sans logique
  • Personnages spécifiques

Il s’y trouve déjà un peu de matière, et je l’étofferai probablement de semaine en semaine 

N’hésitez pas à commenter votre retour sur l’idée, la présentation… Et si ce genre de choses vous intéresse, ou pas !

2013-12-11T11:17:20+01:00jeudi 12 décembre 2013|À ne pas manquer|7 Commentaires

Bande originale : « Regarde vers l’ouest »

Plus violent qu’avant-hier cette fois, puisque, pour “Regarde vers l’ouest », initialement parue dans (Pro)Créations, anthologie dirigée par Lucie Chenu aux éd. Glyphe et reprise dans L’Importance de ton regard, on part chez Dark Tranquillity, un des groupes phares du death mélodique.

Ni le groupe ni le genre ne sont mes vraies tasses de thé (je préfère des trucs un peu plus gothiques comme Therion ou Trail of Tears – bon sang, j’ai utilisé la première personne du singulier deux fois dans la même phrase, c’est foutu, ce blog est devenu un vrai blog) mais Hours Passed in Exile, tirée de l’album Damage Done, m’a carrément tapé dans l’oreille. Probablement à cause de son texte qui résonnait curieusement avec la nouvelle, que je n’ai pu citer en exergue à cause d’une dédicace plus importante qui prenait cette place, mais que je regrette de ne pas avoir pu faire apparaître :

And you brought me fires

That you put out

I brought you fires

For I cannot be without

Soit, approximativement : Je t’ai apporté des feux / Que tu as éteins / Je t’ai apporté des feux / Car je ne saurais m’en passer.

Ouais, c’est mieux en anglais. Le texte complet est lisible par exemple ici.

Friendly warningue pour les oreilles délicates qui traînent ici : si AC/DC incarne pour vous le summum de la musique extrême, vous trouverez sans aucun doute que c’est du bruit inécoutable. C’est normal. Le métal, comme le jazz ou le classique, nécessite une certaine éducation de l’oreille avant de pouvoir être apprécié.

2011-01-21T12:40:12+01:00vendredi 21 janvier 2011|Décibels|2 Commentaires

Bande originale : « Le Sang du large »

Couv. Eric Scala

Rien de très original : je suis très, très loin d’être le seul à écrire parfois en musique, voire à trouver au détour de réflexions sur certains morceaux la base d’une histoire, que des accords, une voix, amènent des images. Il m’arrive de tourner en boucle sur un ou deux lors de l’écriture d’une nouvelle, parce que c’est la chanson ou le passage qui m’obsède à ce moment-là ; cela m’aide parfois à asseoir une atmosphère ou une ambiance, parce qu’elle m’évoque quelque chose que seule une psychanalyse poussée et quelques révélations induites par des hallucinogènes pourrait expliciter, dans une grammaire faite d’arcs-en-ciel et de petits insectes multicolores. À la manière d’une bande originale de film, le lien est caché ; c’est une question de ressenti, de synesthésie, comme si une glace à la framboise vous évoquait une feuille d’impôts, parce que vous avez longtemps aimé une femme reconvertie dans l’administration après un échec tragique dans le commerce des sucreries.

Quand il y a lieu (et un rapport direct), je cite donc souvent le texte en exergue, en hommage à cette inspiration involontaire, avec le passage qui est, personnellement du moins, le plus évocateur. Le problème, c’est que ça ne dit jamais rien à personne ou presque parce que j’écoute des trucs, heu, obscurs pour le commun des mortels, dont les noms contiennent souvent du grec, du latin ou du vieil anglais (classe, le vieil anglais).

Ô auguste lectorat, hélas, je suis très accaparé en ce moment et dispose d’un peu moins de temps pour de longs articles à haute teneur en lolz ou en grr, aussi te proposé-je, si tu l’acceptes, de découvrir dans les jours qui viennent les quelques morceaux qui auraient pu, si l’on veut, servir donc ainsi de bande originale à quelques textes. Au programme :

Aujourd’hui, donc, concernant “Le Sang du large” : Scars, de Elegeion, groupe australien parfaitement inconnu du grand public mais dont le second opus, The Last Moment, comporte de très belles compositions. C’est un groupe de doom – black atmosphérique mais qui n’excelle jamais autant, à mon humble avis, que dans des compositions semi-acoustiques et magnifiques telles que Scars, dont il est question (ci-dessous), ou Taste, leur musique plus agressive étant largement plus anecdotique.

Le texte, cité en exergue de la nouvelle (« Ma douleur ne suffit-elle pas à avoir foi en toi ? ») est lisible en entier ici (en anglais bien sûr).

Sinon, ouais, je sais, c’est à se pendre. Mais, sérieux, c’est pas trop beau ?

2011-01-19T15:11:41+01:00mercredi 19 janvier 2011|Décibels|2 Commentaires

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