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Écrire en musique : Void Stasis

En voilà de la musique qu’elle respire la joie de vivre, avec des titres charmants et évocateurs comme « Lung Fibrosis » ou « Costochondrial Separation », et avec une image de couverture qui évoque tout de suite les petits oiseaux et les licornes et pas du tout des univers en état de mort tiède dont les astres sont trop lointains et arides pour jamais pouvoir soutenir la moindre forme de vie – 

Void Stasis est un collectif de dark ambient dont le premier album, Ruins, avait déjà fait parler de lui, mais le suivant, Viral Incubation, est un petit chef-d’œuvre du genre, incroyable et glaçant hommage à toutes les horreurs de SF type Alien : l’expédition arrive sur la planète, découvre des trucs extraterrestres anciens, cosmiques et indicibles, ça tourne au drame atroce, et elle s’en tire de peu dans le sang, les larmes et les explosifs. Absolument pas recommandé pour écrire des scènes ensoleillées et guillerettes, mais si vous versez dans le glauque ou l’horreur, c’est juste parfait (pas du tout invasif pour l’esprit, donne juste assez de textures pour le concentrer). Bizarrement, je tourne beaucoup à ça pour certains passages de La Succession des Âges.

Si vous ne connaissez pas encore, vous pouvez en profiter pour jeter un œil à la page Bandcamp du label Cryo Chamber, éditeur de Void Stasis et autres artistes du même tonneau comme Atrium Carceri ou (mon autre chouchou du moment) Tineidae – j’ai à peine commencé à mettre le doigt dans la machine mais il y a de quoi peupler quantité de sessions d’écriture sinistres – ou de méditations aux frontières des ténèbres.

2024-11-04T00:51:05+01:00lundi 4 novembre 2024|Best Of, Décibels|Commentaires fermés sur Écrire en musique : Void Stasis

Procrastination podcast s09e04 – Les prologues

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « s09e04 – Les prologues« .

Le prologue le plus célèbre de l’imaginaire est probablement celui du Seigneur des Anneaux ; mais Lionel argue que ce n’est plus vraiment possible d’en écrire ainsi de nos jours… Qu’est-ce qui fait un bon, ou un mauvais prologue ? Quels en sont les atouts, les fonctions ? 

Estelle les adore ! Ils peuvent donner un avant-goût du premier chapitre, avancer les enjeux du récit, créer des contrastes, établir le pacte de lecture. (Et elle aime aussi les prologues mythologiques.)

Lionel les voit comme une énorme promesse narrative, qu’il va falloir payer par la suite : attention à ça ! 

De son point de vue de lectrice et traductrice, Mélanie approuve l’aspect accrocheur du prologue, et parle un peu des techniques de Brandon Sanderson.

Références citées

  • X-Files, série TV de Chris Carter
  • Game of Thrones, série TV adaptée des romans de G. R. R. Martin
  • Furiosa, film de George Miller
  • Jean Racine
  • « Les Archives de Roshar », série de Brandon Sanderson

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

Bonne écoute !

2025-01-12T23:46:20+01:00vendredi 1 novembre 2024|Procrastination podcast|Commentaires fermés sur Procrastination podcast s09e04 – Les prologues

La photo de la semaine : En avant

À Aberystywth, au Pays de Galles.

Onwards
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2024-10-30T00:50:42+01:00jeudi 31 octobre 2024|Photo|Commentaires fermés sur La photo de la semaine : En avant

La série Léviathan est quasiment épuisée : dépêchez-vous de commander pour les avoir neufs

J’ai reçu un état des stocks de la trilogie Léviathan et la mer est basse : il ne reste quasiment plus d’exemplaires chez l’éditeur. Une cinquantaine de T1 en grand format, une centaine de T3, et seulement QUATRE tomes 2 neufs.

En conséquence, si vous avez envie de lire la série en neuf, je vous recommande instamment de commander maintenant tout de suite : la série va disparaître des étals, parce que, sortie il y a plus de dix ans, je peux affirmer sans doute possible qu’elle ne sera pas réimprimée.

Couv. Alexandre Fort
Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU
Couv. service artistique Seuil d’après (c) Hannah Stouffer / fstop / Corbis et (c) Bill Varie / Getty Images

La trilogie Léviathan (Chute, Nuit, Pouvoir) suit le trajet initiatique d’un biologiste marin sans histoire, Michael Petersen, qui découvre les mensonges tissant son existence au cours d’une expédition en Antarctique et la nature malléable du tissu même de la réalité. Vendue en thriller, il s’agit en réalité de fantastique qui glisse vers une fantasy urbaine totalement assumée. Ma première saga, qui est complète, et mon premier grand récit choral (deux, puis trois points de vue). Avec le recul des années, je vois évidemment des tas de choses que j’aurais faites différemment aujourd’hui (l’aventure éditoriale n’a pas été non plus exempte de désaccords), mais il y a aussi des éléments dont je reste très fier, en particulier les séquences oniriques et symboliques mélangées à l’ambiance contemporaine, l’aspect roman de voyage et ses décors, la perspective du monde des mages immortels, et les combats mêlant épées rituelles, flingues et manipulations de la gravité.

Attention, contrairement à La Volonté du Dragon épuisé en papier mais toujours disponible en numérique au long cours, Léviathan n’a pas d’édition numérique et n’en aura pas, la faute aux conditions inacceptables proposées par le Seuil à l’époque de la publication de la série (et leur refus catégorique d’en discuter). Donc, quand les livres disparaîtront, ils auront disparu pour de bon, et votre seul recours sera le marché de l’occasion. Et si vous voulez tremper l’orteil dans l’océan, le premier tome existe en poche chez Points (là aussi, il n’en reste beaucoup plus beaucoup, une grosse cinquantaine) avant de vous jeter à l’eau.

2025-02-19T22:40:17+01:00mercredi 30 octobre 2024|À ne pas manquer|2 Commentaires

Stage intensif : Techniques avancées de création de mondes imaginaires (5-6 avril 2025)

Je repasserai en France au printemps prochain, j’en profite pour proposer quelques stages et ateliers, et apparemment, l’atelier à l’école Les Mots « Techniques avancées de création de mondes imaginaires » leur est beaucoup demandé. Merci de votre confiance !

J’ai donc le plaisir d’en proposer une nouvelle édition, les 5-6 avril 2025 :

Qui ne connaît pas le célèbre « Luke, je suis ton père », le pouvoir terrifiant de l’Œil de Sauron ou encore la devise Winter is coming ? 

Des succès planétaires de Star Wars au Seigneur des Anneaux, de Game of Thrones à Harry Potter, l’imaginaire forme la première culture mondiale, transcendant les générations et les nationalités. 

Parler des « littératures de l’imaginaire » est en réalité un raccourci pour désigner les littératures des mondes imaginaires. Ces réalités fictionnelles peuvent être proches de la nôtre dans le cadre du fantastique ou de la fantasy urbaine, ou bien totalement disjointes comme dans le cas de la Terre du Milieu ou de Westeros. Ce qui régit ce monde, qu’il s’agisse de l’horreur indicible des Grands Anciens de Lovecraft, des systèmes magiques extrêmement poussés et complexes de Brandon Sanderson ou de la science du voyage spatial et des relations entre espèces extraterrestres dans Star Trek, constitue ce que l’on peut appeler « l’hypothèse de monde » imaginaire. 

Or la construction d’un monde imaginaire est une entreprise créative à part entière, mais pour laquelle l’auteur ou autrice doit ménager un équilibre délicat : proposer une réalité complexe, tangible et intéressante, sans pour autant ensevelir l’intérêt de son récit sous l’exposition.

Cet atelier vise à explorer les difficultés spécifiques de cette approche à travers des exercices et techniques opérantes afin d’étoffer ses mondes imaginaires, d’y rechercher de nouvelles occasions narratives, et surtout de dynamiser ses histoires et d’esquiver les pièges les plus courants.

Pour suivre cet atelier il est indispensable : 

● De posséder une familiarité de base avec l’imaginaire et ses genres (science-fiction, fantasy, fantastique), que ce soit sous forme littéraire, cinématographique et/ou ludique.

● D’arriver à l’atelier avec une proposition succincte d’hypothèse de monde imaginaire (une demie-page minimum définissant les grandes règles du fonctionnement de la réalité fictionnelle en question selon les intérêts de l’auteur ou autrice : réalité géographique, physique, magique, ou bien sociale, ou encore un peu de tout cela à la fois). Elle servira de base au travail du stage.

Le stage peut être suivi sur place où à distance en visio (ça marche très bien). Pour les inscriptions et plus d’infos, rendez-vous ici – attention, places limitées !

➡️ Créer un monde imaginaire : techniques avancées – à l’école Les Mots

2025-04-07T11:56:29+02:00lundi 28 octobre 2024|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Stage intensif : Techniques avancées de création de mondes imaginaires (5-6 avril 2025)

Les éditions Critic ont 15 ans : une grande évolution… et de la continuité

La troisième grande annonce pour cette étape marquante des éditions Critic, avec qui j’ai le plaisir de travailler en étroite collaboration depuis le tout début, c’est que la maison s’établit dans une toute nouvelle structure indépendante, avec sept nouveaux partenaires, dont j’ai le grand honneur et l’immense plaisir de faire partie !

Il y a quelque chose de très beau et de très spécial, je dois vous dire, à avoir été un jeune auteur tout chevelu à publier son premier roman dans une maison d’édition, et, quinze ans plus tard, à devenir associé de ladite maison. Je vous avoue que j’ai été sacrément ému quand Éric m’a proposé de rejoindre l’aventure.

Et avec Florence à la direction générale, ça va être fantastique : j’ai la chance d’être dirigé par Florence depuis La Route de la Conquête et je peux témoigner de son exigence littéraire, mais aussi de son respect immense pour l’œuvre des auteurs et leurs intentions. C’est une incarnation à mes yeux de l’éditeur·ice idéal·e : quelqu’un qui saisit ce que vous avez voulu faire, regorge de propositions pour vous faire aller plus loin, et ne vous lâche pas, vous secoue jusqu’à avoir amené votre projet aussi haut que vous en êtes capable.

J’envoie aussi un high five à 17000 km à tou·tes les autres partenaires : vous pourrez constater qu’on garde le même esprit, la même approche, mais avec un élargissement de l’équipe, davantage de regards, pour propulser les éditions avec de nouvelles énergies dans les cent cinquante ans à venir.

Ci-dessous, le communiqué :

15 ans que les éditions Critic existent, donc ! 15 ans, dingue comme le temps passe…

15 ans, c’est la bascule, presque le passage à l’âge adulte, le temps de prendre des décisions et de passer à une nouvelle étape pour la maison d’édition :

15 ans après avoir lancé les éditions Critic au sein de la même structure que la librairie éponyme créée il y a 24 ans, Eric Marcelin le fondateur crée une nouvelle société dédiée à la maison d’édition.

Une nouvelle structure pour accueillir plein de changements. Le premier de ces changements ?

L’arrivée de sept nouveaux partenaires ! Mais, pas d’inquiétudes, les éditions Critic demeurent indépendantes 🙂

Parmi ces sept nouveaux partenaires, deux vous sont sans doute déjà bien connus :

👉 Florence Bury, éditrice et traductrice des littératures de l’imaginaire, qui prend la direction générale des éditions après 13 ans de collaboration en tant que prestataire.

👉 l’auteur français Lionel Davoust, qui portera la voix des auteurs et autrices au sein des éditions Critic

D’autres agissaient déjà dans l’ombre et prennent part au changement :

👉 Cathy Lecroc qui continuera de s’occuper des demandes de subventions, du suivi comptable et apportera sa vigilance de chaque instant à cette nouvelle aventure, comme elle a su le faire ces dernières années avec les projets Critic.

👉 Kilian Marcelin qui réalise les livres numériques et pour qui la technologie n’a pas de secrets. Ça peut toujours aider.

Enfin les nouveaux, que vous ne connaissez pas, des néophytes du monde de l’édition, mais aux talents utiles et au regard neuf sur la profession: 

👉 Jean-Gabriel Schoenhenz qui portera son regard affûté sur l’organisation et l’optimisation des éditions Critic au fil du temps.

👉 Nicolas Robe qui nous aidera dans le développement de notre relation client et en communication.

👉 Marc-Olivier Huchet qui saura nous conseiller et guider sur les contrats et négociations ces prochaines années.

Que l’aventure continue ! Vers l’infini et au-delà !! 😀🚀

Mais tu vas faire quoi, du coup ? Et « Les Dieux sauvages », alors ? La suite des projets ?

Luxe, calme et volupté, mes amis : je reste auteur, créateur et agent de la paix avant tout. La Succession des Âges poursuit sa route (j’en dirai un mot rapidement), et si vous vous posez la question, cela ne me limite absolument pas dans ma liberté créative, il m’est toujours possible de travailler avec d’autres maisons, en particulier si le catalogue de Critic n’a pas de place pour certaines de mes envies saugrenues.

La chose la plus importante à l’heure actuelle : je sais que vous attendez la fin de « Les Dieux sauvages », et cela reste ma priorité absolue au quotidien. Et je peux vous dire que je vais me faire rôtir sur des charbons ardents par Florence et Éric.

2024-10-31T01:22:48+01:00jeudi 24 octobre 2024|À ne pas manquer, Le monde du livre|3 Commentaires

Combien de vaults Obsidian peuvent-elles danser sur une tête d’épingle ?

Une question assez fréquente sur les apps de notes, les PKM, la gestion de la connaissance, les knowledge graphs, les Zettelkasten, tous ces machins :

Vaut-il mieux avoir un seul environnement de notes, ou plusieurs ? Une seule ou plusieurs bases de connaissances ?

Plus prosaïquement : t’as une seule vault Obsidian ou plusieurs ?

Avant de répondre à ça, considérons que nous affrontons déjà, par la force des choses, une fragmentation de nos environnements de pensée, ne serait-ce que par les applications utilisées. Une personne un brin intéressée par l’organisation de ses notes aura en général trois ou quatre environnements distincts :

  • Une base de connaissances proprement dite (Obsidian et al.) ;
  • Un environnement de réflexion libre (notes manuscrites / carnets / app de notes à la main type Notability) ;
  • Un journal (potentiellement le carnet sus-cité, ou bien une app spécialisée type Day One) ;
  • Un environnement de capture (encore le carnet, ou bien une app spécialisée type Drafts).

Voire une base bibliographique (Zotero, DEVONthink, etc.)

Dans les faits, donc, on est déjà forcé de séparer les environnements dans une certaine mesure, pas forcément selon les projets, mais leur étape de réflexion ; en gros, on part de la capture pour développer dans un journal et/ou réfléchir librement pour distiller les idées dans sa base de connaissances (et produire un résultat, évidemment).

Et je pense que ça n’est pas génial pour la création. En effet, on veut pouvoir passer librement d’une étape à l’autre afin de développer ses idées ; dans l’absolu, il n’y a pas de frontière claire établissant « à partir de maintenant, cette idée floue est un projet à développer assidûment » – même si on peut parvenir à une telle décision, et qu’on le fait. Mais dans les étapes d’élaboration, il n’est pas rare, je crois, de paumer ses idées : « dans quel carnet se trouve cette fantastique idée de roman que je veux faire maintenant tout de suite ? »

Ce serait chouette de pouvoir conserver le continuum intact.

La création, l’émergence et le développement des idées, en particulier dans le domaine artistique, se nourrissent d’absolument tout. D’une photo prise sur le vif dans la rue lors d’un voyage, d’un échange à cœur ouvert avec un ami, d’une réflexion dans son journal, de notes griffonnées sur un coin de table. J’ai mis au point une de mes plus importantes prises de conscience créatives récentes dans un moment de désœuvrement entre deux portes parce que je cherchais à démontrer la nocivité du système PARA pour la création artistique. On ne réfléchit jamais aussi bien que quand on se laisse vagabonder ; c’est pourquoi tant de bonnes idées viennent sous la douche.

Donc : combien de vaults Obsidian ? Combien, au sens large, d’environnements de pensée ?

Un.

Un seul, qui compilera au maximum tous les éléments formant la réflexion conduisant à la création : captures à la volée, notes manuscrites, Zettelkasten, et bouts et constructions relatifs aux projets en cours, notés parce que c’est chouette, sans nécessairement viser d’objectif dans un premier temps – dans un tel environnement, il vient un moment où l’objectif se décante et où une idée est devenue suffisamment mûre pour engendrer une production assidue.

C’est une distillation continue.

Deux caveats à ça; quand même :

Si vous avez une activité purement externe sans rapport aucun avec la création (un boulot alimentaire nécessitant des notes), vous pouvez décider de la séparer de votre environnement de réflexion mais, même là, je trouve cela dommage. Cette activité, même si vous la détestez, fait partie de vous. Il y a sans doute des éléments créatifs à en tirer. Ne serait-ce, le cas échéant, que votre détestation qui peut devenir une satire, une parodie, ou juste une catharsis.

Et, comme dit plus haut, les outils impliquent en général une séparation des étapes de réflexion. Aucune app ne fait tout bien : Obsidian fonctionne mal pour les notes manuscrites, la capture de photos avec Drafts est puissamment compliquée, Notability ne sait pas faire de liens entre notes.

C’était jadis la belle promesse d’Evernote qui demeure, encore aujourd’hui, peut-être l’app qui arrive à recouvrir un maximum de domaines d’activité. Hélas, en 2024, il est impensable d’employer un service qui ne soit pas chiffré de bout en bout, et Evernote fait franchement tout de plus en plus mal.

Mais c’est en train de devenir mon nouveau Graal : l’application qui me permettra de tout combiner (et les pratiques que je peux lâcher pour y parvenir).

Knowledge graph, un exemple
2024-10-21T06:16:43+02:00mardi 22 octobre 2024|Best Of, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Combien de vaults Obsidian peuvent-elles danser sur une tête d’épingle ?

Critic a 15 ans : 15 livres à 1,99€ en numérique dont La Volonté du Dragon et La Messagère du Ciel

Deuxième volet des nouvelles relatives aux 15 ans des éditions Critic : après 15 titres en papier à 15€, 15 titres en numérique à 1,99€ à partir de début novembre :

Incluant La Volonté du Dragon et La Messagère du Ciel, deux portes d’entrée idéales dans l’univers d’Évanégyre : le premier est un court roman indépendant, épuisé depuis longtemps en papier, le second est le premier tome de la saga « Les Dieux sauvages ».

Mais ça n’est pas tout. Il y a un gros truc qui devrait être annoncé ce soir sur les réseaux des éditions Critic… surveillez Facebook, par exemple, ou Instagram selon votre génération OUI BON ÇA VA HEIN.

2024-12-02T01:54:59+01:00lundi 21 octobre 2024|À ne pas manquer|2 Commentaires

La photo de la semaine : Lampes

J’ai un truc avec les espaces liminaux.

Lamps
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2024-10-16T01:42:29+02:00vendredi 18 octobre 2024|Photo|Commentaires fermés sur La photo de la semaine : Lampes
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