Ce week-end, retrouvons-nous aux Imaginales !

Affiche Julien Delval

Et voilà, auguste lectorat, le plus grand rendez-vous de la fantasy de l’année (et l’un des quelques majeurs dans le domaine de l’imaginaire) se déroule cette fin de semaine. « Fin de semaine » au sens français et non québécois, car le festival commence jeudi 18 mai et se termine dimanche 21. Pour ma part, il commence le mercredi, puisque se tient la masterclass des Imaginales que j’ai la joie d’animer cette année encore avec Jean-Claude Dunyach.

Je présenterai La Messagère du Ciel, premier volume de la trilogie « Les Dieux sauvages », et j’aurai aussi bien sûr aussi la réédition poche de Port d’Âmes chez Folio SF. Je participe également à nouveau cette année à l’anthologie officielle du festival, mais ce sera pour l’entrée de demain (j’avais prévenu que j’avais beaucoup de choses à rattraper…). J’aurai l’honneur d’accompagner deux invités étrangers en traduction sur les tables rondes, cette année Christopher Priest et Jim C. Hines (je m’occupe de sa série Magie Ex Libris à L’Atalante par ailleurs, dont le deuxième tome, Lecteurs Nés, vient de sortir – là aussi, j’en reparlerai dans une future entrée).

En attendant, voici le programme des cafés littéraires où j’interviendrai autour de mon travail. Je signale tout particulièrement la présence d’un entretien d’une heure  autour de l’univers d’Évanégyre, dimanche à 12h et mené par Christophe de Jerphanion : on parlera probablement de la genèse de l’univers, de son propos, de son rapport à l’histoire… et des meilleures portes d’entrée. (Spoiler, il n’y en a pas – tout est indépendant.) Christophe confie sur Facebook que « chaque année, un auteur viendra présenter l’univers qu’il a imaginé » ; je suis ravi d’ouvrir le bal de cette initiative avec Évanégyre !

Current Month

juillet

No Events

Je suis vraiment impatient d’y être, même si je finis chaque année sur les rotules, mais ces journées, c’est du plaisir en barres ! À Épinal, donc !

2017-05-23T16:19:12+02:00mardi 16 mai 2017|À ne pas manquer|7 Commentaires

La Messagère du Ciel est maintenant disponible partout ! + baisse de prix numérique sur Évanégyre

Et donc, après la sortie de Port d’Âmes en poche, l’autre grande nouvelle, c’est bien sûr la sortie de la nouveauté, La Messagère du Ciel, premier tome de la trilogie « Les Dieux sauvages ».

Couv. Alain Brion

« Écoute Ma parole : l’Éternel Crépuscule cachera le soleil, étouffera les plantes et changera les hommes en bêtes, car Aska, le Dieu de la Nuit, ne tolère d’autres enfants que les siens. »

Mériane est une trappeuse, une paria, une femme. Autant de bonnes raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui prêche la haine des femmes soutient un système féodal.
Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner l’espoir de tout un peuple.

« Les Dieux sauvages » se déroule dans l’univers d’Évanégyre, entre l’époque impériale de La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête, et la reconstruction de Port d’Âmes, mais constitue comme toujours une histoire parfaitement indépendante du reste. C’est une époque sombre, post-apocalyptique, où l’humanité révèle ses plus sombres penchants, mais où aussi, certains caractères conservent une notion aiguë d’une certaine justice et se battent pour conserver une parcelle de décence dans le monde.

Le premier chapitre est lisible gratuitement en ligne ci-dessous ou à part sur cette page pour plus de commodité :

Photo Mathieu Betton

Le livre venant de sortir, peu d’avis sont encore tombés, mais le livre est d’ores et déjà Coup de cœur fantasy 2017 pour la libraire Decitre (Grenoble), ce qui me fait extrêmement plaisir !  (et me rassure beaucoup, j’avoue, alors que je suis dans l’écriture du tome 2, La Fureur de la Terre)

Premier volume d’une trilogie qui s’annonce d’ores et déjà tonitruante et pleine de fureur. Une lecture rythmée par la multiplicité des points de vue et autant de personnages marquants, d’échanges intenses et de rebondissements bien dosés. Ajoutez à cela une ambiance singulière, des mots qui portent, qui pèsent. L’intelligence du récit couplée au parfum d’une aventure épique et spirituelle. Grisant ! [Source]

La Messagère du Ciel est disponible simultanément en version papier et numérique chez tous les libraires et distributeurs. Mais ce n’est pas tout :

Baisse de prix numérique sur Évanégyre

Pour fêter la sortie du roman, les trois livres précédemment sortis dans l’univers d’Évanégyre (indépendants, je le rappelle !) baissent de prix.

Dédicaces et festivals à venir

Nous sommes en pleine saison de printemps des festivals littéraires, et j’aurai le plaisir d’en sillonner quelques-uns pour vous présenter La Messagère du Ciel. Les prochains seront :

Current Month

No Events

Ouf ! Voici beaucoup de choses, mais c’est un projet qui m’occupe depuis plus d’un an à présent, et qui va m’occuper pour encore un an de plus, avec la sortie des deux volumes suivants, La Fureur de la Terre (publication automne 2017) et L’Héritage de l’Empire (publication printemps 2018). J’espère que nous aurons l’occasion de discuter déjà de La Messagère du Ciel lors des événements à venir très bientôt, dont le prochain, bien sûr, sera le rendez-vous incontournable des Imaginales. À très bientôt ! 

2017-05-30T18:36:18+02:00jeudi 11 mai 2017|À ne pas manquer|2 Commentaires

Soirée de lancement mercredi pour La Messagère du Ciel, à Rennes !

Eh bien, auguste lectorat ! Avec la sortie de La Messagère du Ciel, jeudi dernier, s’ouvre le premier volet de la trilogie « Les Dieux sauvages », un gros (énorme) (déraisonnable) projet sur lequel je travaille depuis un an et demi. Je suis très content de pouvoir enfin dévoiler ce projet au long cours !

Pour en parler plus en détail, mercredi soir (10 mai) se tiendra une soirée de découverte et de lancement du livre à Rennes, à l’Heure du Jeu. Ce sera l’occasion d’en discuter autour d’un entretien, et, si j’ai été convaincant (j’espère), de repartir avec, un petit orque dessus en prime, si l’on en a envie bien entendu !

L’Heure du Jeu se situe 11 boulevard Magenta, à Rennes (l’une des deux « rues de la gare ») et nous nous retrouverons à partir de 20h00 pour l’entretien (et boire un verre, bien entendu).

2017-05-12T18:12:32+02:00lundi 8 mai 2017|À ne pas manquer|2 Commentaires

Découvrez en avant-première le premier chapitre de La Messagère du Ciel !

Couv. Alain Brion

La publication de La Messagère du Ciel approche, et j’avoue une certaine fébrilité tandis que je viens de franchir le premier quart du deuxième tome, La Fureur de la Terre : comment ce début sera-t-il reçu ? Dans le même temps, c’est aussi une bonne chose ; forcé d’avancer, je ne le fais qu’en me fiant à mes instincts, ce qui, en ce qui me concerne, est souvent une bonne chose.

Ça n’empêche qu’après tout ce temps de préparation et d’écriture, je commence à être très impatient de la sortie ! J’ai reçu mes exemplaires (voir ci-contre), le livre est solide, épais (700 pages !), superbement fabriqué comme toujours avec Critic.

Et, à l’approche de la sortie (qui aura lieu le 4 mai, contrairement à ce que j’ai dit il y a un mois – et soit le même jour que Port d’Âmes chez Folio SF : c’est pile dans une semaine !), nous vous proposons avec les éditions Critic de découvrir le prologue et le premier chapitre entier dans leur intégralité.

Il est lisible ci-dessous dans votre navigateur, sinon, pour davantage de commodité, sur cette page à part.

Bonne lecture ! 

2017-05-12T18:12:39+02:00jeudi 27 avril 2017|À ne pas manquer|3 Commentaires

Considérations lexicales oisives dans le cadre d’Évanégyre

Illus. Fred Navez

Une fois n’est pas coutume, mais cela peut le devenir. Évanégyre prenant de l’essor avec la publication prochaine de La Messagère du Ciel (18 mai, pour mémoire), le portail univers dédié commençant à se préciser un peu et étant invité au congrès Boréal pour parler spécifiquement de construction d’univers de fantasy, je pensais commencer à discourir peut-être un peu plus en profondeur de cet aspect-là du travail.

Dire qu’un auteur se préoccupe du sens des mots et de leur justesse est un truisme (gruiiik), mais pour un auteur d’imaginaire, la difficulté est peut-être double. En effet, non seulement il faut se préoccuper de leur justesse, mais il convient de se soucier de leur adéquation à un contexte fictif pour lequel, par définition, les règles sont celles établies par le récit.

Et, dès lors que l’on cherche à proposer un univers fictif imaginaire cohérent et auto-suffisant, on se heurte à quantité de questions passionnantes, mais qui peuvent rapidement parasiter le travail principal – la narration d’une bonne histoire. Après tout, pourquoi les années devraient-elles être découpées en mois, semaines de sept jours, rythmées par des saisons semblables aux nôtres ? Pourquoi, la réponse est relativement immédiate : pour apporter une forme de familiarité au lecteur dans un contexte caractérisé par la différence, et que si, pour arriver à suivre une chronologie, il faut réapprendre les mois de l’année, les noms des jours, et s’habituer à des heures durant 172 minutes qui ne font pas elles-mêmes 60 secondes, le lecteur risque fortement d’abandonner avant que l’histoire n’ait accompli son premier pas.

Tolkien a immensément défriché le champ de la création lexicale et linguistique dans le contexte de la création d’un univers imaginaire. (Il l’a même tellement défriché qu’il a piqué la moissonneuse-batteuse, l’a conduite jusqu’à l’autre bout de la commune et se prépare à attaquer les champs du département d’à-côté tandis que le reste d’entre nous est encore en train de se demander par quel bout tenir la faux sans se blesser.) Une notion, dans la création de la Terre du Milieu, m’a toujours semblé apporter une élégante solution à ce problème. Le Seigneur des Anneaux est censé être une traduction (par Tolkien lui-même) d’un récit historique, Le Livre rouge de la Marche de l’Ouest, rédigé par Frodo et Bilbo. Cela donne une justification à l’emploi de référents « terrestres » : on ignore peut-être ce qu’étaient unités, noms à l’origine ; mais le « traducteur » aura obligeamment fait tout le travail pour rendre le récit compatible avec le monde du lecteur. D’ailleurs, Tolkien avait fourni des directives à ses traducteurs (en d’autres langues terrestres) expliquant quels noms étaient « signifiants » en anglais et nécessitaient donc une adaptation (Baggins devenant Sacquet ou Bessac par exemple) et lesquels ne l’étaient pas (parce que dérivant typiquement d’une autre toponymie ou étymologie que celle de l’anglais, comme les langues elfiques).

Forcément, étant traducteur par ailleurs, cette approche ne peut que me ravir, et j’avoue l’avoir adoptée dans le for intérieur de moi-même dans la création et la rédaction d’Évanégyre. Certaines langues fictives du monde existent à des niveaux de développements plus ou moins poussées – tout particulièrement celle de l’Empire d’Asreth. (On m’a parfois demandé s’il y avait une erreur ou un repentir avec les deux graphies du nom : Asreth dans La Volonté du Dragon, Asrethia dans Port d’Âmes, changements de l’un à l’autre au fil de La Route de la Conquête. C’est au contraire parfaitement volontaire et cette simple syllabe a une signification énorme, qui sera expliquée un jour, lors d’une visite ultérieure à la période concernée.) Il existe au minimum, pour la plus infime ethnie d’Évanégyre, des syllabaires pour la simple cohérence des noms et sonorités.

La traduction de l’imaginaire offre son lot de défis uniques au domaine (ce sera une histoire pour un autre jour). L’un d’eux, en particulier, concerne le rapport de la langue cible (celle vers laquelle on traduit) à sa propre étymologie. (La traduction – et l’écriture – de romans historiques présente le même défi.) Pour faire simple, si je traduis un nom commun dans un contexte historique, il faut que je m’assure de ne pas employer de termes modernes. Ce qui paraît une évidence. « Je vous recontacte » (en plus d’être un anglicisme moche) fera très bizarre à la cour de Louis XIV. Alors, bien sûr, on ne parlait pas exactement le même français à la cour de Louis XIV qu’au XXIe siècle, et un style romanesque relativement simple aujourd’hui constitue déjà un anachronisme, mais c’est là l’effet de réalité qu’on vise. Et donc, il s’agit, dans l’exercice de la traduction, mais aussi de l’écriture, de ne pas employer de termes trop modernes. Typiquement, de jeter un œil à leur étymologie et de voir si c’est cohérent avec la période dépeinte (ou qui semble dépeinte dans le cas d’une inspiration fantasy).

Le défi se retrouve dans l’écriture, bien évidemment. Dans un cadre de fantasy – plus spécifiquement la société post-apocalyptique revenue à l’époque médiévale de la trilogie « Les Dieux sauvages » – puis-je dire « être au courant » ? Que dire de l’expression « autant / au temps pour moi » ? Quid de la connotation moderne potentiellement malheureuse du verbe « afficher », comme « afficher une expression », qui peut faire penser à nos écrans ?

Auguste lectorat, critique potentiel, sache que les mots et expressions ont été pesés au mieux de ma compétence, et que les éventuels anachronismes n’en sont pas nécessairement.

Que parler de « citoyen » ou de « nation » dans le cadre de la Rhovelle des Âges sombres (des notions qui évoqueraient plutôt chez nous l’après Révolution française et non l’Ancien régime) n’est pas une erreur mais un reflet d’un monde qui fut jadis unifié par un Empire dont il ne reste que des bribes.

Que, oui, j’ai écrit dans La Messagère du Ciel « autant pour moi » et non « au temps » à dessein. La sagesse répandue veut qu’on privilégie « au temps » car ce serait une expression d’origine militaire (pour désigner celui qui ne suit pas le rythme du pas du régiment : on le reprend, « au temps pour lui »). Sauf que les étymologues diffèrent sur ce point et que certains pointent « autant » comme une possibilité viable, surtout en la rapprochant de l’anglais curieusement semblable « so much for ». Le personnage employant cette expression dans La Messagère du Ciel n’ayant aucune expérience militaire, cette histoire de pas n’ayant pas cours en Rhovelle, employer la graphie contestée ne devient pas une erreur, mais un point signifiant.

« Être au courant » date d’avant la généralisation de l’électricité. Ce « courant »-là représente ce qui est en cours ; ce sont les « affaires courantes » – et être au courant, c’est donc avoir la connaissance de ce qui est en cours. « Afficher » est évidemment bien antérieur aux écrans. Cependant, dans ces deux derniers cas, il peut exister malgré l’étymologie un potentiel parasitisme de l’esprit du lecteur moderne qui peut être gênant dans le cadre d’une société qui a perdu sa technologie – je ne les ai pas bannis, mais je les ai maniés avec précaution.

De la même façon, cela fait longtemps que j’ai banni dans la plupart de ma fiction l’emploi du subjonctif passé. Personne (à part les correcteurs – et ils ont raison !) ne m’en a fait la remarque, mais c’est un autre point sur lequel il faudra que je m’explique. Ce sera une histoire pour un autre jour. Dans l’intervalle, bonne nuit, les petits.

2019-06-04T20:31:15+02:00mercredi 12 avril 2017|Best Of, Expériences en temps réel|4 Commentaires

La Messagère du Ciel est gold : sortie le 4 mai !

Couv. Alain Brion

Gold, dans le milieu du jeu vidéo, ça veut dire finalisé et prêt à être envoyé au pressage. (Au pressage. Ha ha. Comme autrefois, quand on mettait des jeux sur des DVD. Ou même des CD. Des disquettes. Rions un peu : le premier X-Wing sur PC, sorti en 1993 – le jeu pour lequel j’ai quitté le Macintosh – pardon, communauté, je me suis racheté depuis – tenait sur 5 disquettes HD, soit 7 Mo. Mon projet Scrivener pour « Les Dieux sauvages » pèse actuellement DEUX CENTS Mo.)

Donc, oui, La Messagère du Ciel, premier tome de la trilogie « Les Dieux sauvages », est gold : corrigé, finalisé, bon à tirer, mis en page, envoyé à l’imprimeurLe roman sortira le 4 mai dans toutes les bonnes librairies, et sera disponible bien entendu aux Imaginales. Toutes les informations idoines sont présentes sur la page consacrée au livre. Et pour mémoire, mai sera un mois riche pour Évanégyre, puisque la réédition de Port d’Âmes chez Folio SF sortira le même jour.

En passant également, je retravaille en parallèle (entre mille autres choses) sur un portail univers digne de ce nom pour Évanégyre – La Messagère du Ciel représente le quatrième ouvrage dans cet univers, à une époque encore différente, et il y a certaines questions régulières auxquelles il devient urgent d’apporter des réponses claires, comme l’ordre des récits dans la chronologie ou l’ordre de lecture souhaité (aucun, justement, c’est toute l’idée, et je ne le répéterai jamais assez, hormis pour les tomes de « Les Dieux sauvages » qui sont à suivre, bien sûr).

J’ai rarement eu autant hâte qu’un livre sorte : j’ai terminé la rédaction en novembre dernier, je travaille sur cette série depuis un an – je suis impatient de pouvoir le partager enfin, surtout que je continue le voyage de mon côté, avec La Fureur de la Terre, le volume 2 à paraître cet automne !

2017-04-27T15:12:43+02:00lundi 10 avril 2017|À ne pas manquer|17 Commentaires

Découvrez la couverture et le résumé de La Messagère du Ciel !

L’information a été communiquée, et je suis vraiment très heureux de pouvoir enfin partager les premiers éléments solides sur La Messagère du Ciel, le premier tome de la trilogie « Les Dieux sauvages » à paraître en mai !

Alors…

Couv. Alain Brion

… Alors, l’information a été réservée en primeur à Elbakin.net, et il serait peu sympathique de la récupérer tout de suite.

Du coup, je vous invite à aller sur la page correspondante pour découvrir la couverture dans son intégralité, ainsi que le résumé ! 

« Écoute Ma parole : l’Éternel Crépuscule cachera le soleil, étouffera les plantes et changera les hommes en bêtes, car Aska, le Dieu de la Nuit, ne tolère d’autres enfants que les siens. »

2017-04-16T16:34:57+02:00jeudi 9 mars 2017|À ne pas manquer|2 Commentaires

La Fureur de la Terre gronde au loin

Nous y voilà ! Je travaille en parallèle sur les corrections éditoriales de La Messagère du Ciel (qui sort en mai, au moment des Imaginales, où je serai ; pour mémoire, Port d’âmes ressort en poche chez Folio SF un peu avant), mais les livres ne s’écrivent pas tout seuls (je dis ça tellement souvent, y aurait-il un vœu inconscient derrière ?).

Difficile de dévoiler dans quel état je reprends la situation, vu qu’on parle d’un livre qui n’est même pas encore sorti (la dissonance cognitive est assez étrange, j’avoue, et je mesure tout à fait et remercie les éditions Critic pour leur confiance) mais, heu, il y a un sacré nombre de choses à démêler. Me voilà reparti pour la deuxième étape de ce voyage au long cours en compagnie de ces personnages, et j’ai hâte de dévoiler et de conclure un certain nombre de fils d’intrigue… mais pas tous, évidemment, puisque la seconde partie de mon année sera occupée par l’écriture du troisième et dernier tome, L’Héritage de l’Empire, dont la sortie est prévue en mai 2018.

2017-03-07T16:46:59+01:00lundi 13 février 2017|À ne pas manquer|3 Commentaires

Les projets de l’année, en entretien sur ActuSF

ActuSF : Sur quoi travailles-tu ? Quels sont tes projets ?
Il y a en fait beaucoup de choses qui vont se concrétiser cette année après avoir été préparées l’année dernière. Je me suis lancé dans une trilogie de fantasy post-apocalyptique intitulée « Les Dieux sauvages » dont le premier volume, La Messagère du Ciel, sortira en mai. Et…
… Et je ne vais pas vendre toute la mèche ici, tiens ! Merci au site de référence ActuSF qui m’a proposé, comme à tous les camarades, la désormais classique interview de début d’année, pour établir le paysage de 2017 et de ses publications. Il y est question de La Messagère du Ciel et même déjà de sa suite, La Fureur de la Terre. C’est à lire ici ! 
2017-03-16T11:43:36+01:00mardi 7 février 2017|À ne pas manquer, Entretiens|Commentaires fermés sur Les projets de l’année, en entretien sur ActuSF

Rennes : venez découvrir le programme de Critic en 2017

Un mot rapide pour signaler que demain à Rennes, au splendide bar l’Heure du Jeu, les éditions Critic vous convient à une soirée spéciale pour revenir sur l’année 2016 et, surtout, présenter le catalogue à venir de l’année 2017.

J’y présenterai notamment La Messagère du Ciel et tout le projet de la trilogie « Les Dieux sauvages » ainsi que son insertion dans l’univers d’Évanégyre (même si ce récit est, j’insiste à nouveau, indépendant). À ce que je sais, Thomas Geha sera présent également et il y aura une petite séance de dédicaces ensuite.

2017-01-20T10:28:37+01:00mardi 10 janvier 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Rennes : venez découvrir le programme de Critic en 2017
Aller en haut