Arrh, arrh

Couv. Julien Delval
De retour d’Épinal et des Imaginales, après une semaine incroyable hors du temps, avec des rencontres merveilleuses, en coulisses et en signature, un public d’une gentillesse phénoménale et le plaisir d’interpréter pour deux noms immenses de la fantasy moderne. Je prépare un petit mot et quelques photos pour les mauvais élèves qui n’étaient pas là (bouh ! bouh !) mais, pour l’heure, j’ai des corrections à faire !
Je t’abandonne pour aujourd’hui, auguste lectorat, avec une très sympathique critique de Mythologica sur l’anthologie du festival Victimes et Bourreaux (Mnémos), dirigée par Stéphanie Nicot et où figure « Au-delà des murs » : c’est là.
En attendant : merci à tous pour ces belles journées !

Une petite causerie sur la traduction : j’ai été très honoré de recevoir quelques questions d’un étudiant en langues pour son mémoire universitaire, qui traitait principalement du lien que le traducteur nourrit avec sa ou ses langues de travail. Les propos n’engagent évidemment que moi et mon propre cas, je ne sais pas si les réponses sont bonnes mais certaines des questions l’étaient sacrément en tout cas !
Une question reçue soulevant un point assez peu connu du grand public concernant la rémunération des auteurs et des créateurs, et sur lequel il me paraît indispensable de faire un point :
Une petite info sympa en passant qui t’intéressera certainement, ô auguste lectorat : à partir du 6 juin sera diffusé sur la chaîne Nolife (et