“Changelin”, nouvelle de science-fiction à paraître dans Dimensions technosciences @venir

Héhé, les plus observateurs et trices l’avaient vu subrepticement dans la barre de progrès : une petite surprise était apparue, et comme l’un des anthologistes a annoncé la nouvelle, je suis ravi de pouvoir en faire de même.

Changelin” est une nouvelle de science-fiction qui figurera au sommaire de la très belle anthologie Dimensions technosciences @venir, dirigée par Thierry Bosch et Jean-Claude Dunyach. L’ouvrage est réalisé à l’occasion du cinquantenaire du  Laboratoire d’Analyse et d’Architecture des Systèmes de Toulouse (LAAS-CNRS) et présente plusieurs particularités :

  • Toutes les thématiques abordées s’inspirent, de près ou de loin, des sujets de recherche actuels du laboratoire ;
  • Une partie érudite complète chaque nouvelle : un article vient établir un dialogue entre la fiction et la réalité, explicitant, développant les sujets abordés, l’état de la recherche, et les perspectives d’avenir ouvertes par le domaine.

Jean-Claude Dunyach, présentant l’ouvrage sur Facebook, en parle bien mieux que moi :

Ce dialogue, particulièrement riche, est la raison pour laquelle j’ai eu envie de collaborer à cet ouvrage. J’aime bien les anthologies qui ne se content pas d’être des accumulations de textes mais qui ouvrent sur des débats de société (Demain le travail à la Volte, voire Rêver 2074, si, si) et je pense que celle-ci en fait partie. C’est un objet hybride et inattendu, l’alliance entre des auteurs de SF prospectivistes et un laboratoire en pointe sur plein de sujets susceptibles de changer la société en profondeur (lasers, robots, exploration spatiale, agriculture du futur et j’en passe) qui attaquent de front la question du monde créé par ces technologies, à la fois sous l’angle fictionnel et de la vulgarisation scientifique.

Je suis absolument ravi et honoré d’avoir participé à cet ouvrage au magnifique sommaire, et je remercie profondément les directeurs d’ouvrage (entre autres pour leur patience !).

Au sommaire de l’anthologie

  • Pierre Bordage
  • Lionel Davoust
  • Sylvie Denis
  • Catherine Dufour
  • Silène Edgar
  • Raphael Granier de Cassagnac
  • Xavier Mauméjean
  • Olivier Paquet
  • Jean-Louis Trudel

Et pour la partie articles :

  • Roland Lehoucq
  • Francis Saint-Martin

Couv. Grillon

De quoi parle “Changelin” ?

Changelin” est donc un texte de SF pure et dure. L’Europe en 20XX est devenu un rêve de start-upper : propreté, sécurité, ultra-connexion. Sebastian est un ado surprotégé par ses riches parents ; condamné à ne vivre les contacts sociaux que par projection en réalité virtuelle, il a soif d’amitié, de tangibilité. Et l’approche de l’âge adulte éveille en lui des questions potentiellement destructrices sur sa vie et ses origines.

L’anthologie sera publiée chez Rivière Blanche (page de l’ouvrage) en octobre, et sera disponible dès fin septembre en numérique. À l’occasion, je serai présent notamment au festival Scientilivre à Toulouse, les 20 et 21 octobre. Le thème cette année est “animaux” et j’aurai peut-être des choses à contribuer sur le sujet après mon volontariat de cette année auprès d’Orca Guardians.

2018-10-15T17:29:19+02:00jeudi 16 août 2018|À ne pas manquer|8 Commentaires

Ce week-end, ce sont les Rencontres de l’imaginaire en Brocéliande…

… et c’est vraiment un chouette événement où il faut venir : le décor est magnifique, un château dans un beau parc avec un lac – que demander de plus pour une fête de l’imaginaire, du conte et de la fantasy ?

Pour ma part, j’y serai le week-end en dédicace notamment avec Le Verrou du Fleuve, mais il y a des réjouissances toute la semaine autour de Comper et Concoret. Le programme complet est disponible ci-dessous (cliquez pour agrandir) :

À ce week-end !

2018-07-11T16:54:43+02:00lundi 16 juillet 2018|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Ce week-end, ce sont les Rencontres de l’imaginaire en Brocéliande…

Des réponses à vos questions sur La Messagère du Ciel et « Les Dieux sauvages »

Couv. Alain Brion

Hey ! Il y a quelques semaines (je suis en retard, un peu comme toujours, pardon…) j’ai reçu un message très sympa autour de La Messagère du Ciel (me faisant part de son plaisir de lecture : merci !) avec quelques questions attenantes. Suivant toujours l’adage, quel que soit le domaine – si une personne ose poser une question, trois de plus se les posent peut-être en silence – et puis pour discuter davantage publiquement autour de la série, parce que c’est sympa, quoi, je pensais y répondre publiquement. Si d’aventure vous en avez d’autres, des questions, et si ce format d’échange vous plaît, n’hésitez pas à les poser en commentaires, c’est tout à fait une formule que je pourrais revisiter, et sinon, j’ai plein d’articles sur l’écriture et la productivité en stock, donc pas de problème.

Une lecture bien agréable ! Aux personnages bien posés. J’ai surtout apprécié le “duo” Mériane/Dieu, le caractère bouillant de celle-ci et la patience parfois exaspérée de Wer, ainsi que ses nombreux moments de sagesse (mais c’est Dieu, après tout !). Je lirai la suite avec plaisir. Si tu permets, j’ai quelques questions :

1) Concernant les Enfants d’Aska, je ne serais pas particulièrement surpris si tu me disais que ton inspiration est à chercher du côté de Warhammer ? ???? En lisant certains passages, j’avais l’impression de revivre quelques moments sur Warhammer online avec mon gros Élu de Tzeentch.

Alors, je suis content que cette question revienne, parce qu’elle fait surface de loin en loin, souvent en salon autour de la couverture de La Route de la Conquête. Du coup, cela me permet de pouvoir dire qu’il n’en est rien. Je connais extrêmement mal l’univers de Warhammer Fantasy (même si j’ai eu une boîte quand j’étais ado, mais j’ai dû faire trois parties à tout casser – je n’avais pas la patience pour peindre les figurines) et j’ai encore plus longtemps tout ignoré de 40k. (À force qu’on m’en parle, je m’y suis intéressé, et j’avoue que le douzième degré bourrin m’amuse bien.) J’ignore précisément qui est Tzeentch, par exemple, à part que c’est un des dieux du chaos. Pour les enfants d’Aska, l’inspiration se trouve avant toute chose dans l’esthétique biomécanique (employée dans le tatouage, par exemple) mais en version cauchemardesque. Je me suis aussi énormément nourri de Lovecraft à un âge probablement trop tendre (je considère qu’il a capturé l’essence de la terreur existentielle de l’homme, teintée de sublime, d’une manière peut-être indépassable) et cela irrigue pas mal mon approche de la fascination et de l’inhumain, à travers « Les Dieux sauvages » mais aussi “Léviathan” (Andrew León le cite, d’ailleurs, à la fin de Léviathan : la Nuit). Je pense que beaucoup de visions de l’horreur modernes remontent à lui : du coup, j’ai peut-être cette inspiration là en commun avec d’autres.

2) Est-ce que tu prévois d’en dire plus au sujet du Vagabond ? À moins que ce ne soit un personnage qui se retrouve dans La Volonté du Dragon (que je n’ai pas encore lu) ? Voire dans La Route de la Conquête (que j’aurais oublié) ?

Je crois qu’on a à peu près tous les éléments dans La Messagère du Ciel pour suivre les enjeux du passage en question (en tout cas c’était l’intention), mais si l’on veut en savoir plus, l’histoire de Mandre et de la cause de la chute des Mortes-couronnes est traitée dans « Quelques grammes d’oubli sur la neige », le dernier texte de La Route de la Conquête. Mettre en rapport cette histoire et La Messagère du Ciel les éclaire en principe tous les deux d’une façon nouvelle (même si ça n’est pas nécessaire pour suivre l’un et l’autre !).

3) On te l’a sûrement déjà demandé, mais peut-on s’attendre à un bouquin qui concernera la chute de l’Empire ? J’imagine déjà connaître la réponse (un truc pareil doit être tellement fun à raconter !), mais je n’ai rien contre une confirmation, huhu.

Ouiiiiiiii ! (voix emplie de frustration et d’envie à parts égales) Mais c’est probablement le projet le plus ambitieux d’Évanégyre. Genre encore plus que « Les Dieux sauvages ». Il y a donc deux aspects à prendre en compte avant de se lancer là-dedans : d’une part, une question de compétence personnelle (que je dois encore développer, à mon sens, avant d’avoir la hauteur de vision pour aborder un truc aussi vaste), de l’autre, une question toute bête de viabilité économique. Si je me lance dans, mettons (ce n’est pas une promesse, c’est un chiffre en l’air) une série de 10 bouquins d’un million de signes pièce, il faut que l’éditeur comme moi nous assurions de pouvoir la conduire à son terme, et cela implique notamment d’avoir assez de lecteurs pour. Donc, il faut que l’univers continue à s’implanter, à fédérer l’intérêt, et cela se joue à la fois à mon niveau (en proposant les meilleurs récits possibles) et à celui du temps (avec un effort pour faire connaître l’univers et, espérons-le, susciter l’envie auprès de plus de monde, en montrant – c’est important – qu’on peut faire confiance : l’auteur ne va pas s’évaporer en laissant la série en plan). En tout cas ta question est un encouragement très net et très agréable à faire ce projet un jour : merci !

4) Concernant Chunsène, est-ce que ça t’a ennuyé de la désigner comme l'”adolescente” pour être à même de la distinguer de Nehyr aux yeux du lecteur ? Sachant que ton histoire est d’inspiration médiévale et qu’au Moyen Âge, on passait plus ou moins de l’enfance à l’âge adulte ? Ou bien t’en avais rien à cirer et cette question est débile ? ???? (Je la pose parce que je sais que, moi, ça m’aurait ennuyé).

Bonne question. Alors, déjà, je triche un peu : « Les Dieux sauvages » est certes d’inspiration médiévale, mais pas entièrement. L’Empire d’Asreth/ia était bien plus proche de nos sociétés, il y a donc un passé moderne à ce monde médiéval, comme on a pu le voir dans La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête. Certains termes employés le trahissent : on parle par exemple de “citoyens” des royaumes, ce qui est anachronique, en fait (mais volontaire de ma part). Mais ça, c’est la réponse facile : de manière plus intéressante, ta question pose le rapport dialectique de la fantasy avec la contemporanéité du lecteur. Même si l’on admettait que « Les Dieux sauvages » se déroulaient dans un monde purement médiéval, la fantasy dépeint rarement un Moyen-âge entièrement authentique, et fait toujours quelques petites entorses de bon aloi pour rendre l’histoire plus intéressante et/ou digeste (c’est aussi pour cela qu’on écrit de la fantasy et pas du roman historique – lequel, d’ailleurs, triche aussi : c’est du roman). Quand je parle d’adolescente dans le cas de Chunsène, clairement, je me place dans le référentiel du lecteur au XXIe siècle ; c’est à lui/elle que ma narration s’adresse. Mon devoir d’auteur (et le devoir de la littérature en général) consiste à créer une illusion de réalité, quelque chose auquel on puisse croire et qu’on vive avec plaisir, d’accès aussi aisé que possible. Parler de Chunsène comme d’une adolescente est une entorse en toute rigueur, mais elle rend la narration suffisamment efficace à mon sens pour valoir le coup, et de toute façon, son comportement rend tout ambiguïté impossible : elle est clairement plus adulte que quelques adultes de l’histoire. Et on pourrait même dire que même aujourd’hui, y a plus de jeunesse, mon bon monsieur, alors…

5) Que penses-tu de l’Église de Wer ? (dans sa forme actuelle en tout cas, quelque chose me dit qu’elle est appelée à évoluer) Est-ce que tout est à jeter selon toi, ou est-ce qu’il y a des éléments que tu apprécies ?

Je pourrais te dire que ma voix n’a aucun intérêt, que ce qui compte, c’est ce que l’histoire raconte (et je le pense), mais je ne vais pas esquiver ta question : dans la réalité, je ne pourrais absolument pas cautionner quoi que ce soit dedans à cause de son traitement des femmes. Mais c’est aussi pour ça que je l’explore : pour chercher et essayer de comprendre où peut bien se trouver l’humanité, malgré l’hostilité viscérale que me cause ce genre d’intégrisme, lequel existe et a existé hélas (dans la fiction comme dans le réel ; mes années de catéchisme m’ont bien servi pour « Les Dieux sauvages »…). Et ce qu’on peut “sauver” de cette humanité au-delà des ravages du patriarcat. Les morales dogmatiques et leur rôle social sont des questions d’une immense complexité qu’il est impossible de dissocier du contexte qui leur a donné naissance. J’espère m’approcher un peu de ces questions à travers « Les Dieux sauvages », et ce que je peux dire, c’est que je vais m’attacher à refléter cette complexité, justement, à travers les différents points de vue (ne serait-ce qu’entre Leopol et Maragal, on a deux conceptions assez différentes du werisme). Pour partager avec le lecteur toutes les questions que ces sujets m’évoquent, et non des réponses (ce qui n’est pas le rôle de la fiction). Bref, j’espère donc que les facettes du récit traiteront de la complexité du sujet mieux que moi en tant qu’individu limité.

6) Au sujet de la ponctuation des dialogues. L’utilisation des guillemets est plus avantageuse selon toi (et pourquoi), ou c’est uniquement par goût esthétique ?

Je crois résolument que les guillemets offrent infiniment plus de flexibilité dans la gestion du rythme, oui, au point que j’aurais du mal à travailler avec un éditeur qui m’impose les tirets seuls. Tu peux faire des incises claires dans ta narration sans introduire de confusion, par exemple :

« Vous êtes très belle ce soir, Anita », dit Bob. Il s’accouda au piano. « Martini ? »

Avec des tirets, tu es obligé de rajouter une précision, sinon on ne sait plus qui cause, ça casse le flux, et sinon tu colles tes didascalies entre parenthèses, bref, c’est super moche à mon goût et vachement plus contraignant alors que les guillemets résolvent tous ces problèmes avec élégance. J’en ai parlé en détail ici.

7) est-ce qu’on peut considérer que les Enfants d’Aska sont les vrais metalleux d’Evanégyre ?

Nan. Bien des métalleux sont en réalité de vrais gentils. :p

2018-07-05T21:03:37+02:00mercredi 11 juillet 2018|Entretiens|6 Commentaires

En entretien dans le Mensuel de Rennes (autour de La Messagère du Ciel)

Je relaie ceci avec retard, car c’est paru en mars dans Le Mensuel de Rennes et, ma foi, il est fort peu courtois de reprendre une page d’un numéro de magazine en cours de commercialisation ! (Maman, je t’ai vue, tu aurais acheté tous les stocks d’Ille-et-Vilaine. Du calme.)

Je remercie très spécialement Julien Joly pour sa lecture très attentive de La Messagère du Ciel ; j’ai passé un excellent moment de discussion qui m’a donné la liberté d’évoquer un certain nombre de choses que je n’avais mentionnées nulle part (comme l’inspiration du 11 Septembre 2001 sur le début de « Les Dieux sauvages »). Comme le dit l’article, j’étais bel et bien allé en Islande : tous les articles attenants iciMerci encore pour ce coup de projecteur sur mon travail ! 

Cliquez pour agrandir

2018-07-05T17:23:18+02:00lundi 9 juillet 2018|Entretiens|6 Commentaires

Mythologies [table ronde aux Étonnants Voyageurs 2018]

Ce débat aux Étonnants Voyageurs 2018 a été capté par l’organisation du festival, qui rend ses tables rondes librement accessibles (merci à eux !) et faisait participer Estelle Faye, David Vann et moi-même. Modération et animation : Claudine Glot. Il peut être écouté librement en ligne cette page ou bien ci-dessous :

 

2018-06-29T08:54:45+02:00mardi 3 juillet 2018|Entretiens|Commentaires fermés sur Mythologies [table ronde aux Étonnants Voyageurs 2018]

Psycho Starship Rampage en solde sur Steam à -75% – seulement 2,50 € !

Houlà ! Un mot rapide pour signaler que Psycho Starship Rampage, le chouette jeu vidéo indépendant sur lequel j’ai travaillé il y a deux ans, principalement en faisant la musique, est actuellement en soldes pour une durée limitée et son prix le plus bas jusqu’ici : 2,50 euros ! Amazing ! Un rogue-like qui se joue comme un shooter, c’est parfait pour passer l’été au chaud alors que d’autres font des trucs complètement vains comme aller à la plage. Bref, attrapez-le vite tant que c’est chaud sur la boutique Steam :

Page magasin de Psycho Starship Rampage

2018-06-26T21:09:41+02:00mercredi 27 juin 2018|À ne pas manquer, Alias Wildphinn|Commentaires fermés sur Psycho Starship Rampage en solde sur Steam à -75% – seulement 2,50 € !

Le flux RSS du site est de nouveau à jour

Alors bravo, le mec, il fait tout un article pour dire que les flux RSS, ça reste d’actualité et c’est vachement mieux que Facebook, et celui de son site il marchait même pas depuis deux mois et demi.

Merci à Jérôme de m’avoir signalé la chose : c’est réparé et vous devriez voir débarquer deux mois et demi d’archives dans votre lecteur favori. La faute à Feedburner (et un peu à moi) qui n’a pas suivi quand le site est passé en chiffrement par défaut (https). Ça me fait penser que je devrais probablement me débarrasser de Feedburner, qui n’a plus grand intérêt aujourd’hui et Google lui mettra probablement une balle dans la nuque tôt ou tard, mais je vais attendre un peu que la situation se soit stabilisée chez tout le monde avant de considérer ce déménagement.

Pour info, on peut aussi suivre ce site avec une magnifique liste de diffusion mensuelle fraîchement rénovée, qui contient aussi de petits mots doux sur les derniers projets en cours et un récapitulatif commode des articles du mois. Soyez in, soyez modernes, soyez dans le coup avant tout le monde ! (ça n’est pas un terme de boxe) Hop, je recolle un petit formulaire pour la route :

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2018-06-22T07:59:35+02:00mardi 26 juin 2018|Dernières nouvelles|1 Commentaire

Ce week-end, rendez-vous à Charleville Mézières pour la Journée des Mondes Oniriques !

Oui ! C’est chez Rimbaud (désolé, j’imagine qu’on vous sort Rimbaud à la moindre occasion…) et c’est ce samedi (pas dimanche, attention : un jour seulement). Un événement qui promet d’être vraiment chouette, dans une région où il n’y a pas beaucoup (à ma connaissance) de festivals et de salons liés à l’imaginaire, alors pourquoi ne pas soutenir l’initiative ? J’ai le plaisir d’en être le parrain (cela veut-il dire que je dois l’adopter s’il arrive quelque chose à ses parents ? Fichtre, prenez soin de vous, les amis).

Cela se déroulera (j’insiste) samedi à la médiathèque Voyelles, 2 place Jacques Félix, 08000 Charleville-Mézières. L’entrée est gratuite. 

L’événement a une page avec toutes les infos ici : il y aura des rencontres avec les auteurs, dédicaces, etc. et aussi du jeu, notamment du jeu de rôle. Je participerai également pour ma part à un débat sur la place des femmes en fantasy. Ici se trouve le récapitulatif vers tous les invités.

À (non pas ce week-end) samedi !

2018-06-21T10:45:23+02:00lundi 25 juin 2018|À ne pas manquer|1 Commentaire

Les concerts-lectures des Deep Ones aux Imaginales en vidéo ! (extraits)

Illus. Jerom

Pour mémoire, les Deep Ones, c’est ce collectif étrange et térébrant mêlant musique improvisée et lectures de textes par les auteurs eux-mêmes, à moins que ce ne soit l’inverse. Fondé en 2012 (si ma mémoire est bonne) à l’initiative de l’excellent Ghislain Morel (dit Mortel dans les milieux autorisés), il s’est récemment produit aux Imaginales 2018, avec mon humble poire. Une super soirée pour nous, avec un public au taquet (merci !) et, pour vous permettre de découvrir l’ambiance et quelques lectures habitées, les Deep Ones ont maintenant leur chaîne YouTube ! Youhou ! (Tube) C’est là.

Voici les extraits des Imaginales, featuring Nathalie Dau avec l’épée sorcière :

Sylvie Miller avec un extrait de Satinka, son dernier roman :

Stefan Platteau nous introduit aux Chants primordiaux des étoiles :

Et pour ma part, un extrait de La Messagère du Ciel :

2018-06-26T08:54:50+02:00mercredi 20 juin 2018|Actu|1 Commentaire

Fantasy épique… et vraisemblance historique [table ronde aux Imaginales 2018]

Ce débat aux Imaginales 2018 a été capté par le site de référence ActuSF et faisait participer Fabien Cerutti, Estelle Faye, Jean-Philippe Jaworski et moi-même. Modération et animation : Victor Battagion. Il peut être écouté librement en ligne ou bien téléchargé sur cette page.

En prime, un extrait vidéo :

 

2018-06-14T03:38:45+02:00lundi 18 juin 2018|Entretiens|Commentaires fermés sur Fantasy épique… et vraisemblance historique [table ronde aux Imaginales 2018]
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