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Le dark enlightenment, une des clés pour comprendre ce qui est en train de se passer sous nos yeux

J’hésite à relayer ça parce que c’est tellement aberrant que je me fais l’effet d’un conspirationniste, mais le déroulé théorique colle tellement avec l’actualité complètement insensée et terrifiante des deux dernières semaines (et France 24 en parle, donc ça n’est pas non plus zinzin) que ça vaut le coup de poser ça là, comme on dit, et je vous fais confiance pour évaluer la chose à l’aune de la réalité.

On connaît l’existence du Projet 2025, la feuille de route de Donald Trump, cependant il semble de plus en plus que ça ne soit que la partie émergée de l’iceberg, et le moyen pour arriver à quelque chose que… là tout de suite, à 9h45 du matin, je n’ai pas les mots pour décrire.

Prenez dix minutes de votre temps – vraiment, prenez-les – pour lire deux fiches Wikipédia (en anglais si vous le pouvez, elles sont plus développées et mieux sourcées) :

Celle de Curtis Yarvin, le « penseur » en tête de file du mouvement du dark enlightenment (néoréaction) qui pourrait bien former un des objectifs des bouleversements américains actuels :

Political strategist Steve Bannon has read and admired his work. Vice-president JD Vance has cited Yarvin as an influence, saying in 2021, « So there’s this guy Curtis Yarvin who has written about these things, » which included « Retire All Government Employees, » or RAGE, written in 2012. Vance said that if Trump became president again, « I think what Trump should do, if I was giving him one piece of advice: Fire every single midlevel bureaucrat, every civil servant in the administrative state, and replace them with our people.

Ça vous dit quelque chose ? (C’est explicite dans le Projet 2025)

Et donc, d’autre part, la page sur la néoréaction / NRx / dark enlightenment :

Neocameralism is the replacement for democracy where it gives everyone many options for « Exit » out of a undesirable autocracy and its taxes, rules and regulations, you don’t get to vote because in the neoreactionary ideal state they oppose democracy because it’s viewed as being anti-freedom, « Exit » is where you vote with your feet, you are free to bring your labor to another ‘gov-corp’ or governmental corporation, a complex patchwork of small, and competing, autonomous city-states.

Pour essayer de terminer sur une petite note d’optimisme quand même – je suis tombé sur ça, que je pose aussi, en annonçant d’emblée mon ignorance en la matière (insultez mon ignorance si vous voulez – si d’autres qui lisent ces mots ignoraient ça comme moi et se sentent l’envie d’aller creuser, j’aurai gagné ma journée) :

Two software developers became quietly known in tech circles in the 2000s and were almost the reverse image of each other. Both developed web alternatives. Both developed alternatives to the current government model.The right has read Yarvin and it shows. The left has not read Marsh and it shows.

Anonymous (@youranoncentral.bsky.social) 2024-12-06T05:58:45.972Z

Tout le fil vaut la peine d’être consulté mais en résumé, Heather Marsh serait diamétralement opposée à Yarvin, en s’attaquant aux mêmes symptômes (la difficulté d’organiser une société de plus en plus atomisée et volatile, en raison des développements technologiques) mais avec des réponses radicalement inverses, fondées sur l’ouverture et la collaboration.

Franchement, la page 3 de Binding Chaos part bien.

Corporations have the freedom to live in a world without borders or social responsibility, to own property no individual can claim and to control a one world government and legal system. This has had insupportable consequences for the world’s resources and individual rights.

Site et blog d’Heather Marsh, si vous voulez vous faire une idée.

2025-02-05T03:51:30+01:00mercredi 5 février 2025|Humeurs aqueuses|0 commentaire

Procrastination podcast s09e10 – En public avec vos questions à l’Ouest Hurlant – partie 3

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « s09e10 – En public avec vos questions à l’Ouest Hurlant – partie 3« .

Le festival des cultures de l’imaginaire l’Ouest Hurlant à Rennes reçoit toute l’équipe de Procrastination et surtout VOUS : l’invité du podcast sur cette saison, c’est vos questions, vos interrogations, avec trois réponses contradictoires pour le prix d’une ! Merci à l’Ouest Hurlant et toutes ses équipes de nous avoir invité·es et de nous avoir donné une salle et une heure pour rendre ces conversations possibles. C’est un splendide festival qu’on vous encourage à suivre !

(Note de Lionel : en effet, la référence citée était bien la Bhagavad-Gita.)

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

Bonne écoute !

2025-02-17T06:31:25+01:00lundi 3 février 2025|Procrastination podcast|0 commentaire

Feuille de route 2025

Une nouvelle année est arrivée, le mois d’août australien (également connu sous le nom de janvier dans les terres de l’URSSAF Limousin) touche à sa fin, la convention calendaire dicte qu’il serait temps de voir un peu ce qui va se passer jusqu’à la prochaine naissance du petit Jésus (qui dicte apparemment aux bons petits Américains de cracher à la gueule de son prochain en ce moment).

Que vais-je donc faire de mes heures durement gagnées à la loterie de l’existence ?

La Succession des Âges

Fun fact (ou pas) : ActuSF réalise en début d’année un point sur les projets des auteurs et autrices, m’a proposé de répondre à la question, et j’ai répondu, heu, je suis touché, mais en gros je fais qu’un truc, et à ce stade, je crois qu’il vaut mieux que je ferme ma bouche.

Comme toujours, comme, semble-t-il, depuis l’an 1867, je vais travailler à terminer, ENFIN, « Les Dieux sauvages » avec l’arlésienne tome 5, La Succession des Âges. Le dernier point remonte à novembre dernier, et l’avancée se poursuit. À ce stade :

J’ai quasiment fini de corriger tout le matériel déjà écrit. Il me reste quelques scènes éparses de fils narratifs terminés qui vont se répartir dans la suite du manuscrit et dont je vais m’occuper dans la foulée, tant qu’à faire.

Au fil de tout ce processus, j’ai :

  • Coupé environ 500 000 signes (soit la moitié en volume du tome 2 de la saga ou d’un roman tel que Port d’Âmes…), revenant principalement à travailler l’efficacité narrative,
  • Tout en rajoutant quelques scènes nécessaires à l’équilibre de l’histoire,
  • Et en réécrivant entièrement 1/4 du matériel (globalement, des scènes à la fonction acquise, mais dont j’avais loupé la mise en scène).

Le matériel finalisé équivaut à environ 2,5 millions de signes à l’heure actuelle, soit environ 1200 pages (pour référence, le plus gros tome de la série jusqu’ici, L’Héritage de l’Empire, mesurait 1,8 millions).

Il faut boucler le premier jet. Il me reste un peu moins de deux actes à rédiger, correspondant aux temps finaux de l’histoire, et de la saga entière. J’espère que cela va représenter 800 000 signes (et pas plus), mais donc, c’est du premier jet ; cela va maigrir considérablement à la correction (cf point précédent), et j’espère donc arriver à maintenir le volume final du livre pas trop au-dessus de 3 millions de signes (un bon 1500 pages).

Pour ça, sachant que je reviens en France vers mi-mars pour salons et ateliers et qu’écrire en déplacement est pour moi très difficile, je me prépare à faire chauffer la Freewrite (malgré les déceptions étalées en détail) pour faire un gros sprint et du coup pouvoir passer en mode corrections au plus vite (en France).

En parallèle, il y aura la direction éditoriale. Ma directrice d’ouvrage, la formidable Florence Bury, suit l’histoire de près, et aiguise son mode suivi des modifications pour attaquer le retravail en commun. Ce qui promet d’être un processus long, là aussi, vue la longueur du livre, mais qui, pour ma part, sera comparativement confortable (cette phase est pour moi un travail beaucoup plus léger mentalement que tout ce qui précède, et ça, pour le coup, je peux faire ça littéralement n’importe où – pour l’anecdote, j’avais fini de corriger Le Verrou du Fleuve dans un avion Édimbourg – Paris).

Nous avons déjà un projet de couverture. Le fantastique Alain Brion, qui a réalisé toutes les couvertures de la saga jusqu’ici, reprend les rênes pour ce tome 5. Nous avons déjà un projet, et il est superbe (il est mon fond d’écran depuis que je l’ai reçu). Je ne peux rien montrer, mais à droite, vous avez la preuve qu’il existe… et qu’il ne sera pas rouge.

T’as une date à nous donner ? Très honnêtement, je vais vous faire la même réponse qu’à ActuSF : je ne dis plus rien à ce stade, je préfère vous expliquer l’avancée du chantier au fur et à mesure. Nul n’a mieux conscience que moi que ce tome 5 aura réclamé à lui tout seul un temps comparable à tout le reste de la série, et je ne peux que vous remercier de votre patience. Dans tout ce trajet, il y a eu le COVID, mon émigration australienne, mon mariage, mon déménagement au bout du monde, bref, la vie a aussi demandé que je lui accorde mon attention… et j’ai, très franchement, sous-estimé la complexité de conclure et renouer toutes les trames que j’avais lancées, malgré les idées claires que j’avais à leur sujet.

Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que l’attente vaudra le coup. Mais on y arrive.

Un teaser. Je l’avais envoyé aux abonné·es de la newsletter il y a quelque temps (vous devriez vraiment les rejoindre, je dis ça, je dis rien), voici donc un morceau vers le tout début du roman (en attente de correction éditoriale, donc).

Erwel

Les trois corps se balançaient doucement au bout de leurs cordes en grinçant. Dans cette part désensibilisée de lui-même où Erwel se réfugiait de plus en plus souvent, il songeait que c’était bien la peine d’avoir restauré les ponts suspendus reliant les deux quartiers d’Altaÿs pour venir voir ça.

Par chance, les fissures dans le toit et les murs de la ruine ne laissaient guère de passage aux oiseaux charognards. Seulement au vent humide de l’automne, qui chuintait à la limite de l’audible. Sous les bottes qui flottaient dans les airs, un banc renversé gisait parmi des débris de mobilier. Des paquetages étaient disposés autour de l’âtre où des cendres froides achevaient de fumer, comme si jusqu’à ce matin même, les trois hommes envisageaient tout à fait de rallier la partie sud de la ville pour présenter leur rapport.

Et puis en avaient décidé autrement.

« Ce sont bien eux, grogna le général Freÿs des Forts, appuyé sur sa béquille. Sang-diable. » Il se retourna vers les trois Chevaliers du Fleuve qui les escortaient. « Eh bien, ne restez pas plantés là ! Ne laissez pas Sa Majesté s’infliger ce spec…

— Laissez, Freÿs, coupa le jeune roi d’une voix douce. Ce n’est pas comme si cela pouvait leur faire grand-chose, maintenant. »

Il s’efforçait de se pénétrer de l’expression d’agonie des trois pendus pour éveiller quelque sensation en lui. Leurs yeux exorbités exprimaient l’hébétude, ou bien le regret, peut-être, au tout dernier moment. Les arêtes de leurs visages mal rasés trahissaient la disette. Ils semblaient à tout instant prêts à combattre, épées courtes au côté, plus commodes pour une infiltration en terrain ennemi que les lames bâtardes des weristes. Leurs capes doublées de lapin s’ouvraient sur des brigandines certes usées, mais qui ne portaient aucun dommage. La blessure était ailleurs. Intangible.

« Voilà le vrai visage de l’ennemi, Freÿs, murmura Erwel. Pas le Pandémonium qui occupe Ker Vasthrion, ni même la folie qui le gouverne à présent. Il est là, mon ami : le désespoir. Un accablement si profond qu’il nous persuade de la totale vanité de nos actes. »

Après La Succession des Âges

Lentement, mais sûrement, il faut penser à la suite, hein ? Des tas de trucs sont toujours à l’horizon, mais voici des choses fixées, qui vont monter en puissance au fur et à mesure que je vais passer le relais à Florence pour la correction éditoriale.

Déjà, Procrastination suit son cours. Pas de changement à prévoir de ce côté-là, on planifie la saison 10, la fin de la 9 est presque entièrement enregistrée. Le fait d’avoir, depuis bientôt dix ans, couvert à peu près tous les fondamentaux nous permet maintenant d’aborder des choses détaillées et techniques assez rigolotes, ce qui va arriver assez vite.

Je vais quitter Meta à brève échéance. Ça nécessite un article à part entière, mais l’évolution du monde fait que je refuse de continuer à alimenter ce système. Contrairement à mon départ en 2020, il ne s’agit pas d’un refus en bloc de tout réseau, parce que depuis, Bluesky est arrivé, et je suis très heureux dessus. Le problème, ce sont et cela a toujours été les algorithmes.

Un nouveau « manuel » d’écriture est prévu. Ce sera le projet immédiatement à suivre après La Succession des Âges. Beaucoup plus technique que Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires, mais toujours accessible à tout le monde.

J’ai toujours un projet éditorial à l’horizon, non pas au sens maison d’édition, mais direction d’ouvrage. L’éditeur m’attend patiemment depuis des années (merci…) et il va enfin être possible d’y consacrer un peu d’énergie. Faut juste retrouver le matériel de base dans les 150 cartons… 

Projet Moonshot. Les étapes extrêmement préliminaires de quelque chose de potentiellement génial débutent tout juste, mais je ne peux rien en dire, c’est à très longue échéance, et cela a toutes les chances de ne jamais dépasser la phase « extrêmement préliminaire » de toute façon, donc bon. Mais rien que collaborer là-dessus est déjà méga chouette.

Et il y a la musique. De façon réaliste, il est peu probable que je puisse y réserver beaucoup de place en 2025, mais y revenir et l’insérer de façon active dans le quotidien fait partie de mes objectifs importants (et petit bout par petit bout, la construction du studio progresse). J’ai des tas d’envies dans le domaine. Trop.

Mille mercis pour votre suivi et votre fidélité, et on se retrouve comme toujours ici et ailleurs.

2025-01-29T00:09:35+01:00mercredi 29 janvier 2025|À ne pas manquer, Alias Wildphinn|Commentaires fermés sur Feuille de route 2025

Freewrite sort un clavier dédié aux écrivains : passez votre chemin

Freewrite, la compagnie qui fait des machines à écrire connectées, sort un clavier destiné aux écrivains, appelé Wordrunner.

On m’a demandé mon avis en ligne, alors le voici : passez votre chemin.

Déjà, Freewrite / Astrohaus ne sont plus dignes de confiance. Comme je l’ai signalé l’année dernière, Freewrite a changé sans prévenir et sans logique aucune la disposition de son clavier AZERTY, et les échanges avec le support technique ont été proprement abyssaux. Leur dernier produit en date, la Freewrite Alpha, n’était pas compatible avec les claviers étrangers pendant un temps beaucoup trop long, montrant que, clairement, la clientèle internationale ne les intéresse pas.

Ensuite, un clavier est une affaire personnelle, et vous n’avez aucune assurance d’aimer celui-ci. Sans parler qu’il est en QWERTY, ce qui exclut d’entrée toute la clientèle non-anglophone.

Enfin, et surtout, les fonctionnalités du clavier sont des gadgets aisément réplicables avec d’autres outils. Mesurez le concept : c’est un clavier indépendant, donc il se branche à quelque chose. Vous savez ce qu’on trouve sur ledit quelque chose ? Des applications qui font le même boulot. Parmi les fonctionnalités :

  • Le chronomètre à pomodoros se remplacera avantageusement par un minuteur ;
  • Le compteur de mots / signes est intégré à Scrivener, Ulysses, même Word ;
  • Les touches fonction pour déplacer le texte ont déjà des équivalents en raccourcis clavier et, connaissant la maîtrise d’ingénierie de la compagnie, il faudra un pilote pesant 800 Mo, bouffant toute la mémoire vive et compatible uniquement avec la version uruguayenne de Word 2003.

C’est un gadget de hipster qui ne sert à rien. Pour une fraction du prix, achetez plutôt un Micro Journal v5, demandez-le en clavier français et branchez le clavier de votre choix dessus. Vous aurez, donc, le clavier de votre choix, l’équivalent d’une Freewrite, un compte en banque encore garni et vous soutiendrez un indépendant adorable et compétent qui, lui, se soucie des besoins de sa clientèle.

2025-01-24T01:53:54+01:00lundi 27 janvier 2025|Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Freewrite sort un clavier dédié aux écrivains : passez votre chemin

La photo de la semaine : La tour

C’est vachement différent, Tristram en plein soleil.

The tower
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2025-01-23T23:50:12+01:00vendredi 24 janvier 2025|Photo|Commentaires fermés sur La photo de la semaine : La tour

Écrire en musique : Eternal Dystopia

Après Void Stasis, et m’être refait une grosse perf’ de State Azure et de Carbon Based Lifeforms (Interloper reste un des meilleurs albums d’ambient ever, j’ai dit), je suis tombé dans un trou de dark ambient entre les recommandations de YouTube et Apple Music, et pour écrire des scènes pas forcément de marrade ultime, ma bonne découverte récente, c’est Eternal Dystopia (un titre qui respire bon la joie de vivre).

Là, on a totalement quitté les terrains mélodiques de CBL qui s’effritaient déjà beaucoup avec Void Stasis pour arriver dans le drone et les paysages sonores microtonaux, ça n’est pas le banger que vous allez mettre au réveillon (encore que, essayez et venez raconter le résultat), mais pour écrire (ou méditer sur la fin du monde et les abysses, je juge pas), c’est extrêmement efficace sans endormir pour autant. Il y a de quoi faire avec une douzaine d’albums sur les services de streaming, et ça vous changera de ce lo-fi sautillant et solaire, là, au moins, on a des nappes en mineur qui fleurent bon la pluie acide sur le béton, bordel.

2025-01-14T01:53:45+01:00mercredi 22 janvier 2025|Décibels|4 Commentaires

Les Inspiriales : un séminaire d’écriture virtuel avec masterclasses, mentorat et entraide

Pour la quatrième année (ça en fait un rendez-vous d’importance !), les Inspiriales de l’écriture se tiendront du 14 au 17 février. C’est un séminaire sur la narration intégralement en ligne, avec

  • Cinq masterclasses données par des pros sur des points précis du métier :
    • Les descriptions et le show, don’t tell (Aude Vivet)
    • Les corrections de manuscrit (ma pomme)
    • La profondeur des personnages (Paul Beorn)
    • L’inclusivité et la diversité (Mary Orchard)
    • Les premières pages (Estelle Faye)
  • Des tables rondes, des débats autour de la profession ;
  • L’occasion d’accéder à du mentorat ;
  • La possibilité de participer à une communauté, de se motiver et d’échanger sur ses joies et difficultés.

C’est un vrai festival littéraire et une formation couvrant des aspects cruciaux de la narration, et en plus, pas besoin de faire ça seul·e ! (Mais vous pouvez aussi faire ça seul·e.)

Plusieurs formules sont disponibles :

  • La possibilité de suivre seulement les masterclasses et tables rondes (tarif anticipé encore disponible jusqu’au 24 janvier),
  • Ajouter un pack mentoring offrant des retours sur les textes et des échanges de groupe.

Les masterclasses sont en plus disponibles à vie pour toutes les personnes inscrites !

Pour ma part, donc je causerai de correction de manuscrits (un sujet dans lequel je suis un tout petit plongé), et ça me fait bien plaisir, parce que je sais combien ça angoisse (y compris des confirmé·es). Alors que ça n’est pas nécessaire : pour ma part, j’adore les corrections, parce qu’une fois qu’on a pris le coup, c’est purement technique. Ce qui est très rassurant, par rapport au premier jet qui reste toujours aléatoire.

Et l’idée, c’est justement de donner la technique ; que vous repartiez avec une méthode précise, pratique, applicable. On parlera de :

  • La bonne attitude à adopter
  • Les trois grandes mécaniques du récit à vérifier
  • Proposition d’une méthode de correction pratique (et éprouvée)
  • Les maladresses d’écriture fréquentes, et comment y remédier

(Oui. Les gros manuscrits, oui.)

Tout le programme en détail avec les deux formules est disponible sur le site des Inspiriales ; allez y jeter un œil, ça couvre un grand territoire des difficultés les plus fréquentes !

➡️ Découvrir le programme et s’inscrire

Mention légale : les liens renvoyant vers l’événement sont affiliés.

2025-02-19T22:39:33+01:00lundi 20 janvier 2025|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Les Inspiriales : un séminaire d’écriture virtuel avec masterclasses, mentorat et entraide
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