L’école Les Mots a aussi des formations pour entreprises (rappel)

Une information que je note « Rappel » parce que cela a été mis en place voilà quelque temps, mais que je n’ai en fait jamais relayée ici : l’école d’écriture parisienne Les Mots (où j’ai le plaisir de faire des interventions régulières – pour mémoire, il reste encore quelque chose places à l’atelier de décembre sur la notion de conflit en narration) propose aussi un panorama de formations spécialement destinées aux entreprises, autour de la communication écrite, de la créativité, de la recherche et l’expression des idées.

Quelle histoire raconter aux investisseurs, aux équipes, aux partenaires, aux clients ? Quel est le déclic qui permettra à une organisation de se mettre en mouvement ? Les tableaux Excel et les estimations chiffrées ne font pas tout. Il faut trouver les mots ! 

Et comment.

Vu qu’il y a des décideurs (inter)nationaux parmi toi, auguste lectorat, je le porte à ton attention dès fois que ; car si tu es ici, c’est que l’approche t’est favorable. Toutes les infos se trouvent sur le site idoine ; je fais aussi partie des formateurs, avec un accent personnel plus marqué (par expérience et intérêt) sur l’emploi de l’imaginaire et la productivité dans le domaine créatif (soit : comment allier la création à l’approche systémique de l’ingénierie, l’exercice de funambule de toute ma vie).

Peut-être à bientôt, donc, avec des diaporamas Keynote comportant un minimum d’une photo de chat obligatoire.

2019-11-14T23:37:31+01:00mercredi 6 novembre 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Tolkien est-il indépassable ?

La semaine dernière, une enquête de Lloyd Chéry et Phalène de La Valette à signaler dans Le Point Pop sur ce sujet, à lire gratuitement en ligne : Tolkien est-il indépassable ?

Star d’une formidable exposition qui ouvre ce mardi à la BNF, l’auteur du « Seigneur des Anneaux » est-il encore l’alpha et l’oméga de la fantasy ?

Avec nombre de points de vue de critiques, universitaires, et auteurs de fantasy contemporains dont ton serviteur, auguste lectorat : c’est à découvrir ici.

Merci à Lloyd Chéry de m’avoir invité à donner mon avis sur le sujet ! Comme j’ai une opinion du Maître qui n’est pas exclusivement laudative, « dans l’intérêt de la raison » et pour futur archivage, voici l’intégralité de nos échanges sur la question de Tolkien comme référent(ce) :

Je voulais en savoir plus sur ta vision critique de Tolkien, et comment tu te positionnais en tant qu’auteur face à ce monstre sacré ? 

Les monstres sacrés, pour moi, sont là pour être questionnés, interrogés, malmenés même – toujours avec respect, et en les remerciant de la voie qu’ils ont ouverte, mais dans le but d’aller au-delà. C’est la dynamique même de la création. Et Tolkien a ouvert d’un seul coup tout un domaine qu’on entrevoyait à peine avant lui, ce genre qu’on a baptisé fantasy, et sans lui, très clairement, je ne serais pas là – voilà pour la dette, immense ! Cependant, la vénération qu’on lui porte, comme s’il était l’alpha mais aussi l’omega du genre, une sorte d’idéal indépassable, me semble erronée, et même dommageable. 

L’influence de Tolkien a été si vaste et son approche si novatrice que son œuvre a eu aussi pour moi deux influences délétères (même s’il n’y est pour rien !). D’une part, Le Seigneur des Anneaux a été un succès si fracassant que, pendant des décennies, l’édition américaine cherchait à s’inscrire dans son sillage, parfois à la limite de la redite, éclipsant des usages plus novateurs du merveilleux et du mythe dans les littératures de l’imaginaire (je pense à Roger Zelazny, qui pendant très longtemps, n’était même pas identifié comme écrivant de la fantasy – alors que « Les Princes d’Ambre »…). D’autre part, son travail de création de monde était si impressionnant que la majorité des exégèses et des études mettent l’accent sur cet aspect-là ; c’est passionnant, mais à mon sens, c’est un peu fallacieux. Je pense résolument qu’il faut une bonne histoire pour amener le public à un univers fouillé, ce que Bilbo et Le Seigneur des Anneaux ont apporté, mais que sans cela, un monde, aussi détaillé soit-il, reste lettre morte. Mettre un tel accent sur le travail de création de monde (prodigieux, je le répète) contribue à créer l’impression (y compris chez quantité de jeunes auteurs) qu’une histoire de fantasy, c’est avant tout un monde. Or, je suis fermement en désaccord, et l’histoire de la publication du Silmarillion elle-même le montre : c’est avant tout une histoire… dans un monde intéressant. Mais on vient au monde à travers l’histoire – jamais l’inverse. 

J’ai eu l’honneur il y a quelques années de partager une table ronde aux Utopiales avec Brandon Sanderson, et il avait eu cette phrase qui me semble éminemment juste, je cite de mémoire : « Ce qui est intéressant avec la fantasy d’aujourd’hui, c’est que les auteurs actuels se sont nourris d’auteurs qui, à leur époque, s’étaient eux-mêmes nourris de Tolkien. » En d’autres termes : nous sommes à une troisième, peut-être une quatrième génération d’auteurs de fantasy. Par conséquent, le genre s’est développé, ramifié, diversifié, ses codes ont été critiqués, remis en cause, bref : il s’est libéré de l’influence écrasante de Tolkien et a évolué très au-delà. Toute œuvre, surtout si elle est fondatrice, est faite pour être prolongée, et au bout du compte, dépassée. En résumé, Tolkien, pour moi, est Victor Hugo : un classique que je respecte et remercie pour son influence et son héritage. Mais le genre, et la littérature elle-même, sont allés, depuis, beaucoup plus loin. Et c’est tant mieux. 

2019-10-28T01:26:23+01:00lundi 28 octobre 2019|Entretiens|3 Commentaires

Les éditions Critic ont 10 ans ! La Volonté du Dragon offert en éd. collector

Il y a dix ans, je faisais encore semblant d’avoir des cheveux en refusant d’accepter ce que la génétique me criait pourtant clairement ; j’avais publié dix ou quinze nouvelles en anthologies assez remarquées mais pas de volume seul (à part deux mémoires, l’un sur les échouages de mammifères marins en France, l’autre sur la réalisation d’un démonstrateur de modèle de calcul de propagation électromagnétique, c’était vachement bien, je vous assure, par contre niveau narration, ça manquait de personnages). À un festival (la 25e Heure du Livre ? Je ne sais plus), Éric Marcelin et Simon Pinel, alors mes libraires rennais de longue date, sont venus me parler de leur « petit projet » – monter une maison d’édition – en s’excusant presque : « ça promet d’être confidentiel, hein, on sortira deux à trois livres par an, on se fera diffuser par des libraires partenaires, mais bon, on aime bien ton travail en forme courte, tu aurais envie de faire une novella avec nous ? »

Faire mon premier livre ? Mais oui, grave ! Entamant une longue tradition personnelle, la novella que j’avais promise d’environ 80 000 signes s’est transformée en roman de 300 000 (erf…).

Dix ans plus tard, les éditions Critic se sont établies dans le paysage comme un acteur indépendant d’importance dans l’édition d’imaginaire en France, avec un catalogue multi-primé qui couvre de la fantasy à la SF et au thriller, mêlant jeunes auteurs et grands noms du patrimoine, atteignant près de 100 titres, et une diffusion sur toute la francophonie. Pour ma part, j’ai publié plus de dix bouquins avant tout chez Critic qui est devenu « ma » maison, non pas au sens premier de mon éditeur (même si oui, forcément), mais d’abord d’une famille, qui a accueilli avec enthousiasme mes projets dont cette entreprise complètement déraisonnable qu’est Évanégyre, avec ses récits indépendants mais quand même liés subtilement pour former une mosaïque plus vaste que la somme de ses parties, en me témoignant un soutien et une confiance inouïes lors des traversées forcément chaotiques des terrains broussailleux de la création. J’ai beaucoup de chance d’avoir pu grandir comme auteur aux côtés d’un éditeur fantastique, dans une aventure humaine (car l’édition est avant tout une aventure humaine) comme on n’en connaît qu’une seule fois dans une vie.

Ah, et puis j’ai fini par me faire la boule à Z, aussi.

Merci, Éric et Simon, merci, Cathy, Florence, Xavier, Étienne !

Pour en savoir plus sur la maison et son histoire, des tas d’entretiens commencent à être publiés autour des fondateurs et de l’aventure Critic :

Le catalogue des dix ans peut être feuilleté en ligne ici.

La Volonté du Dragon en édition collector, offert pour deux achats

Et chez les librairies partenaires (et dans la limite des stocks disponibles), pour deux romans des éditions Critic achetés, une réédition limitée et collector de La Volonté du Dragon vous sera offerte !

Avec une nouvelle couverture, nouvelle mise en page et des illustrations réalisées par Fred Navez qui n’avaient pu apparaître dans la première édition faute de place :

Couv. Fred Navez

Par ailleurs, pour mémoire, l’opération spéciale continue aussi en numérique, avec quatorze titres à seulement 3,99 € (dont La Messagère du Ciel).

Joyeux anniversaire, Critic, et encore merci. La route pour devenir centenaire a bien commencé !

2020-05-04T09:14:37+02:00lundi 21 octobre 2019|À ne pas manquer|5 Commentaires

La Revue de la BnF n°59 : Dossier création de mondes imaginaires [entretien]

Anne Besson et Frédéric Manfrin ont dirigé le dossier du numéro 59 de la prestigieuse Revue de la Bibliothèque nationale de France, et ce mois-ci, elle ouvre ses portes à la notion de worldbuilding, la création de mondes imaginaires contemporains, avec un prodigieux Cthulhu de François Baranger (si je ne me trompe pas) en couverture :

À l’heure où la fantasy séduit de plus en plus (Le Seigneur des Anneaux, Game of Thrones…), plaçant les « mondes inventés » au cœur de la culture populaire, ce dossier s’interroge sur leurs formes et leurs usages en confrontant le regard des historiens du genre à celui des spécialistes des médias et des créateurs, qu’ils soient écrivains ou concepteurs de jeux.

Bravo, et un immense merci à Anne Besson (professeure agrégée de littérature générale et comparée, spécialiste de la fantasy, directrice du Dictionnaire de la fantasy chez Vendémiaire, prix Imaginales 2019) et Frédéric Manfrin (chef du service Histoire au département Philosophie, Histoire, Sciences de l’homme de la BnF) pour ce numéro événement qui invite en grand l’imaginaire, les genres et tout particulièrement la fantasy dans ses pages, et pour cette exploration de tout ce processus créatif.

Il y sera question de Tolkien, bien sûr, de cartes, mais aussi de fantasy française, de jeu de rôle, de films et séries, de jouets… Au sommaire :

C’est pour moi un merveilleux honneur de faire partie des trois entretiens du dossier (avec Karoline Georges et Jean-Philippe Jaworski). Nous parlons d’Évanégyre avec Anne Besson, la genèse de l’univers, son évolution et surtout comment ménager cohérence et fraîcheur dans une narration au (très) long cours.

La revue est disponible en librairie, sur commande éventuellement, ou bien directement sur le site des éditions de la BnF.

2019-11-14T23:36:37+01:00mercredi 16 octobre 2019|À ne pas manquer, Entretiens|5 Commentaires

Un extrait audio de Contes hybrides à découvrir

Avec ma grosse voix (ou semblant d’icelle) et surtout un habillage sonore de toute beauté réalisé par les éditions 1115 !

Voici un court passage de « Point de sauvegarde », dont il m’arrivait régulièrement de lire un autre extrait avec Les Deep Ones :

(Pour mémoire, le livre est à présent disponible en numérique sur toutes les plate-formes pour deux euros à peine.)

2019-10-17T04:39:53+02:00lundi 14 octobre 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Contes hybrides maintenant disponible en numérique à seulement 1,49 €

Lecteurs et lectrices numériques, il ne sera pas dit que vous n’êtes pas gâtés ce mois-ci : après la grosse promo sur les livres Critic (pour mémoire, La Messagère du Ciel est à 3,99 € pour une durée limitée), c’est au tour de Contes hybrides d’être à présent disponible en numérique, au prix tout, tout doux de seulement 1,49 €.

Couv. Victor Yale

Trois novellas autour des chimères, avec de la fantasy nostalgique, de la science-fiction brute, et de l’humour trollesque :

Première novella de ce recueil, « Le Sang du large » nous conte l’histoire d’un auteur isolé et de sa rencontre avec une créature qu’il pourrait croire tirée de l’un de ses romans. Mais est-ce lui qui a besoin de cet être fabuleux, ou bien l’inverse ?

« Point de sauvegarde » explore ensuite le cruel labyrinthe de notre mémoire et interroge notre vision de la réalité. Et pour finir, « Bienvenue à Magicland » fait la part belle à la dérision et à la monstruosité, même si le monstre n’est pas toujours celui que l’on imagine…

Le livre est disponible en numérique sur toutes les plate-formes.

2019-10-25T01:12:16+02:00mercredi 9 octobre 2019|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Contes hybrides maintenant disponible en numérique à seulement 1,49 €

73% de réduction sur La Messagère du Ciel en numérique ! (et plein de livres Critic)

Arrêtez tout, mais posez quand même cette tasse de café, ça serait dommage de la casser : pour une durée limitée, La Messagère du Ciel (tome 1 de « Les Dieux sauvages ») est en promotion exceptionnelle à 3,99 € à l’occasion du mois de l’imaginaire. Si vous hésitiez à vous lancer dans la saga, c’est l’occasion !

Il y a aussi plein d’autres superbes livres des éditions Critic à ce petit prix : le premier tome de « Dominium Mundi » (François Baranger), de « Lasser, détective des dieux » (Sylvie Miller et Philippe Ward), des « Chroniques de l’Étrange » (Romain d’Huissier), les excellents Seigneurs de Bohen (Estelle Faye) et PariZ (Rodolphe Casso, dont le nouveau roman vient de sortir), bref, c’est au total quatorze romans de grande qualité en fantasy, science-fiction, thriller à découvrir chez eMaginaire en promotion exceptionnelle.

2019-11-03T23:15:46+01:00lundi 7 octobre 2019|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur 73% de réduction sur La Messagère du Ciel en numérique ! (et plein de livres Critic)

Une semaine d’émissions autour de La Fureur de la Terre à écouter en direct

J’ai les grands honneur et plaisir (ils sont deux, d’où le pluriel, heh) d’être à nouveau l’invité de Natalie Ramage pour son émission Il était une fois un livre, diffusée sur Fréquence 8, radio locale du bassin rennais.

Au programme : une semaine d’entretien en profondeur pour (re)découvrir la série « Les Dieux sauvages », avec bien sûr un focus plus prononcé sur La Fureur de la Terre, et à chaque fois, les superbes lectures de Natalie, qui fait découvrir quelques extraits du livre.

Ce sera toute la semaine, à écouter en direct sur 90.5 (Rennes) ou en ligne sur le site de la radio.

Horaires : 8h30 le matin, rediffusé à 17h15 en fin de journée.

Merci à Natalie et toute l’équipe de Fréquence 8 !

2019-09-23T15:50:55+02:00jeudi 26 septembre 2019|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Une semaine d’émissions autour de La Fureur de la Terre à écouter en direct

Comment écrire une histoire grâce au conflit ? [Atelier d’écriture en décembre]

Heads up! En décembre, j’aurai le plaisir de proposer à nouveau un de mes ateliers favoris sur la notion de conflit en narration, qui représente pour moi l’épine dorsale de tout récit (un récit, en son cœur, repose sur une volonté et un parcours, fussent-ils métaphoriques, ce qui sous-entend l’idée de résistance, donc de conflit).

Bien des écoles de création littéraire américaine résument la notion d’histoire à celle de conflit. Où est l’adversaire ? Qui les personnages doivent-ils vaincre ? Mais cette notion est souvent mal comprise, résumée à une opposition binaire entre deux camps et à une confrontation souvent fondée sur la violence. Or, dans le contexte de la création narrative, elle est bien plus vaste : elle représente l’énergie fondamentale de tout récit, tandis qu’elle exprime, de façon globale, la notion de difficulté et de tension, qui sous-tend toute intrigue romanesque. 
À la fois question préparatoire féconde et boussole pour s’extirper d’une impasse littéraire, la notion de conflit en narration forme un socle dont la compréhension profonde aide l’auteur à rendre ses récits plus efficaces, plus prenants, tout en simplifiant son travail en lui fournissant les questions cruciales qui l’aideront à progresser dans son histoire. Et, loin d’un affrontement binaire de film à grand spectacle hollywoodien, elle lui permettra au contraire, s’il le désire, de complexifier ses intrigues et ses personnages sans jamais sacrifier le suspense et l’intérêt du lecteur. 

Cela se déroulera comme toujours à l’école parisienne Les Mots, dans le Ve arrondissement, les samedi 14 et dimanche 15 décembre. Un week-end très studieux en perspective, mais c’est le but, hein ?

Pour les horaires précis et modalités d’inscription, rendez-vous sur cette page. Attention, l’atelier est limité à 12 places.

2019-11-07T23:33:37+01:00mercredi 25 septembre 2019|À ne pas manquer, Technique d'écriture|4 Commentaires

Contes hybrides est à présent disponible partout !

Vous avez remarqué ? On en parle, on en parle, et puis pouf, ça finit par arriver, à la date prévue :

Couv. Victor Yale

BOUM

Contes hybrides est à présent disponible partout au doux prix de 7 € seulement ! D’abord chez votre libraire, et puis si vous n’en avez pas, en ligne.

« J’ai passé en revue chaque hypothèse vraisemblable au moins deux ou trois fois. Je suis certain de ce que j’ai vu, mais je ne sais pas quel sens y accorder.

Dans ma jeunesse, quand j’ai commencé à lire, dans ce flou bienheureux où se mélange la construction du monde de l’enfant et son acceptation primaire de toutes les histoires, je croyais sincèrement aux créatures fantastiques, aux enchantements. Adolescent, je n’avais évidemment rien rencontré de tel, mais je me suis mis à penser que j’étais un des rares à croire encore et que l’absence de preuves n’invalidait pas la magie. »
 
Première novella de ce recueil, « Le sang du large » nous conte l’histoire d’un auteur isolé et de sa rencontre avec une créature qu’il pourrait croire tirée de l’un de ses romans. Mais est-ce lui qui a besoin de cet être fabuleux, ou bien l’inverse ? « Point de sauvegarde » explore ensuite le cruel labyrinthe de notre mémoire et interroge notre vision de la réalité. Et pour finir, « Bienvenue à Magicland » fait la part belle à la dérision et à la monstruosité, même si le monstre n’est pas toujours celui que l’on imagine…

Je suis très heureux de voir ces trois textes acquérir une seconde vie, car certains étaient devenus difficiles à trouver voire épuisés (via les anthologies qui leur avait fait place), et d’autant plus de les voir rassemblés ici thématiquement dans un joli format. Merci aux éditions 1115 et à Victor Yale pour la couverture !

Pour fêter ça, pour mémoire, plein d’événements en approche, notamment une dédicace cet après-midi même à Rennes, chez Critic. Toutes les infos sur l’agenda !

2020-02-23T23:38:28+01:00mercredi 18 septembre 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire
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