À propos de La Messagère du Ciel et de sa suite, Le Verrou du Fleuve [interview sur ActuSF]
Ce blog est un scandale, on n’y trouve pas de contenu complètement original depuis au moins deux semaines, MAIS y a plein de trucs ! Promis ! Procrastination, bien sûr, et puis je travaille d’arrache-pied sur la finalisation de Le Verrou du Fleuve (« Les Dieux sauvages » II) dont je sais qu’il est TRÈS attendu, et ça me fait un immense plaisir – et donc, je veux qu’il soit ma priorité.
Et du coup, aujourd’hui, je vous propose une interview, justement, autour de « Les Dieux sauvages », la genèse d’Évanégyre, quelques mots sur Le Verrou du Fleuve, et en quoi la construction de cette série et de la trilogie « Léviathan » peuvent différer. Merci à Estelle Hamelin d’ActuSF : c’est lisible ici (ou en cliquant sur ma trombine à droite).
Actusf : Avez-vous des inspirations / influences particulières pour Les Dieux sauvages ?
Lionel Davoust : Très clairement, il y a l’épopée de Jeanne d’Arc – mais Les Dieux sauvages ne relève absolument pas de la fantasy historique ; je pense d’ailleurs qu’à part quelques éléments très évidents, il faut très bien connaître la période pour retrouver les traces de son histoire. Cela ne m’intéressait pas du tout de réécrire les événements ; des auteurs font cela merveilleusement bien, soit dit en passant, mais ça n’est pas mon projet. Ce qui m’intéresse, ce sont les mythes, c’est la couche d’interprétation et surtout de rêve que l’on plaque sur le réel. Donc, plutôt qu’adhérer aux événements, je me suis abreuvé à une strate « ultérieure », c’est-à-dire à la légende. Mon inspiration n’est pas tant l’épopée de Jeanne d’Arc que le mythe qui en découle, tout ce qu’on a créé autour d’elle, et ce sont ces représentations, ces fantasmes, qui m’intéressent (comme le fantasme de l’empire romain civilisateur inspirait La Volonté du Dragon et La Route de la Conquête).












Bon, voici un petit coming out (caveat : post à haute teneur personnelle, passez votre chemin si ma vie ne vous semble pas trépidante – vous avez tort – je trépide beaucoup – à vous de voir) : je me suis trompé.

Si c’est pour proposer un réseau de portfolios d’images au sens large, j’ai une mauvaise nouvelle, vous êtes déjà en compétition avec Flickr, 500px, Behance et DeviantArt, au bas mot. La tactique pour attirer un professionnel (je parle bien d’un pro, hein, pas du lycéen qui ne terminera jamais sa fanfic furry Ken le Survivant sur Wattpad – là, je ne suis pas compétent en la matière – ni en lycéens, ni en furry, quoique en Ken le Survivant, on peut peut-être discuter) devient donc :